Roman d'amour Chapitre 7

Chapitre 7
-      -     Arrêtons de parler de la cuisson de la viande, parle-moi de toi. 
Lorsqu’elle était entrée dans le restaurant, il était assis à une table et attendait son arriver avec impatience. C’était incroyable qu’il soit encore plus en avance qu’elle l’était, c’était son truc d’arriver au moins un quart d’heure avant l’heure prévu et lui avait réussi à arriver plus tôt encore. Il était habillé simplement, une chemise noire, sa fameuse veste en cuir et son jean noir. Elle n’avait pas non plus fait un effort grandiose, elle avait mis sa robe blanche en dentelle. Lorsqu’elle s’est assise, il lui avait tendu son verre dans lequel elle a bu puis ils ont parlé de la décoration atypique du restaurant pour poursuivre sur la cuisson des aliments qu’ils avaient commandé.
-        -     Je suis née à Lion et juste après ma naissance, on est allé vivre en Guadeloupe. Jusqu’à ma troisième, j’ai vécu le bas. J’ai passé mon lycée à Lion et maintenant je fais mes études a Paris. Mon père est Architecte, ma mère est Journaliste animatrice. J’ai une petite sœur blonde qui n’a qu’un an de moins que moi. J’ai deux meilleurs amis. Je connais Raph depuis la première et Romane depuis mon enfance. Mes parents et les siens ce sont toujours très bien entendu donc quand elle a dit qu’elle voulait venir vivre avec nous, ils ont réfléchi mais pas très longtemps. J’adore les films et lires est une passion.
-         -     Quel livre en particuliers ?
-         -     Orgueil et préjugés, c’est mon préférer. Je sais que tu dois surement trouver ça hyper féminin ou trop cucu mais c’est mon préférer.
-          -     Non, j’aime bien mais je préfère « Les grandes espérances ». C’est bien plus fort en émotion. Et je suis aussi très accro aux livres de Stephen King. Je les lierais jusqu’à la mort.  
-        -      C’est quand même très sombre. C’est vrai que « Simetière » est incroyable et que la majeur partie de ses livres son produit au cinéma tellement ils sont incroyables.
-     -        D’ailleurs, tu as un genre de film préférer ?
-      -       Non, je regarde de tout mais j’aime bien les films d’horreur en particulier le meilleur au monde « l’exorciste ». C’est mon père qui m’a donné cette passion du cinéma, j’en ai fait mon propre champ de guerre. C’est grâce a ça que les gens me prenne pour quelqu’un de normal.
-        -     Je ne sais pas ce que ça fait d’avoir le Qi supérieur a la moyenne mais je compatie.
Elle fixe Paul étonné. Seul sa famille et ses amis proches connaissent la vérité, elle ne le disait a personne. Elle faisait son possible pour le cacher a tout ceux qui croisait son chemin mais lui devait avoir remarqué quelque chose qui l’a trahit. Elle était beaucoup trop a l’aise avec lui.
-          -    Mon frère a un Qi supérieur a la moyenne et il fait la même chose que toi, il fait trembler sa jambes sous la table sans le vouloir. Contrairement a ce que tu peux croire ce n’est pas du stresse c’est seulement que ton cerveau travaille trop et qu’il envoie des signaux a la jambe. Mais bon aller parle-moi de la Guadeloupe.
Il ne voulait pas s’éterniser sur son fait. Quand son frère faisait ça, c’était chiant alors que quand elle elle fait ça, c’était sexy. Elle pose son bras sur la table très proche de la main de Paul et sans comprendre, une électricité intense traverse le corps des deux.
-     -      Quand tu vis la bas depuis tout ton enfance, le charme des plages, des ports, des robes madras, des chutes, des murs peints en couleur et des gens super gentille est cacher par les petites case en tôle, par les graffitis, par les gens qui crient dans les rues ou les autres qui se tire dessus, par les gangs ou les cyclone a répétition. C’est beau mais en tant que touriste.
-       -    Waw, tu ne vends pas du tout la Guadeloupe, tu me donne plus envie d’aller en Italie.
-       -     Et toi alors… ton film préférer ?
Pendant un instant, il ne réfléchissait plus. Il fixait les yeux marron biche de Charlie et rien d’autre ne venait gâcher ce moment. Il sentait son pied pas loin, il sentait la chaleur de son corps très proche du sien, il sentait l’envie d’embrasser ses lèvres monter en lui. C’était incroyable de voir a quel point elle était aussi intéressante qu’attirante.
-        -     « le bon, la brute et le truand » c’est un film exceptionnel avec les plans, les musiques, un chef d’œuvre.
-       -        Un western ? waw, je m’attendais à tout mais pas à ça. Tu as l’air plus d’un gars qui adore l’action, les films avec des fusils et des combats hors norme. J’adore aussi ceux-là mais moins que les films d’horreurs.


Elle rit. Bon sang que c’est beau. Il adorait son rire, il adorait son sourire, son humour et détestait ce moment-là. Elle arrête de rire lorsqu’il sourit. Il cherchait a savoir ce qui avait rendu cette tristesse sur son beau visage visible a tous.
-        -      C’est dommage, tu as perdu ton beau sourire princesse… Qu’est ce qui a ? Tu as vu le monstre du Locness ?  
-        -     La chanson a la radio. C’est celle que mon père me chantait quand je faisais des cauchemars a cause de la mort de ma grand-mère. Je voulais devenir écrivain. Ma grand-mère m'a toujours plus ou moins poussé à m'engager dans cette direction. Dès le moment où j'ai appris à lire. Elle m'a toujours soutenu. C'est elle qui m'a offert mon premier journal.... Et puis elle est morte. Résultat des courses, aujourd'hui, j'ai complètement abandonné l'idée de devenir écrivain. C'était notre rêve à toutes les deux. Et il est mort avec elle mais mon père me chantait la chanson que ma grand-mère me chantait le soir avant que je dorme. I’ll stand by you.
-      -    Je suis vraiment désoler. J’ai aussi perdu de gens que j’aimais mais j’ai jamais eu beaucoup d’alchimie avec ma famille. Je déteste mes parents et il me le rende bien, mon frère et moi on ne veut pas devenir des chirurgiens comme eux mais ils veulent absolument qu’on devienne des vieux qui joue au sudoku assis sur un fauteuil masseur a cause de leur dos en compote avec leurs perpétuelle thé avec cannelle qui fait du bien a l’œsophage. Ils n’ont pas supportés que je devienne écrivain comme mon grand-père. Alors je suis venu a Paris pour être loin d’eux.
-     -      Au moins, ils t’ont poussé a venir a Paris, sans sa tu n’auras pas écrit le livre, tu n’aurais pas voulu d’un café et tu ne m’aurais pas rencontré.
Il sourit. Il était effectivement content d’avoir rencontré Charlie. Elle était magnifique, intelligente, intéresser par lui. Elle était désirable, il ne rêvait qu’à ses lèvres, il rêvait de la chaleur de son corps, d’entourer son corps de ses bras. Elle était tellement sensuelle et sexy. Mais de son point de vu a elle, il était féroce, puissant, désirable aussi, il était le rêve éveiller d’une femme. Elle avait remarqué ses mains. Elle était ferme, rêche, masculine et virtuose.
-       -    Tu es pianiste ?
-       -     Pianiste, non. Je joue du piano, oui. Du jazz particulièrement… et toi, tu aimes quel genre de musique ? Attend Beyonce comme toutes les filles ?
-       -     Comment tu fais pour que les filles te cours après ?
-       -    Crois-le ou non, certaines filles ne peuvent tout simplement pas résister à mon super look, mon style, mon charme et à mon incroyable capacité à écouter Taylor Swift.
Ils rirent tous les deux. La soirée s’éternisa. Ils ont ri, souri, parler, regarder avec passion. C’était une soirée beaucoup trop intéressante pour stopper ça sans rien essayer. Elle n’allait pas le faire monter chez elle pour qu’ils aient leur première relation sexuelle. Elle ne voulait pas de ça aussi vite avec lui. Même l’embrasser, malgré l’envie, elle voulait seulement attendre et lui aussi d’ailleurs.
-       -    Voila ! J’aimerais te revoir…
-       -    Viens demain matin, tu me donneras le petit déjeuner…
Elle sort enfin de la voiture et atteint rapidement son appartement. Mais l’appartement voisin ouvre la porte.
-     -      Alors, il n’est pas avec toi ?
Raph était le voisin de Charlie et l’appartement d’après appartenait a Romane et Léa. Raph sort mais le visage Romane apparait a travers la porte.
-     -     Waw, il est aussi gentleman que ça ou tu as les règles ?

-     -     Ni l’un ni l’autre on veut faire quoi que ce soit pour l’instant. Je suis fatiguer, je vous vois demain midi pour vous en parler. Je vous aime. 

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