Roman d'amour Chapitre 15
Chapitre 15
- - Alors
comment elle est ?
Paul aussi avait ses habitudes, il mangeait quelques soirs
avec son frère sur son balcon, il buvait des bières Allemande et mangeait une
pizza en regardant le ciel. Il parlait des problèmes avec leurs parents et de
leurs histoires de cœur. Ce soir l’histoire concernait Charlie. C’était la plus
belle chose qui lui soit arrivé depuis la mort d’Arza. Enzo n’était pas de
grand conseil quand il s’agissait de relation qui n’allait pas s’arrêter après
une nuit. C’était plus que ça mais en même temps, il n’avait pas envie d’être
en couple aussi vite.
- - Elle est magnifique, grande, brune, des formes
sont magiques et je sens la souplesse dans ses gestes. Elle est supérieurement
intelligente comme toi et elle est tellement désirable.
- - Waw ! C’est bon l’engin reprend du
service ?
Paul rit et avale le morceau de part de pizza au chorizo et
poivron que les deux frères adoraient. Enzo paraissait plus bête que les autres
mais c’est un mécanisme de défense, il cachait sa vrai personnalité. Et puis,
il était beau gosse. Il avait les cheveux châtains claire et le corps bien
sculpté. Il était assez grand pour atteindre le haut des étagères.
- - Bin pas encore, a chaque fois qu’on essaye de
faire quelque chose y’a quelqu’un ou quelque chose qui nous empêche mais ce qui
m’énerve c’est qu’elle est comme toi. Je ne tombe jamais sur des filles comme
toi mais pour une fois, j’ai envie de tomber dans ses pièges.
- - Et puis tu l’aime déjà, hein ?
- - Non, pas encore mais j’aime bien le fait que ce
soit plus long pour nos relations a nous. J’aimerais faire quelque chose qui
donne une passion plus dévorante lorsqu’on le fera.
- - Torture-la ! Dis-lui des mots très chaud a
l’oreille, dis-lui ce que tu rêves de lui faire et part. Je t’assure que c’est
amusant.
C’est vrai que l’idée de la torture, il avait testé et il
avait trouvé ça excitant. Savoir qu’une femme pouvait ressentir une sensation
bizarre dans le bas ventre seulement en lui disant qu’on voulait lui faire
l’amour, suffisait a vous rendre heureux. Mais il rêvait de vraiment lui faire
rendre les armes. Il voulait qu’elle lui ordonne de lui faire du bien. Il
voulait qu’elle cri son prénom pour que même les voisins frappe les murs en
criant d’arrêter. Il voulait que la terre tremble a cause de leurs deux corps
en irruption. Il rêvait de sentir son corps se dérober sous ses caresses, de
sentir son cœur près a exploser et de sentir sa poitrine trembler a cause de sa
respiration trop puissante.
- - Tu as vraiment des doutes sur les sensations que
tu pourrais avoir avec elle, tu ne t’es jamais poser autant de question avec
Arza…
- - J’ai envie de faire bien avec elle, elle me
donne envie de me dépasser. Mon dieu si tu voyais, quand elle me regarde de ses
yeux marrons clair j’ai juste envie de faire tout ce qu’elle me demande. C’est
magique cette sensation quand elle me sourit, c’est extraordinaire cette envie
que j’ai de l’embrasser quand elle rit et quand elle a cette petite vaine de
fatigue sur son front qui apparait, sans parler de la petite lumière qu’elle a
dans les yeux quand elle parle de quelque chose qui la fascine. Elle est bien…
- - Tu veux dire qu’elle est parfaite mais que tu ne
te crois pas prêt. Ça fait deux ans Paul, faudrait la laisser partir.
Il avait encore peur. Il suffisait qu’il tombe amoureux
d’elle et que tout change dans sa vie, il ne pensera plus a son passé et aura
aucun remord ou sinon, il sera emplis de remord parce qu’il a réussi a passer a
autre chose et que rien que de savoir qu’il peut toucher une autre femme comme
il avait touché Arza pouvait le dégouter. Mais dans la relation qu’il pourrait avoir
avec Charlie, il y a les mêmes passions mais pas les mêmes gouts, la bagarre
d’idée, la passion sexuelle, le désir de l’autre, le romantisme et la fusion.
Ça pourrait être une autre sensation, un autre parcours.
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