Roman d'amour Chapitre 4
Chapitre 4
Elle se réveillait
difficilement d’habitude mais pour une fois elle avait mis son réveille à huit
heures pour préparer les crêpes avant l’arrivée de ses deux amis. Pour une fois
qu’elle se réveillait avec Greedy d’Ariana Grande. Elle s’habille assez
légèrement. Une simple robe a capuche et le tour est jouer. Commençant la pâte
de la crêpe, elle entend frapper à sa porte. Qui ça peut être ? Ce demanda-t–elle. Personne qu’elle
connaissait frappait a la porte, même le facteur rentrait, mais bon ils avaient
couché ensemble. Ses deux amis rentraient sans gêne, sa mère ne disait même pas
qu’elle était la, sa sœur venait s’évader de la musique forte de Romane (parce
que Romane et Léa étaient coloc) et le père ne venait jamais, travaillant a
Lion. Elle s’approche de l’entrer avec douceur. Elle pensait que c’était Raph
qui avait oublié ou était les clés cacher ou alors quelqu’un qui c’est tromper
d’appart. Quand elle ouvre elle ne s’attend pas du tout a ce qu’elle voit. Il
était debout fièrement avec un café dans chaque mains provenant tout droit du
Starbucks. Souriant et charmant devant la porte, il lui tend un café.
- - Café corsé pour princesse !
Elle trouvait ça bizarre mais sexy a souhait. Il avait cette
façon de ce tenir, cette façon de sourire et de se comporter avec elle. Elle
trouvait ses habilles simple mais sombre. Un t-shirt bleu foncé, un jean noir,
une veste en cuir noir et des boots. Il était déjà plus couvert qu’elle. D’un
coup elle se sentait nue.
- - Comment ?
Comment avait-il su ou elle habitait ? Ou avait il
apprit mon gout en matière de café ? C’était irréel qu’il soit devant
elle, attendant qu’elle attrape le café.
- - Je sais c’est bizarre. J’ai juste cherché ton
nom et prénom dans google et j’ai trouvé un gars qui pourrait être ton père.
Alors j’ai cherché sur Facebook et ton compte est en publique, j’ai vu que tu habitais
ici alors je suis venu. Avec un café, j’ai simplement demandé le café que tu as
pris hier et ils ont dit que tu prenais le même tous les jours de la semaine.
Lui, il était tout particulièrement fier de son idée. Il
avait pensé a sa tête toute la nuit. C’était excitant de savoir qu’elle aurait
l’air de s’être réveillée à l’ instant, l’idée qu’elle serait peut-être en
petite culotte et jean. Il avait aussi pensé qu’elle ne serait pas seule et
dans ce cas-là, il aurait fait croire qu’il s’était trompé d’appartement. Il
voulait absolument savoir ce qu’elle portait, ce qu’elle sentait, ce qu’elle
paraissait le matin assez tôt. Il avait ri seul en imaginant qu’elle sortirait
de la douche matinale et qu’ils auraient eu une discussion à travers une porte.
Il avait pensé à son visage, à son corps, à ses yeux, à son sourire et à ses
lèvres toute la journée d’hier et toute la soirée d’hier.
- - Maintenant je peux te demander ton prénom !
- - Pas encore…
- - Tu sais le miens !
- - Et alors…
Elle sourit. Mon dieu
ce que c’est beau ! Ce dit-il sur l’instant.
- - C’est fou, tu es fou ! Je peux savoir
pourquoi autant d’effort pour me revoir ?
- - Tu l’as dit, je suis fou. J’ai juste eu des
questions qui me trottaient dans la tête tout le long de la journée d’hier.
-
- Je
répondrais bien a toutes tes questions, mais entre je ne vais pas te laisser
dehors.
Elle avait même oublié que ses amis allaient arrivés pour le
petit déjeuner du samedi. Elle était absorbée par ses lèvres, par la façon
qu’il avait de parler et de se comporter. Il est entré mais n’est pas allé plus
loin qu’à quelques mètres de la porte. Il n’est pas rentré dans le salon et
n’avait même pas jeté un coup d’œil. Charlie sentait le courant d’air dans son
dos, elle n’avait pas fermée la porte et elle sentait bien la fraicheur qui
pouvait peut être calmé la chaleur.
- - Je dois savoir, tu fais quoi de ta vie ?
- - Je suis étudiante en littérature anglaise et
français intégré. Et toi ?
- - Je suis écrivain, enfin ce qu’on peut appeler un
écrivain. Je suis juste un auteur de petit livre sans grand succès. J’ai besoin
de savoir ce que tu penses en ma présence, parce que quand je suis avec toi, je
ne pense a rien d’autre.
Dans le cerveau de Charlie, cette phrase ne fit qu’un tour.
Il était l’auteur d’un livre qu’elle avait lu, un livre qui lui avait donné une
mini envie de tombée amoureuse. Ça n’avait pas durée énormément de temps mais
ce livre l’avait bouleversé assez pour en pleurer pendant deux jours.
- - Tu es Paul Williams.
- - Mince, cette phrase me traira toujours…
- - Tu es l’auteur de « Demain, je serais
humain »
- - Oups, je n’aurais pas dû écrire ce livre.
Il rit. Mais pour Charlie, ce livre était un des plus beaux
écrits dans le genre littéraire du romantisme. Il avait trouvé les mots justes
pour qualifiés les sentiments de Lilian qui avait les mêmes convictions que
Charlie. Paul était étonné du regard qu’elle lui avait jeté.
Elle fixait les
beaux yeux bleus de Paul sans dire un mot. Pendant un instant, une connexion
entretient leur regard et les deux bruns se fixent sans dire un mot.
- - Hey Connasse…
Bien sûr, il avait fallu l’entrer fanfaronne de Raph. Il
avait surement stoppé ce qui aurait pu finir dans un lit. C’était les idées
salaces qu’ils avaient eu en même temps. Il imaginait ses doigts lui donner le
plus de bonheur et elle, ses lèvres lui donnait le plus de bonheur. C’était des
idées qu’ils n’ont pas arrêté d’imaginer même quand Raph est entré.
- - Oh désoler.
Paul souriait alors a Charlie et lui tendit un numéro de
téléphone écrit sur un mouchoir en papier plier et il sortit avant de laisser
Charlie confuse.
- - Waw, il était hyper sexy. Tu peux me dire ce qui
t’ais arriver. Tu reçois des visites matinales maintenant.
C’était plus qu’une visite matinale, c’était une longue
aventure sensuelle et charnelle qui s’avançait vers eux deux.
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