Roman d'amour Chapitre 17

Chapitre 17
Elle ne se sentait pas bien mais elle avait des cours important ce matin, il fallait absolument qu’elle aille dans son cours préférer avec sa prof préférer. Elle essayait d’oublier le faux pas qu’elle avait fait et préférait le mettre dans un coin de son cerveau, la corbeille. Elle comprenait qu’elle avait aidé son amie et que plus rien n’allait l’emmerder. Elle marchait en espérant ne croiser personne qu’elle connaissait mais lorsqu’elle n’arriva pas loin de la salle, une main forte l’attrapa.
-         -   Salut toi !
C’était surement la personne qu’elle voulait le moins voir aujourd’hui mais lorsqu’elle vit son petit sourire pervers, elle sentit le sourire lui venir aux lèvres. Mais elle n’eut le temps de répondre qu’elle était déjà entrainée dans un endroit où personne ne circulait. Le couloir des bureaux des profs.
-          -  Qu’est-ce que tu fais ? Ou tu m’emmène ? On n’a pas le droit de venir ici, tu ne le sais pas ?
Il la lâche et lorsqu’elle fixe l’intérieur de ses yeux elle comprend. Il avait envie d’elle, envie de son corps et de son esprit. Il suffisait qu’il touche son bras une nouvelle fois pour qu’entre eux ça soit l’extase mais il n’allait pas la toucher. Il prononçait la prochaine phrase en avançant ce qui faisait reculer Charlie.
-        -   Non je ne savais pas, tout ce que je sais c’est que j’ai envie de te déshabillée au milieu de ce couloir, de te jeter dans l’un de ses bureaux et recouvrir chaque centimètres e ton corps de baiser pendant que les mères de famille nous écoutent en rêvant que ça leurs arrivent.

Il entourait son corps de ses deux bras. Les yeux de Paul allait des yeux de Charlie a ses lèvres. Charlie sentait la respiration de Paul sur ses lèvres, elle sentait cette chaleur entre leurs deux corps et une sorte d’attraction si forte qu’elle était a deux doigts de coller son corps a celui du bel écrivain. Mais lorsqu’elle prit l’initiative de l’embrasser, il décolla ses mains du mur et dit :
-         -   On se voit ce soir !
Elle n’arrivait pas a croire qu’il ait fait ça. La laisser dans ce couloir vide exciter comme une puce par ses lèvres et son corps, c’était de la méchanceté gratuite, de la torture. Alors qu’elle se pensait seule, sa prof préférer sort de son bureau intriguer comme si elle avait tout entendu. Mme Stawman. C’était une grande blonde, c’était la seule prof qui était vraiment humaine, elle faisait attention a ce que pensait ses élèves et étaient souvent de bon conseil. Quand elle voit Charlie encore sonner, elle lui sourit et lui fait le geste de venir dans son bureau. Lorsqu’elle entre Charlie ne s’attendait pas à moins. C’était sobre, épurer et rempli d’affiche avec des citations de livre. Y’avait la citation préférer de Charlie, « Tu seras aimé le jour où tu pourras montrer tes faiblesses sans que l’autre s’en serve pour augmenter sa force ».
-      -      Je suis vraiment désoler mais j’ai tout entendu… tu devrais aller le retrouver.
-      -      Vous savez autant que moi que ce n’est que de la torture, simplement un moyen de…
-      -      De rendre votre premier rapport ensemble plus sensuel, plus palpitant, plus sincère ou simplement plus charnel. Il pose du désir sur une table comme si il disait, au moment où on le prendra tous les deux, ce sera l’extase. Mais toi tu ne sais pas quoi faire…
-     -       J’ai peur parce que c’est nouveau et parce que je connais son histoire d’amour précédente par cœur et que je peux la relire quand j’en ai envie. C’est l’écrivain de  « Demain, je serai humain » et qu’il m’a avoué la fin de l’histoire. Elle est décédée donc rien qui lui fasse oublier sa relation avec elle, et puis y’a quelques jours Raphael, mon meilleur ami, a frapper un gars pour me défendre. Le gars voulait porter plainte contre lui mais j’ai couché avec lui pour qu’il oublier qu’il avait été frappé. --- Maintenant il n’y a que vous et moi qui sommes au courant.

-       -     Ça fait beaucoup d’un coup… mais tout d’abord, tu as aidé quelqu’un que tu aimais ensuite tu n’as pas vendu ton corps parce que ce n’est pas de la prostitution qui dit prostitution dit argent donc ce n’est pas la même chose. Maintenant si vous n’êtes pas ensemble alors c’est une autre sorte de relation donc tu peux aller le torturer aussi. Ce soir va chez lui et habille toi super sexy, tu as le corps pour ça. Montre que toi non plus tu ne te laisseras pas avoir par ses avances, montre lui que toi aussi tu peux le rendre fou. Et pour le livre, ne t’en fait pas, tu ne peux pas craindre quelqu’un qui est mort. Tu es a la hauteur et si tu ne l’es pas alors c’est lui qui ne sait pas quoi faire de toi.
Elle avait raison et Charlie le savait bien mais elle avait peur. Elle ne savait pas pourquoi elle avait peur mais c’était comme ça, elle avait peur de perdre son regard doux et plein de désir qu’a Paul. Elle aimait la douceur de ses gestes, de la tendresse qu’il avait, son sourire, sa barbe piquante, ses yeux bleus, sa façon hautaine de rire et pourtant c’était tellement sexy. Elle allait exécuter ce que sa prof préférer lui conseillait.
-       -     Mais je ne comprends pas, tu te fais autant de film alors que tu déteste tomber amoureuse et que lui n’est pas prêt pour une relation sérieuse, c’est le rêve alors pourquoi autant de question.
-       -    Parce que c’est le seul qui s’est intéresser a moi pour de vrai et le seul qui m’intéresse vraiment alors j’aimerais bien faire. Il n’est pas que beau et n’a pas qu’une voix sexy, il est intelligent, drôle, sarcastique et compréhensif.

Alors enfin, M. Stowman rit en voyant son élève aussi passionnée. Et lorsqu’enfin son cours commence, Charlie essaye de garder pied et de ne pas partir dans un rêve. 

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