Les histoires de La fille du Père Noel

Chapitre 26 C ’était reposant de voir son père. Charlie adorait sa présence mais rien ne changeait vraiment. Il était toujours celui qu’il était et pourtant, le comportement de leur mère était différent comme si il était le seul a la raisonné. Ce qui était vrai d’ailleurs. Depuis son enfance, Charlie a vu leur amour passer par des chemins dangereux. C’était un amour passionné, rien d’autre que ça. Ils pouvaient se disputer de la façon la plus horrible et tellement fortement que les murs des maisons alentours tremblaient aussi. Ils pouvaient se moquer l’un de l’autre et passer tellement de temps a ça et pourtant quand la mère se trouvait trop grosse, le père répondait du tac au tac qu’elle était magnifique et qu’il adorait son corps comme il était, parfait. C’était dérageant certaine fois leurs allusions sexuelle ou leur blague pourri mais c’était mignon de les voir rire ensemble. C’était même mieux de savoir qu’ils s’aimaient, car pendant dix ans, ils s’étaient séparer et rien que l

Chapitre 25 L orsqu’ils sont rentrés dans l’appartement, Léo et Charlie, Charlie riait a l’une des blagues pourrit de son père mais elle sentait la présence bien trop rassurante de Raph. Elle pose un pied dans l’appartement et tout de suite, il lui saute au cou ou du moins du salon, il lui dit une connerie. C’était leur façon de se reconnaitre, une façon qui ne tenait qu’entre eux. Ce dire une méchanceté ou une connerie était dans leurs cordes alors ils le faisait chaque fois que l’occasion se présentait. -         -     Hé connasse, ton appart pu le sexe… Le père de Charlie et elle, entre dans le salon ou Raph n’était pas seul. Il était accompagné d’une jeune fille black aux yeux marron et aux cheveux noires. Elle était très belle et avait l’air raffinée mais si Raphael avait une amitié avec elle, c’était surement pour la convertir en folle du sexe.  Ils travaillaient et c’était bien la première fois que Charlie regardait son « frère » avec joie. Charlie fait son fameux r

Chapitre 24 I ls avaient pris un moment a se disputer pour savoir quel voiture ils allaient utiliser pour aller chercher le père. D’abord, ils avaient dit de prendre la mini Rouge de Charlie puis après un long discours de sa propriétaire expliquant qu’il valait mieux prendre le SUV de leur mère, ils avaient opter pour la voiture familiale de leur mère. Charlie avait toujours des arguments convaincants sur le même genre de problème mais a chaque fois, il fallait qu’elle argumente. Paul avait regardé la dispute avec beaucoup d’intérêt et s’en est allé juste après avoir pris la décision. Arrivées a l’aéroport, Alice avait reçu un message de leur père expliquant qu’il restait en fait trois semaines parce qu’il avait deux chantiers a visiter. Le monde qu’il y avait a Orly submergea Alice de stresse, alors les deux sœurs n’ont plus suivit leur mère disant qu’elles allaient manger un petit déjeuner parce que oui, Charlie n’avait pas eu de petit déjeuner. Elles s’étaient assises et avaien

Salut les amours, après le troisième chapitre, j'ai fait un petit poste ou je montrais ma bande annonce mais j'ai trouver au fils du temps que j'avais fais des erreurs alors j'en ai refait une pour que l'histoire soit mieux écrite et compréhensible pour vous. je vous aime, Louise.

Chapitre 23 C e matin était l’un des plus beaux qu’elle avait vécu. Elle se réveilla, soupira de bonheur, se tourna, surveilla Paul qui dormait paisiblement et se leva. Elle était encore dans les vapes, encore un peu endormi ou en plein rêve. Elle pose ses pieds sur le sol et utilise la force dans ses jambes pour se lever. Elle attrape sa culotte et son soutien-gorge qui était l’un et l’autre de chaque côté de la chambre. Elle entre dans le salon cuisine, et attrape la chemise de Paul qui était sur le sol. Même si celle-ci était péter maintenant, elle l’a met.  Elle repense a la soirée précédente, mais elle n’est interpeler que par son manque de précaution. Il n’avait pas mis de préservatif hier soir et ni lui ni elle n’avait eu l’idée de demander a l’autre, bien trop occupé par leurs jouissance respectif. Mais elle avait une chance incroyable, elle prenait la pilule et avait des pilules du lendemain. Elle en prit une et commença la pâte a crêpe pour le petit déjeuner du champ

Chapitre 22 C ’était la soirée la plus bizarre qu’avait connu Charlie. Lorsqu’il était entré dans l’appartement, Paul n’avait rien dit et elle non plus d’ailleurs. Ils étaient tout de suite aller a table sans dire un mot. Jusqu’à même manger sans dire un mot. Seulement leurs regard était planté l’un dans l’autre. On en vient a maintenant, le moment où ils mangeaient sans regarder ce qu’il y avait dans leurs assiettes. Rien d’autre que l’envie de s’embrasser les hantait. Pendant un instant elle avait pensé attendre le dessert mais pour raison qui lui était encore inconnu, elle projetait de faire beaucoup plus sexy. A cet instant où elle cherchait comment commencer quelque chose, il poussa son assiette sur le côté alors l’idée lui ai venu. Elle poussa elle aussi son assiette et monta sur la table en bois. Elle avança a quatre pattes jusqu’à lui. Il s’adossa a sa chaise et la regardait faire. Elle attrapa sa nuque et l’embrassa langoureusement. C’était évidant, une pure évidence de l’e

Chapitre 21 S a mère et sa sœur venait diner quelques fois a la maison. Les jours ou elle ne travaillait pas le midi ou le Lundi midi. Elles ne parlaient pas de grand-chose, ou alors de tout. Elles déblatéraient sur des sujets divers et variés mais le sujet le plus écouter et apprécier était a l’évidence, les coups d’un soir. Leur mère leur avait répété plusieurs fois qu’elles devaient d’abord pensé a vivre avant de fonder une famille, de grandir dans leur carrière et de devenir des femmes respecter. Elles devaient voyager et toujours rester des sœurs soudées. Leur père avait lutté contre l’idée qu’elles devaient vivre des histoires d’une nuit et des coups de soirs divers, il ne comprenait pas que ses deux filles étaient devenues grande et avait peur pour elles. -         -     Alors avec le bel écrivain, il t’a prise dans cette appart parce que si oui, je dois faire attention ou je marche, ria la mère en se tortillant sur le tabouret. -         -     On a rien fait encore, on s

Chapitre 20 I l était pour lui, une partie intégrante de sa vie. Il était différent de lui, il était tout ce qu’il n’était pas. Il était encore plus fort, plus beau, plus sportif, plus drôle, plus badboy et encore plus amoureux. Son prénom Fitz et son nom de famille Reno. Il avait tout d’un homme qui se jouait des filles mais il n’était pas ce genre de gars. Son père était riche alors les appartements les plus chères et les voitures les plus vieilles, il avait le droit. Il était grand, cheveux noir charbon et élever sur la tête, il avait le teint rosé, le regard pénétrant et les yeux verts. Il était une réplique parfaite de Michael Malarkey. Il avait aussi ce début de barbe qui en faisait craquer plus d’une. C’était le meilleur ami de Paul simplement parce qu’il avait réussi a atteindre sa confiance il y a quelques années. C’était une histoire qu’il m’avait interdit de dévoiler qui sera dévoilé dans quelques chapitres. C’était une amitié bizarre entre deux personnes issues de deux m

Chapitre 19 H abiller d’un imperméable beige, d’une paire de bottes noir en cuir et de sous-vêtements, elle se dirigeait jusqu’à l’immeuble qu’elle avait trouvé sur Facebook, lui non plus n’était pas privé. Elle entra dans l’immeuble, plus sûre d’elle que jamais et lorsqu’elle montait les escaliers elle réfléchissait a la fonctionnalité du plan. Normalement, ils devaient ce voir ce soir mais a vingt et une heure et il était dix neufs heures. Ce qui voulait dire qu’elle pourrait tomber sur n’importe quoi. Elle arriva devant la porte et la découvre légèrement ouverte, elle espérait ne pas tomber sur des voleurs ou sur un Sérurier parce que quelqu’un avait forcé la porte. Elle entra et le découvre assis dans le canapé, il fixait le mur opposé sans rien dire, il tenait dans sa main droite un verre de bourbon et lorsqu’elle entra, il ne bougea pas comme si il était paralysé. Mais lorsqu’elle planta l’un de ses pieds dans le salon, il se leva et ferma son ordinateur. -         -     Qu’

Chapitre 18   E lle était excitée par l’idée de faire ce qu’elle venait de prévoir. Elle avait hâte de découvrir ce qu’il allait dire ou murmurer. Elle souriait toute seule en imaginant que son plan allait fonctionner. Elle montait rapidement dans l’escalier jusqu’à l’appartement. Elle avait besoin de savoir ce qui allait se passer dans son cerveau. Elle montait de plus en plus vite jusqu’à arriver devant la porte en bois de Paul. Elle remet quelques mèches de cheveux et lorsqu’il ouvre la porte, elle lui saute au cou. Elle l’embrasse jusqu’à ce qu’il repousse son corps et lui demande comme prévus : -         -    Mais qu’est-ce que tu fais ? Elle approche doucement ses lèvres légèrement enflés près de son oreille et murmure lentement : -        -     J’ai envie que nous fassions l’amour. Dis rien et prend moi ! Il sourit et pousse le corps de Charlie jusqu’au mur parallèle. Il prend les lèvres de Charlie avec toute sa voracité. Tout ça était animal, tout ça était sensuel et

Chapitre 17 E lle ne se sentait pas bien mais elle avait des cours important ce matin, il fallait absolument qu’elle aille dans son cours préférer avec sa prof préférer. Elle essayait d’oublier le faux pas qu’elle avait fait et préférait le mettre dans un coin de son cerveau, la corbeille. Elle comprenait qu’elle avait aidé son amie et que plus rien n’allait l’emmerder. Elle marchait en espérant ne croiser personne qu’elle connaissait mais lorsqu’elle n’arriva pas loin de la salle, une main forte l’attrapa. -          -    Salut toi ! C’était surement la personne qu’elle voulait le moins voir aujourd’hui mais lorsqu’elle vit son petit sourire pervers, elle sentit le sourire lui venir aux lèvres. Mais elle n’eut le temps de répondre qu’elle était déjà entrainée dans un endroit où personne ne circulait. Le couloir des bureaux des profs. -           -   Qu’est-ce que tu fais ? Ou tu m’emmène ? On n’a pas le droit de venir ici, tu ne le sais pas ? Il la lâche et lorsqu’elle fixe

Chapitre 16 C e matin-là, elle ne voulait pas ouvrir les yeux et s’apercevoir que sur son corps il n’y avait plus un vêtement, elle redoutait d’ouvrir les yeux sur le visage encore endormi de Greg, elle ne avait peur de se réveiller et de se rendre compte qu’elle aurait dut garder ses yeux fermé et oublier ce mauvais rêve. Elle craignait quand même plus d’arrivée en retard en cours. Elle ouvre les yeux malgré elle et découvre qu’il n’y avait aucun corps autour d’elle. Pendant un instant, elle avait vraiment cru qu’elle avait fait un cauchemar mais l’appartement alentours ne ressemblait pas du tout au sien ni a l’un des appartements qu’elle connaissait déjà. La chambre était toute petite et étriquer, elle se sentait enfermer. Elle couvrait son corps d’un drap avec des supers héros dessus et s’habillait en quatrième vitesse.  Quand elle tomba sur une jeune femme blonde dans le couloir et trois garçons qui devaient avoir l’âge de Greg. Il vivait en colocation mais elle n’avait voulu