De dos : Chapitre 7

C’était le moment t’en attendu de mon année scolaire a l’école de cinéma. La veille au soir, j’avais reçu un message de mon prof d’écriture de script disant :
Vous devez écrire, un script de cinquante pages parlant du sujet que vous voulez, en soixante-douze heures.
 Je me sentais prête mais aussi nerveuse.
-          Je ne sais pas, c’est nouveau mais excitant, j’aimerai que tu sois la pour me calmer ou me changer les idées.
-           Moi aussi j’adorerais mais tu sais que je dois bosser aujourd’hui.
-          Alors change-moi les idées au téléphone.
La dernière fois qu’on s’était vue c’était il y a deux jours chez moi quand ma mère avait débarqué. Il avait décidé, tout seule, de partir alors que moi je n’avais pas envie. Il s’est comporter en gentleman de nouveau mais il est aussi très séducteur et avait aimé mon air renfrogner lorsqu’il était partit.
-          Qu’est-ce que tu portes ?
Je ris. J’ai l’impression de l’entendre ce mordre la lèvre inférieur.
-          Pas comme ça ! parle-moi que livre ou de ce qui ce passe de nouveau dans ta vie.
-          J’ai lu de nouveau Orgueils et préjugés, je change d’avis, il est bien mais pas meilleur que Les grandes espérances.
-          Ta voix change quand tu parles de livre, j’aime bien t’entendre déblatérer la dessus…
Il rit un coup et attend un moment. C’est comme si je pouvais entendre quand il passait la main dans ses cheveux.
-          Tu veux dire que tu aimes ma voix ?
-           Parfaitement, je l’a trouve sexy, séduisante, elle me fait frissonner.
-          Alors, je crois que je vais passer ce soir chez toi !
Il dit cette phrase de façon plus rauque que d’habitude ce qui me fait ressentir une sensation totalement inconnu dans mon bas du ventre.
-          Je vais te laisser, a ce soir beauté !
Il raccroche avant que j’ai pu lui répondre. Je me surprends a rire seule pendant un court instant.  Pourquoi il me faisait t’en défait ? Comment arrivait il a me faire ressentir de tel sensation en ouvrant seulement la bouche et pourtant on n’avait pas encore couché ensemble.
Un appel vidéo me sort de ma rêverie salace.
Mon père m’appelait, il avait surement quelque chose a me dire.
Quand je décroche, je me rends compte qu’il n’y avait pas que mon père mais aussi ma sœur et mon grand-père. Ils me font un coucou et je remarque leurs lèvres bougé mais aucun son ne sort.
-          Je ne vous entends pas !
Mon père avait l’air de m’avoir entendu et avait remis le son.
-          Salut ma puce ! me dit papa.
Je lui réponds d’un salut courtois et attend la suite.
-          J’ai une nouvelle a t’annoncer !
-          Je m’en serai douter vue le monde que vous êtes pour un appel vidéo…
-          Ton grand père et moi, venons aussi ! dans une semaine et cinq jours on est là !
J’étais contente. Ça faisait un moment que je n’avais pas vue les deux hommes de ma vie. Mon grand-père aimait me raconter sa jeunesse et contrairement a ces petits enfant ingrats, moi, j’adorais l’écouter. Mon père ? C’était autre chose. Il avait un humour qui ne pouvait pas plaire a tout le monde. Quand on disait « Hein ? » il répondait « deux » et si tu poursuivais par « trois » il terminait par « soleil » ou « a quatre on recommence ».
Mon père et mon grand-père qui vienne dans cet appartement de deux chambres. On va être serrée mais ils dormiront comme on a dormi chez mon grand-père dans notre jeunesse,  deux par terre et un sur un lit deux places. 

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