De dos : Chapitre 1

Je me suis encore réveiller une minutes avant que mon réveille sonne. Les autres personnes profitent de cette minute pour surveiller leurs amis sur les réseaux sociaux, moi, je pense à ma journée. Cette longue journée qui m’attend. Quand le réveille sonne, je souffle, je n’ai pas très envie de me lever ce matin. Mon chien, Dot, a dut entendre mon réveille car il gratte a la porte en aboyant. Je prends sur moi, il faut que je me réveille, malgré l’envie envolé.
Lorsque je sors de ma chambre habiller et maquiller, je me rends compte de mon retard pour mon rendez-vous avec ma mère. Pour combler le tout, ma sœur ce permet de m’appeler.
-          - Qu’est-ce que tu veux Sab ? je demande à ma sœur en me chaussant
-         -  Je n’ai plus le droit de parler avec ma sœur chérie ? dit-elle sur un ton faux cul
-        -   Tu veux quoi ? réellement !
-        -   Tu peux convaincre papa de me laisser aller chez toi pour les vacances d’halloween ?
Je savais qu’elle attendait quelque chose de moi. Quand elle m’appelle le matin chez moi, c’est qu’elle attendra quelque chose ou qu’elle ne veut pas parler avec quelqu’un alors elle m’appelle pour passer le temps mais elle est très réaliste, je fais la même chose.
-       -    Bien sûr, je veux que tu viennes alors si il le faut je viendrais te chercher…
-        -   Mais non… je veux dire oui mais je voulais venir seule, comme une grande !
-        - Tu verras avec lui ce petit soucis mais si il te dit non pour venir seule, je serais d’accord…
Je comprends qu’elle veut venir seule pour prouver qu’elle pourra être grande. Elle est très spécial ma sœur mais elle avait raison elle devait prouver sa responsabilité. Lorsque je me tourne dans la cuisine, je découvre mon chien me regardant avec un regard si doux et si demandeur que j’ai craqué, je lui ai donné son petit déjeuner. J’étais très en retard mais pourtant je ne devais pas le laisser mourir de faim. Je cours dans les escaliers pour atteindre l’entrer avant que ma voisine du haut ne la ferme. Je cours presque dans les rues toujours en train de parler a ma sœur qui me dit a quel point elle aime son petit ami, Lucas je crois. 
-          - Sab, je dois te laisser !
-          - Ok tu laisses ta sœur préférer, je comprends !
-         -  Tu es ma seule sœur ! tu exagère !
Elle rit et stoppe l’appelle lorsque j’entre dans le café « Chris’s ». Le gérant me sourit et par en cuisine me préparer mon café habituelle. Cet endroit était spécial. Il me rappelait la France et les vieux meubles de mon grand-père. Il y avait endroit avec des fauteuils en cuir marron dont les bords sont un peu déchirés. Les murs étaient en bois et les tapisseries, sur les murs de béton, étaient vieille et salis.
-          - Tu devrais en parler à ta mère !
-          - Quoi ?
Le gérant, Christian, m’avait parlé, depuis un moment il me tendait mon café en regardant mon expression maintenu sur les murs.
-          - J’ai dit que tu devrais en parler avec ta mère de la machine à café qu’elle voulait pour chez elle. J’en ai une dans le fond du magasin, elle fonctionne bien. Tu lui diras !
-         -  Oui, je vais lui en parler ne t’inquiète pas !
-          - Parfait alors ton café avec ton sucre en morceau et ton lait de soja déjà mis !
Je le remercie avant de lui laisser deux dollars sur le comptoir et de sortir le sourire aux lèvres. Je me dépêchais pour ma mère pourtant j’avais cette légère impression qu’elle n’était pas encore arrivé. Impression confirmé lorsque j’entre dans Marian Anderson Park. Je décide de m’assoir sur un banc près d’un arbre majestueux et d’analyser les gens dans le parc.
Une femme essaye de calmer son fils qui cri et pleure pour un ballon. Un homme court, les écouteurs aux oreilles et la laisse du chien à la main. Un vieil homme lance du pain au canard dans l’étang devant son banc. Je respire, enfin un moment où je peux poser avant de voir ma mère arriver. Mais alors que je me détends, je sens comme si on me surveillait dans mon dos et pourtant je sentais que je ne devais pas me retourner.
-          - Vous me fixez ! je dis savant au fond de moi que cette personne m’entendait
-         -  Je ne vous fixe pas, je vous dessine !
Cette voix était étrange. Cette voix était spéciale, elle me faisait frissonner mais aussi m’excitait. Elle était rauque et douce. Elle était bourrue et sèche mais si sensuelle.
Je sentais l’homme s’avancer mais je ne me retournerais pas, je ne sais pas pourquoi mais je n’avais pas envie ou je ne devais pas.
-         -  Je veux juste vous arrangez un peu les cheveux !
Il prend la mèche sur mon épaule droite pour la mettre dans mon dos. Les frissons parcours mon corps en moins de deux. Jamais une telle sensation ne m’avait touché auparavant.
-          - Voila ! je pense que vous êtes mieux comme ça ! ne bougez pas !
-         -  D’accord mais faite vite, ma mère va arriver…
Je le sens s’éloigner mais pas trop. Il avait dut s’assoir sur un banc derrière moi.
Au bout d’une demi-heure, ma mère arrive essouffler et fatiguer. Elle me répète qu’elle est vraiment désoler du retard mais elle était au boulot et elle n’avait pas vue qu’il était midi.
Quand elle est arrivée, je n’ai plus senti cette sensation de bien-être et pour cause le dessinateur était partit. 

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