Roman d'amour Chapitre 1

Chapitre 1
Paris avec ses monuments et ses habitants, Paris avec la seine qui la traverse, Paris avec ses boutiques de Luxe et ses bijoux de riche, Paris avec ses universités prestigieuses et ses appartements hors de prix, Paris et ses soirées arrosés tenu par des jeunes de ses universités. C’était dans cette ville que vivait Charlie Samuel. Etudiante en lettre a la Sorbonne, Charlie avait un avenir tout tracer. N’ayant que vingt ans, elle s’amusait avec les hommes comme elle en avait envie, et pour cause, elle était magnifique. Ses longs cheveux bruns qui tombaient le long de son dos, ses yeux marron et suppliants, ses fines lèvres, son corps de déesse, son sourire légèrement aguicheur et la douceur de ses gestes sensuelles. Elle était la réincarnation d’Aphrodite. On pouvait dire d’elle qu’elle était bête mais rien de cela n’était vrai. Elle mentait aux hommes, qu’elle faisait conquête, sur son intelligence. Etre une femme sensuelle et attirante mais que vous ayez un QI supérieur a la moyenne, ça ne faisait pas les hommes courir dans vos bras. Elle jouait le rôle d’une personne bête qui ne savait pas qui était Victor Hugo. Les hommes aimaient se sentir le plus intelligent des deux, c’était ce qu’elle avait appris en sociologie des hommes avec sa mère. Alors les nombreux hommes qui passaient dans son lit devaient être valorisé mais assez souvent elle allait chez eux.
D’ailleurs ce matin, elle fit le coup du croissant, disant qu’elle allait acheter des croissants pour enfaite s’en aller. Elle faisait son chemin habituel pour rentrer chez elle mais s’arrêta pour prendre un café au Starbucks. Mais alors qu’elle sort du magasin, un homme lui rentre dedans. Elle s’avait que c’était un homme parce que personne n’aurait eu l’attention touchante de passer ses bras derrière la tête de celle qu’ils ont poussés pour éviter les cris de douleur. C’était certain que cette homme avait fait exprès de la poussé pour retenir son attention. Quand elle baisse les yeux, elle voit son café éparpiller sur le sol. Elle vérifie que ses vêtements n’ont pas souffert et relève la tête.
- Ce n’est pas vrai, je venais de l’acheter !!
- C’est bon princesse ! Je t’en paye un nouveau.
Elle vérifie l’heure et quand elle relève a nouveau les yeux, elle voyait vraiment quelque chose d’intéressant.
C’était bien ce qu’elle appelait un homme. Il était grand, fort, les épaules larges, le torse bomber et la présence. Il avait les yeux bleus, la peau claire, la mâchoire carré, la barbe de trois jours, les cheveux bruns en coiffé/décoiffé et le nez retroussé. C’était un délice pour les yeux, un Apollon qui avait un sourire charmeur et protecteur.
- Je n’ai pas le temps…
- Alors rajoutez quinze minutes a votre temps et la vous aurez le temps.
Un sourire prend place sur la visage de la belle brune et le grand brun entre dans le Starbucks commandant un café pour Charlie.
- Je dois savoir votre prénom pour le café.
- Charlie, Charlie Samuel
- Je n’avais dit que le prénom mais ça me convient aussi
Quelques minutes plus tard, il lui tend son café et la laisse partir. Cette rencontre ressemblait à celle dans les films ou dans les livres. Une rencontre banal qui pourrait devenir peu banal. Cette rencontre qui ne mènera à rien car pour la première fois de sa vie, elle ne voulait pas paraitre pour une fille coureuse de caleçon. Elle a pensé un instant de rajouter son numéro de téléphone quand il lui a demandé son prénom mais elle avait peur de ne pas convenir. C’était la première fois qu’elle avait peur de ce que pense un homme, de ce que cette personne pouvait penser d’elle. C’était bizarre mais excitant aussi, comme si seulement les yeux de cet homme dont elle ne connaissait même pas le prénom pouvait lire en elle. Elle ne savait qu’une chose sur lui, il était très beau et gentleman. Lui par contre, comptait bien la retrouver et connaitre tous les traits de caractères de cette jolie jeune femme qui lui plaisait énormément. Il ne rencontrait personne autrement qu’en sortant. Il détestait les technologies utilisés pour rencontrer des gens hyper loin de chez toi qui parle avec toute la population du site. C’était pour lui une bénédiction de savoir ce que le visage de l’autre montrait. Ce n’est pas parce que quelqu’un dit quelque chose que c’est vrai, le visage a souvent des données qui nous montre le mensonge. Et ça, Paul l’avait bien compris.

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