De dos ; Chapitre 12


-        -  Nina ! cri une voix de femme ce qui me fit ouvrir les yeux
Je me redressai rapidement découvrant que j'étais dans ma salle a manger chez moi, complètement nu par terre avec juste un rideau qui me couvrait le corps. Damon était à mes côtés il dormait encore. Je regardais l’horloge au-dessus de ma cuisinière : 10h. J'avais encore un peu de temps. Je caressai doucement le bras de mon amant qui ouvrit difficilement les yeux.
 - Nina ?
- ma mère est là, habille-toi ! Lui dis-je doucement.
 Nous nous exécutions la seconde d'après, j'attrapai ma culotte et mon soutien-gorge qui était évidemment à l'autre bout de la pièce. Damon était en train de remettre son pantalon alors que je cherchai désespérément ma robe. Je commençai à paniquer. Damon lui était presque totalement habillé, il boutonnait sa chemise. Je me baissai pour regarder sous le bureau : rien. Derrière la chaise : rien non plus. Soudain j'entendis un raclement de gorge et Damon avait ma robe entre ses mains avec un sourire en coin irrésistible plaqué sur ses lèvres.
 - Tu chercherais ça ? Me demanda-t-il en se marrant discrètement.
- Oh oui, merci.
 Mais alors que j'allai lui prendre des mains il ne lâcha pas la robe et tira sur celle-ci afin que je me rapproche de son corps, n'étant à présent à quelques centimètres de sa tête.
-          Tu es magnifique comme ça !
-          Tu en verras plus, plus tard maintenant donne-moi ma robe !
-          Non, t’a mère ce doutera de quelque chose alors va mettre autre chose !
Je lui souris et me précipite dans ma chambre pour prendre un short et un top noir. Il faisait quand même froid alors je mis un pull.
-          - Nina !!!!
Ma mère chiait sans s’arrêter.
-        -   J’arrive maman !
La porte de ma chambre s’entre ouvre et j’aperçois la tête de Damon passer avec ses quatre doigts.
-          Je crois qu’elle veut vraiment que tu te dépêche !
Je sors précipitamment de ma chambre pour ouvrir la porte d’entrer. Ma mère avait le visage rouge de colère.
-          J’espère que tu as une très bonne excuse pour ce temps que tu as mis a ouvrir cette putain de porte ! cri-t-elle en entrant et retirant son manteau
-          Oui euh…
Quand je jetai un coup d’œil ou devrai ce trouver Damon, je ne le vois pas. La porte de ma chambre est fermée comme si il voulait protéger ce qu’on venait de faire.
-          Je dormais… tu sais que je ne t’ai pas entendu !
-          Ouais ! dit-elle pas très convaincu
Sans prévenir, Damon sortit de la chambre torse nue sans regarder vers nous.
-          Mon amour… euh… désolé, je vais… désolé !
Quand il est sorti, j’ai remarqué que j’avais fait deux suçons, un dans le cou et un vraiment placer au-dessus de l’entrer dans l’intimité. Il se tourna pour rentrer dans la chambre et des griffures ce fit voir. Huit griffures, chaque doigt a par le pousse. Ce m’avait excité. Je ne savais pas que je l’avais griffé.
-          Tu aurai pu me le dire, c’est un bon coup ? me demande-t-elle en s’approchant impatiente de savoir.
-          Maman ! dis-je agacer en passant derrière elle
-          Ro ! Ne joue pas ta prude alors ?
Pendant un moment je m’imagine poussant ma mère dehors sans rien lui dire mais j’avais besoin de le dire à quelqu’un et seule ma mère allait m’écouter sans trouver dégelasse tout ce que j’allais énumérer.
Je respire un coup.
-          Il est incroyable !
Je m’approche du miroir dans le salon et me rend compte que j’avais, bien cacher derrière mes cheveux, un suçon moi aussi. Je le touche légèrement, malgré la petite douleur que ça me procure sur ma peau au toucher, j’aime bien le fait d’être marqué par ses douces lèvres. Je souris et mordille ma lèvre inférieure.
-          Raconte !
-          Il… il m’a prise contre le mur, sur la table et le rideau par terre c’est nous enfin lui. Il a des mains en or et mon dieu il est gâté par la nature.
Je me tourne vers ma mère en souriant et reprend mes esprits.
-          Bon ! pourquoi tu es venu ?
-          Je suis venu te dire que ton père, ta sœur ect… arrivent demain matin chez toi ! ils ont décidé de venir maintenant parce que tu connais ton père…
-          Les billets étaient moins chers maintenant !
Elle me sourit et remet son manteau avant de sortir d’ici le plus rapidement possible comme si elle sentait mon excitation.
Je respire et arrive en trombe dans la chambre ou je le trouve toujours torse nu tourner vers la porte.
-          Je suis désolé, j’avais en…
Je ne lui ai pas laissé le temps de terminer. Je l’ai poussé sur le lit ou il se laissa faire. J’attrapai son visage pour que je colle mes lèvres aux siennes. J’avais le contrôle sur lui. J’aimais ça. Quand il me fit basculer, il se retrouva au-dessus de moi.
-          Je vais te faire ce que je n’ai pas eu le temps de faire bien hier soir !
Il descend vers mon short qu’il retire en même temps que ma culotte. Il ne prit même pas la peine de m’infliger la pire des tortures, a la place, il colla rapidement sa bouche sur mon intimité. Je gémis si fort que l’un des voisins frappa sur le mur en criant :
-          Arrêtez ! déjà hier soir ! stop !
Je riais tout en gémissant. Damon s’en foutait mais le pire n’était pas qu’il s’en foutait, le pire c’est qu’il entoura sa tête de mes cuisses et passa ses bras autour de mon corps. Je ne comprenais pas pourquoi il avait fait ça mais quand il se leva tout en continuant a me lécher. Je pris peur. Pendant une seconde j’ai eu peur de tomber mais ses bras étaient si forts que je ne sentais pas le vide sous mes pieds. Il passait sa langue sur ma fente quand en deux coups de langue, il se trouva directe sur mon clitoris.
J’hurlais tellement c’était bon de ressentir sa langue en moi.
-          Oh ! Damon ! ahhhhhhhhhhhhhhhhh ! c’est… oh !
Il riait ce qui me procura une sensation encore plus intense.
Ma respiration était haletante. Je passais mes doigts dans sa chevelure noir charbon, je tirais les mèches et criait quand j’hurla un grand coup. Il me fit descendre de ses bras avant de m’embrasser langoureusement.
-          Je t’aime ! me dit-il entre deux baisers.
Qu’est-ce que je devais répondre ?
Je ressentais quelque chose pour lui mais au point de lui dire « je t’aime » pas encore.

Enfin peut être que si. J’avais envie de lui répondre que moi aussi, peut être que c’était ce que je ressentais. Je l’aimais peut être. 

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