De dos : Chapitre 5

Je me préparais la musique a fond. Il faut dire que je chantais plus que je me préparais. Je mettais mis une robe rouge a volant fin et une perfecto noir pour complété le noir de mes ballerines. J’avais bouclé mes cheveux pour qu’ils tombent sur mes épaules. Mes cheveux, sans les bouclés, m’arrive sous les épaules. Je l’ai avait coupé pour qu’il repousse plus vite. Je me parfume ce que je fais que rarement. Je mets mon collier quand la sonnette retentit. Avant d’ouvrir la porte, je vérifie sur le miroir près de la porte que ma coiffure n’a pas bougé et je me confirme que mes dents n’ont pas attrapé de feuille de salade au passage. Je ne savais pas pourquoi je me donnais autant de mal, je ne l’ai jamais fait pour personne.
J’ouvre ma porte.
-          Tu… tu… es magnifique ! bégaye t il
-          Merci, je dis sentant le rouge me monter au joue.
Il ne décroche pas son regard de mon corps et même que pendant un court instant j’ai vu ses dents attiré sa lèvres inférieur a l’intérieur de sa bouche.
-          Bon on y va !
-          Oui !
On descend les escaliers lentement, plus lentement qu’a mon habitude. Il sort sa clé et appui sur le bouton pour ouvrir la voiture qui se trouve bien devant l’immeuble. Il m’ouvre la porte passagère mais je reste de marbre devant la voiture. Quand j’arrive enfin a ouvrir la bouche, il est stupéfait.
-          Une camaro 69 !
Il me regarde longuement.
-          Comment… ?
-          Mon père est un fan de vieille voiture et il en a une comme sa en bleu pas en rouge et blanc.
Il me sourit et me montre de nouveau la porte ouverte.
Arrivés devant un restaurant, assez chic comparer au restaurant ou je travaille.
Nous commandons.
-          Alors, a mon tour de te poser des questions parce que je ne sais rien de toi, même pas ton prénom.
-          Damon, Damon Salvatore.
-          Italien ?
-          Du côté de ma mère.
-          J’adore les italiens leurs langue, leurs façon de parler…
-          sei magnifico e molto sexy questa sera
-          Par contre je ne comprends pas !
Il sourit et me fait un clin d’œil.
-          Tu trouveras toute seule.
Je souris mais cette phrase me tourne en boucle dans la tête.
-          Tu dessines, mais tu en a fait ton métier ?
-          Je suis dessinateur pour jeu vidéo et durant mon temps libre, j’écris une BD !
-          Elle parle de quoi.
-          De ce que l’amour apporte…
Quand il dit cette phrase, mon corps tout entier frissonne, mes poils ce lève sur mes bras et ma respiration est haletante.
-          Hier soir tu as dit que ta grand-mère AVAIT ce…
-          Elle est décédé quand j’avais seize ans, tu imagines, ça fait neuve ans qu’elle nous a quittés. C’était quelqu’un d’incroyable. La seule de ma famille que je connaisse. Quand tu perds quelqu'un ça reste en toi, te rappelant toujours combien il est facile d'être blessé. Perdre quelqu'un ça n'a rien d'anodin Nina, ça te rappelle en permanence que la vie ne tient qu'à un fil.
J’étais bouche bée. Il avait raison et j’en savais quelque chose ou alors non.
-          J’ai perdu ma grand-mère deux jours après ma naissance. Les gens de la famille écrivaient que j’étais le bonheur cachant le malheur ou que j’étais la chose belle eu a recevoir après l’un des plus grands malheur de leur vie et le pire c’est que ces personnes sont mortes après tout ça. Quand j’ai compris que mes parents pleurait parce que les gens mourait je me suis demander si je devais pleurer aussi mais je ne l’ai connaissais pas. J’avais envie de pleurer avec eux mais je n’y arrivais pas. Une partit de moi aimerait oublier mais si j’oublie je perds le sens de la vie. C’est un malheur mais c’est comme ça.
-          Je suis d’accord.
Tout le long de mon petit discours, il me regardait avec insistance. Il avait l’air stupéfait.
-          Ma famille n’est pas très glorieuse, je ne connais personne de ma famille a par mes grand parents qui m’on élever. J’ai appris a dessiner avec mon grand-père et a aimer lire avec ma grand-mère. Ils étaient incroyables.
-          Sans indiscrétion, pourquoi t’es grand parents t’on élever ?
-          C’est indiscret mais je vais y répondre parce que c’est toi. Je ne sais pas… mais grand parents m’ont dit que mes parents bossait trop mais je ne l’ai crois pas, je pense qu’ils sont mort mais qu’on me protège. Je ne sais pas c’est bizarre.
La serveuse dépose nos assiettes devant nous avant de partir pour les cuisines.
-          Peut-être que tu le sais au fond de toi, cherche au plus profond de ton âme !
-          Cherche au fond de mon âme, tu tomberas plus bas que tu ne l'es déjà.
-          C’est encourageant.
Je le regarde mâchouiller sa viande, il est si beau que je reste fixer sur sa façon de manger.
Il lève les yeux pour me regarder et me découvre en admiration. C’est gênant et j’évite de croiser de nouveau son regard et de poursuivre.
-          Et donc tu as dit que tu aimais lire ? j’adore lire ! c’est quoi ton livre préférer ?
-          Les grandes espérances de Charles Dickens !
-          Ouais… dis je pas totalement convaincu
-          Ouais ! pourquoi ouais ? il est incroyable… tu sais qu’il y a quelque chose d'immense, voire de démesuré en lui : vaste demeure, vaste famille, vastes amours, haines puissantes, popularité universelle. Toi c’est quoi ?
-          Orgueils et préjugés !
-          Orgueils et préjugés ? tu rigole, ce n’est pas le meilleur. Elizabeth paraît sûre de son jugement sur les autres, tu penses que sa façon de voir est belle.
-          Non d’où le titre…  Elle commence à douter d'elle-même lorsqu'elle découvre combien elle s'est trompée sur Darcy et sur Wickham.
-          Elle tombe amoureuse alors que les grandes espérances est l’un des meilleurs au monde.
-          Orgueils et préjugés aussi… je ne reviendrai pas la dessus !
Il rit et me fixe le sourire aux lèvres.
En fin de soirée, il me raccompagna jusqu’à chez moi. J’attendais une tentative mais il n’en fit pas la moindre. Il rentra chez lui comme un gentleman.
J’ai quand même aimé cette soirée. Il m’a fait bonne impression mais j’ai l’impression que lorsqu’il pose son regard sur moi je perds un certain contrôle que je m’étais forgé.

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