De dos : Chapitre 19
On descendait les escaliers dans le but de
manger en famille. Ce qui prouve que j’ai de trop grande espérance. Déjà
arrivés devant le restaurent, j’entends comme de léger cri et de grosses
tensions.
Je respire avant d’entrer dans ce vacarme
qui me parait trop brouillant pour éviter quoi que ce soit.
-
Je hais les tensions familiales !
-
Calme-toi !
et si tu ne te sens pas bien, prend ma main, je ferai quelque chose.
Je lui souriais d’une façon un peu
perverse.
Quand on s’assoit, ils nous fixe comme si on
était en retard pour le commencement du film « les conflits de
famille ». J’aimais ma famille mais trop souvent ils sont fatiguant.
Les tensions étaient pires que ce que
j’imaginais. Pas un bruit a table, pas un regard et pas un sourire. Je sentais
les regards plein de haine de mon père sur ma mère. Je n’aime pas ce genre de
dispute silencieuse.
-
On dirait que quelqu’un est mort !
-
Elle a raison, j’étais a deux doigts d’exploser
mais elle a commencé a ma place. Vous nous fait chier…
-
Sab !
-
Non, c’est fini les silences gênant, je peux
savoir ce que vous vous reprochez a la fin ?
Elle avait le rouge au visage et le regard
noir.
-
Je suis d’accord, qu’est-ce que vous avez a vous
détestez comme ça ? demande mon grand-père encore élégamment habiller
Je ne disais rien, j’attendais la réponse.
Je ne regardais personne même pas Damon.
-
On ne se déteste pas !
-
Ah bon ? c’est bizarre Derek, j’ai pourtant
l’impression que tu me déteste.
-
Qu’est ce qui te fait dire ça ?
-
Peut-être la façon dont tu me parle ou la façon
dont tu me dénigre devant les enfants ou encore la façon ironique que tu as a
parler de mon boulot…
-
Stop ! je cri d’un seule coup. Stop !
on ne peut pas passer un diner de famille comme une vraie famille ? c’est
fatiguant vos façons de faire.
Ils m’ont regardé comme si je n’avais
jamais crier comme tel.
-
Je peux savoir ce que tu appelles un diner de
famille ?
-
Un diner de famille, c’est loin d’être le genre
de diner qu’on a papa !
-
Elle a raison ! rétorque ma mère
-
Bien sûr qu’elle a raison mais c’est toi qui
viens détruire le diner de « famille »
Il appui sur famille avec le geste des
guillemets.
-
Moi ? le mot famille, on n’y connaît rien,
on n’a jamais été une famille.
J’ai senti mon poult augmenter sa
fréquence. J’ai tiré le bras de Damon pour qu’il atterrisse sur ma cuisse.
Lentement, sa main remonte jusqu’à l’entrée de mon intimité. Il remontait ma
jupe mais personne n’avait le temps de nous regarder.
J’ai senti sa main passer dans ma culotte
pour me toucher avec le bout les doigts.
-
Respire et viens avec moi…
Il retira sa main et s’excusa pour partir
aux toilettes. Juste quelques minutes plus tard, je le rejoins prétextant que
je dois aller aux toilettes moi aussi. Je cherche dans quel toilette il se
trouve mais je ne le trouve pas. Quand j’essaye de sortir, la porte ce ferme
laissant entrevoir le visage de Damon avec le regard pervers. Il me plaqua
contre un des murs. Il me retira sauvagement mon débardeur, en poussant des
cris sauvageons. Je me laissais faire.
Je le plaquai contre la porte d’une des
toilettes ou il n’y avait personne. Il entra dans les toilettes et me fit un
grand sourire.
Quand j’ouvris la bouche pour qu’une fois
encore, sa langue virevolte avec la mienne, deux femmes entrent dans les
toilettes. Elles se refont une beauté devant le miroir et discute.
-
Tu as vu cette famille qui se dispute dans le
resto ?
Je me tourne vers Damon qui me regarde avec
envie mais qui écoute quand même.
-
Ils sont bizarre mais j’ai vu un gars qui partit
a leurs table, il est trop canon.
-
Ouais mais il est peut être avec la meuf qui
était à côté de lui, tu sais la blonde, elle est belle.
Je ramasse mon t-shirt que j’avais attiré
avec moi dans les toilettes. Je le remets et continu a écouter leur
conversation. C’était forcément de moi, je veux dire, de nous qu’elles
parlaient. Je respire un bon coup sans faire trop de bruit.
-
Non, c’est surement sa sœur ou sa cousine, ils
n’étaient pas assez proche.
Je m’énerve lentement mais surement. Je me
tourne vers Damon et détache son jean. Je sors alors des toilettes suivit de
Damon. Lui il sort vraiment mais moi je me place devant le miroir.
-
Salut les filles, bonne soirée ?
Elle acquiesce un peu gêné.
-
C’est génial, je veux dire faire l’amour dans un
lieu publique sa vous rends vivante…
-
Super !
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