De dos : Chapitre 11
Ce matin, j’avais rendu mon script. J’étais rentré plus tôt que d’habitude prétendant que j’étais fatigué, je l’étais mais c’était vraiment le problème. Ça faisait cinq jours qu’on ne s’était pas vue. Il bossait et quand il ne bossait pas, c’était a mon tour. Je suis rentrée sachant bien qu’il bossait mais une partit naïve de moi espérait qu’il vienne. Théa était partit hier soir après un appelle de son mec lui demandant plusieurs fois pardon. Elle avait craqué.
Je me préparais a regarder Pretty Little Liars avec un bol de
pop-corn.
Je me suis assise sur le canapé quand le
générique commença.
Toc,
Toc, Toc cette façon si fracassante de frapper sur une porte ne ressemblait
a aucune autre. Je ne savais pas si c’était de la colère ou de l’excitation
mais lorsque j’ouvris la porte, je compris.
Il baissa ses yeux sur mes lèvres et planta
de nouveau son regard dans le mien... Qu'est-ce qu'il se passait ? Il me prit
la tête entre ses mains dures et plaqua ses lèvres contre les miennes avec une
telle voracité et un telle besoin que je ne réalisai pas vraiment ce qui se
passait... Ses lèvres me procurèrent un bien immense, je fermais les yeux
appréciant jusqu'à en avoir les larmes aux yeux, j'encerclai à mon tour son
visage de mes mains tremblantes et ouvrit la bouche afin d'avoir plus de contact
avec ses lèvres. C'est fantastique, une renaissance. Nos lèvres se séparèrent
juste le temps de reprendre une bouffée d'air avant de se retrouver avec plus
d'empressement. Il caressa mes joues et descendit ses mains le long de mes
hanches, appuyant dessus afin de me rapprocher au maximum de son corps.
J'étouffai, je ne savais plus comment embrasser, comment réagir. Tout mon corps
tremblait, il fallait que je me ressaisisse, comment allais-je faire ? Il
s'éloigna alors de moi, totalement décoiffé et essoufflé. Ses lèvres étaient
enflé par le baiser, ses yeux pétillaient intensément, il respirait fort et
semblait tout aussi perdu que moi. Son regard bleu perçant traversa
littéralement le mien. Mon cœur s'emballa à nouveau, ses innombrables bouffées
de chaleur me reprirent. Je n'arrivais plus à réfléchir correctement. Il me
rendait folle. Complètement folle. Comment faisait-il cela ? Comment avait-il
pu prendre une place comme celle-ci dans ma vie. C'était un inconnu. L'inconnu
du dessin. Je n'en pouvais plus. C'était insoutenable, il fallait que je
réagisse ! Je m'approchai de lui, plaquant mes deux mains sur ses joues et capturai
follement ses lèvres si tentatrices. Il lâcha un soupire de plaisir et me
rendit presque aussitôt mon baiser. C'était presque une renaissance, un
besoin... J'avais besoin de lui. C'était bizarre mais c'était une évidence. Il
m'agrippa fermement la taille et descendit doucement ses mains sur mes fesses.
Je repris une bouffée d'air dans le baiser et l'entourai de mes bras, voulant à
tout prix sentir son corps pressé contre le mien. Il avança, afin de me plaquer
contre une des étagères de la cuisine. Ma robe remontait et il en profita pour
déposer ses mains directement sur mes fesses qui étaient maintenant découverte.
Il se fit un malin plaisir à les empoigner tout en accordant parfaitement ses
baisers passionnés. Toutes mes pensées cohérentes étaient parties en fumée ! Je
me laissai juste aller à cet incendie ravageur qui me consumait avec envie. Le
temps n'était qu'un détail, les conséquences aussi. Tout à part lui passait au
second plan. Il fit remontait ses mains le long de mes fesses jusqu'à atteindre
les hanches puis redescendit aussitôt. Ma robe se trouvait alors au-dessus de
mon nombril et ses caresses n'arrêtaient pas. Il quitta mes lèvres afin de
dériver dans mon cou. Je gémis bruyamment, ça faisait presque six ans que je
n'avais pas fait l'amour et cela se sentait. Mais je m'en fichais.
Il
traça une lignée humide et splendide le long de ma gorge m'arrachant des
gémissements à en perdre haleine. Soudain, j'en eu assez, je voulais moi aussi
profiter de lui. Je glissai alors mes mains sur son torse encore recouvert de
sa chemise noire et le repoussa afin qu'il recule encore et encore. Prise d'une
pulsion plus forte que moi, je le poussai sur la chaise, il lâcha un
gémissement rauque et grave avant de me regarder attentivement m'installer à
califourchon sur ses cuisses. Son regard était devenu gris métallisé, il
débordait de désir. Je capturai à nouveau ses lèvres cherchant le plus de
contact avec son corps. Je lâchai un gémissement de plaisir que je ne cherchai
en aucun cas à retenir. Je fis basculer mon bassin afin de marquer un rythme
avec mes hanches que je frottai doucement contre son jean.
- Hum... souffla-t-il entre deux baisers.
Il
faufila encore une fois ses mains baladeuses sur mes fesses qu'il empoigna
généreusement. C'est presque naturellement que je lui défis les boutons de sa
chemise. Je quittai ses lèvres afin de voir ce que je faisais. Il me regardait
la bouche ouverte, avec son regard que je n'avais jamais vu chez quelqu'un
d'autre. Je lui enlevai en vitesse sa chemise que je jetai derrière moi et
l'embrassa à nouveau glissant mes doigts à travers ses mèches de cheveux
noires. Je le sentis se tendre il força sur ses jambes et se leva de la chaise.
J'enroulai immédiatement mes jambes autour de lui. Il balaya la table de tous
les objets qu'elle contenait et me déposa dessus sans jamais quitter mes
lèvres. Je fis glisser mes mains sur ses épaules alors qu'il monta à son tour sur
la table. Il déposa ses lèvres sur les miennes puis dériva dans mon cou qu'il
suçota avec gourmandise puis il descendit encore. Il embrassa alors mon
décolleté, je me cambrai pour sentir mes baisers brûlant. Il tira sur le haut
de ma robe pour la faire descendre en-dessous de mes seins. Mon soutien-gorge
noir était alors à sa merci. Il ne prit même pas le temps de me le dégrafait
qu'il écartait la dentelle et captura un de mes mamelons qu'il embrassa presque
brutalement.
- Oh mon dieu... gémis-je à bout de
souffle.
Je l'entendis rire. Et il continua sa
torture sur mon autre sein. Les yeux fermés, je gémissais à chaque assaut de sa
langue. Il faisait des merveilles... Damon se redressa enfin, me tirant vers
lui pour que je sois de nouveau debout en face de lui, la poitrine complètement
découverte et ma robe autour de ma taille. Il me regardait à nouveau. Je lui
souris et déposa mes mains sur son torse et glissa celles-ci le long de ses
abdos et atterris sur la ceinture de son jean. Soutenant toujours son regard
des plus ravageurs, je lui défis sans trop de problème sa ceinture et s'en
suivit du bouton de jean que j'allais abaisser mais il se pencha vers moi
lentement afin d'embrasser à nouveau mes lèvres. Il me fit reculer alors
jusqu'à que mon dos rencontre le mur juste à côté de la fenêtre. Il m'embrassa
alors plus sauvagement et alors que j'allai lui enlevai son jean et prit mes
poignets et les plaqua au-dessus de ma tête. Il adorait me dominer, mais
j'adorais être dominante moi aussi. Il enleva ma robe, je levai les bras pour
lui faciliter le passage du vêtement, la robe enlever il m'embrassa de nouveau.
C'était un moment de plaisir intense... Mes yeux se fermèrent alors qu'il
continuait à explorer habillement mon corps. Ses lèvres descendit dans mon cou,
mes seins, mon ventre, mes cuisses. Il se retrouva accroupi devant moi
m'embrassant de part et d'autre.
J'ouvris alors les yeux et le voir aussi
prêt de mon intimité me donna une montée d'adrénaline époustouflante. Je
pouvais sentir son souffle chaud à travers ma culotte. C'est merveilleux. Il
déposa tendrement ses mains sur mon postérieure et poussa afin d'embrasser la
dentelle de ma culotte. J'attrapai alors le rideau à côté de moi pour me
soutenir. Il allait me tuer... Je faufilai une de mes mains dans ses cheveux
alors qu'il continuait d'embrasser mon intimité. Il se releva garda juste
quelques misérables centimètres entre nos deux lèvres. Je l'embrassai alors à
mon tour et cette fois je pu lui enlever son jean. Tous deux nus jusqu'à la taille
je le poussai sur la table et lui fit signe de monter dessus. Il ne se fit pas
prier et s'allongea sur le dos.
- Fais ce que tu veux... me dit-il en
soupirant.
Toujours debout en face de la table je
l'embrassai chastement et lui enleva son caleçon pour voir son membre fièrement
dressé devant moi. J'enlevai alors aussitôt le dernier tissu qui me recouvrait
et grimpais à mon tour sur la table. Je l'enjambai et me retrouva collée contre
son corps nus. Je déposai rapidement mes lèvres contre les siennes et glissa ma
langue dans sa bouche pour entamait une danse enflammée. Il caressa mon dos
alors que je frottai sensuellement mon intimité contre son membre sans
pénétration.
-
Tu prends la pilule ? me demande t il alors
-
Bien sur !
-
Super
Damon râlai presque dans ses baisers. Mais
je voulais moi aussi jouer. Je lui embrassai sensuellement son torse faisant le
même chemin avec mes mains qui caresser ses pectoraux. Je remontai, embrassant
une dernière fois ses lèvres, attrapai son sexe entre mes mains tremblantes et
l'attira jusqu'à ma fente humide. Puis d'un coup habile, il était à l'intérieur
de moi.
- Mum... gémissais-je.
- t’es parfaite Nina souffla-t-il entre
deux baisers et deux coups de rein.
Je
lâchai un autre gémissement étant presque incapable de lui répondre.
-
humm… lui dis-je en accélérant la cadence de mon bassin.
- t’es super étroite !
- je sais, maintenant tais-toi, lui
ordonnai-je alors que nous faisions l'amour passionnément et brutalement pour
ma part.
Ses coups de reins étaient fabuleux, cette
sensation était unique. Je me sentais enfin à ma place.
Le
mouvement entre mes jambes me procurait tellement de plaisir que s'en était
irréel. Je le voulais depuis tellement longtemps. Il était merveilleux. Damon
plaqua ses mains sur mes fesses et accéléra encore, je pouvais sentir ma
jouissance arrivée à grand pas. Je lâchai des cris à présent. Je ne tentais
même plus de me retenir, c'était bien trop plaisant. Avec une force qui
m'étonna moi-même, il réussit à échanger les places me surplombant de son
corps. Puis il reprit ses va-et-vient toujours aussi rapidement que je l'avais
fait.
- Surtout ne t'arrête pas, lui dis-je en
lui embrassant le cou.
- Tu
es tellement... belle, lâcha-t-il
Je pris son visage entre mes mains et
l'embrassai tendrement cette fois-ci. Nos langues se battaient pour dominer le
baiser. Je faufilai mes mains dans mon dos, appréciant le toucher et descendit
jusqu'à ses fesses parfaitement ferme. Je les empoignais sans gêne. Je voulais
le sentir encore plus en moi. L'orgasme se fit dévastateur et très intense.
Jamais je n'avais atteint le 7ème ciel aussi rapidement. Il s'écroula sur moi,
ayant lui aussi jouit. Il me caressa doucement les yeux, reprenant son souffle.
- Tu as été merveilleuse Nina... me
chuchota-t-il dans le creux de l'oreille. Tu ne sais pas depuis combien de
temps...
- J'attends ça, terminai-je à sa place.
Je
ris doucement.
- On aurait dû faire ça bien avant... lui
dis-je sérieusement.
- Maintenant c'est fait et je compte bien
recommencer, répondit-il en embrassant mes lèvres.
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