De dos : Chapitre 9

Ce soir-là, je devais être certaine que ma meilleure amie allait mieux avant de le rejoindre dans sa voiture jusqu’à chez lui.
-          Tu vas mieux ou pas ?
Elle me regarde et me dévisage. Elle acquiesça.
-          Vas le retrouver ! va te faire baiser !
J’ai secoué la tête tout en souriant. Elle était hard ma meilleure amie.
Elle me souriait et je le retrouvai dans le bas de l’immeuble ou il m’embrassa.

  
-          Ça sent vachement bon !
Je me pose à table. Sa main passe sur ma poitrine rapidement sans m’en rendre compte.
Il va en cuisine. Son appartement était aussi large qu’on pâté de maison new yorkais. Il devait faire deux fois le miens mais lui vivait avec deux de ses potes qui étaient là au passage. Alors on n’allait pas le faire ce soir. Les murs étaient blanc vanille et les sols, s’étaient du parquet blanc vanille lui aussi. Il y avait un mur entier de livre et le mur opposé n’était pas mal non plus, il y avait juste la télé qui complétait un endroit. Plusieurs canapé étaient placé dans le salon et l’un d’entre eux était rempli de plaide. Juste au milieu de la pièce, un piano trônait.
Trois grande fenêtres donnait sur une vue imprenable de Philadelphie. Sur un mur, un tableau seul est mis en évidence. Quand je me suis levé pour regarder ce qu’il y avait dans le cadre, je me suis presque étouffer. Un dessin de moi qu’il avait fait était là au milieu du salon. Quand il pénétra dans le salon avec une bouteille de vin, il me souriait.
-          Comment tu te trouves ?
-          Je ne sais pas ! pourquoi le dessin seul sur un mur blanc ?
-          Parce que tu es devenu ma source d’inspiration et au lieu d’une photo de ma source d’inspiration, un partie de mon inspiration.
-          Alors tu m’avais dessiné pour que je t’inspire… ?
-          Non tu es mon inspiration ! tu es ma muse !

D’un coup, j’ai eu envie de lui.

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