De dos : Chapitre 15

Damon
Je pourrais passer ma vie a la regarder dormir. Les yeux clos, la bouche légèrement ouverte, sa jambe nue enroulant la mienne et sa tête posé sur mon épaule. Elle dormait sans crainte. Une odeur abondante de café chatouilla mon nez et surement le siens aussi puise qu’elle se réveilla. Elle respira un bon coup, s’étira, me souriait et m’embrassa en guise d’un bonjour.
Elle allait se lever mais je tirai son bras pour qu’elle me vienne. Elle tomba sur moi ce qui me donna l’occasion de l’embrasser a plusieurs reprise.
-          Qu’est-ce que tu crois, tu n’iras nulle part !
Elle souriait puis descendit ses lèvres dans mon cou.
Lentement, elle embrassa mes pectoraux, continuant ensuite ses baisers sur mon ventre et ce,  jusqu'à atteindre la fine ligne de poils partant de mon nombril pour s'enfuir dans mon caleçon avant de de nouveau m'embrasser sauvagement. Une fois de plus elle roula ses hanche, cognant ainsi son basin contre le miens, me fessant gémir de plaisir et de frustration.
-          Nina, ne fait pas ça, je risque de te faire l’amour ici et maintenant !
Effectivement, si elle n'arrêtait pas rapidement il ne m’en faudrait pas plus pour lui faire l'amour immédiatement. Mais cette dernière semblait bien décidé a me taquiné et recommença une fois de plus son geste. Hors on pouvait être deux a jouera ce jeu-là et en moins d'une seconde, je me retrouvai sur le dessus, fougueux, impétueux, dominateur.
Je l'embrassai, puis lentement descendis mes baisers le long de son cou, centimètre par centimètre je continuai ma descente sur sa poitrine si clémente offerte. Des semaines que mon regard se perdait dans son décolleté ne rêvant que de ses seins et de la sensation de mes mains autour d'eux.
Complètement esclave de son désire pour moi, mon prénom tombât de ses lèvres dans un gémissement roque. « Damon... » Mon dieu, jamais mon prénom ne m’avait paru aussi sensuelle avant ça. Il ne m’en fallut pas plus pour déchirer son soutiens gorges en morceaux, envoyant les restes du tissus valsé quelque part a l'autre bout de la pièce.
Je pris l'un deux dans la paume de ma main gauche, le malaxant doucement tandis que ma bouche s'occupa du deuxième, suçotant son mamelon. Les yeux de Nina se fermèrent sous l'intensité du plaisir.
Je caressais de mon autre mains son corps quand une sorte de blessure viens a ma main de façon bien trop brutal. Je me levai et remarqua sur sa hache, pas loin de son tatouage l’infini, trois point de suture. Je relevai ma tête vers elle avant qu’elle me réponde :
-          Quand j’étais toute petites, ma mère avait quitté mon père pour un homme qui la frappait, elle n’était pas bien, elle ne l’aimait pas et rêvait de partir mais un jour ou ma mère avait péter les plombs sur lui.
Une larme coula sur sa douce joue. Je l’essuyai.
Je n’aime pas la voir pleurer et encore moins si c’est pour un connard qu’elle pleure.
-          Si tu n’y arrive pas, ce n’est pas grave ne me le dit pas !
Elle secoue de la tête.
-          J’aimerais que tu le sache ! ma mère avait envie de suicider mais je n’avais pas compris et j’étais en pleure, elle s’était enfermer avec un couteau dans la salle de bain et… elle avait essayé pendant que lui essayait de défoncer la porte pour éviter la mort de ma mère. Quand il y est arrivé, j’ai tiré le couteau des mains de ma mère mais elle ne voulait pas lâcher alors j’ai tiré plus fort jusqu’à ce qu’elle lâche précipitamment et que je me coupe profondément. Elle m’avait amené chez mon père qui me recousu de trois points et qui a décréter que lorsqu’elle aura une santé mental totalement cligne, elle pourra continuer a nous élever.
Elle pleurait a grosse goute quand je la pris dans mes bras. Elle s’accrocha a moi le plus possible.
-          Va t’habiller ! cria le père de Nina dans l’appartement
-          J’y vais c’est bon ! répond Sabrina sa sœur
-          J’y vais moi aussi ! ri Nina en retirant ses bras de mon torse.
Elle est allée dans la penderie ou elle mit un soutien-gorge, une robe blanche et une veste en jean. Elle se tourna vers moi, me fit l’un des plus beau sourire de toute la terre entière et me dit :
-          Toi, au lieu de mater habille-toi !

-          Bien chef ! 


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