Roman d'amour Chapitre 13

Chapitre 13

Elle s’était habiller vraiment plus sexy que toutes les autres fois qu’ils s’étaient vu. Une petite robe noire assez moulante faisait suffisamment l’affaire. Elle s’était parfumée très peu pour qu’il puisse poser ses lèvres dedans, et avait fait une petite coupe. Lui ne s’était pas casser la tête, il s’était habiller d’une chemise bleu foncé et d’un jean noir. Il avait toujours son allure confiant et ce qu’il voulait faire ce soir n’était pas quelque chose d’anodin. Il la voulait pour lui seul. Il entre sans frapper puise que c’était le truc de la maison et puis elle lui avait dit d’entrer tout de suite.

 Il est allé voir dans le salon mais elle était dans la cuisine alors là, elle arrive vers lui en balançant sans hanches. Les mains sur les hanches, le regard intense, la démarche assuré, elle sourit et dit :

-       -    Salut toi ! Tu veux que je te fasse gouter mon petit repas ?

-       -    Je voulais d’abord te faire gouter au plaisir…

Sans même hésiter, il l’attrape par les hanches et l’assoit sur la table de la salle a manger. 

Il pose lentement ses lèvres sur les siennes. Leurs baiser devient plus pressent et désireux. Leurs langues entame une danse enflammés et lorsque la main de Paul se pose sur sa cuisse des frissons parcours tout son corps. Lentement, il essaye de remonter sa main jusqu’à l’entre jambe mais lorsque son doigt passe sur la culotte en dentelle de Charlie, la porte de l’appart claque et quelqu’un se met a courir jusqu’au canapé. Pourquoi ils n’avaient pas le droit de faire l’amour ensemble ? Pourquoi a chaque fois qu’ils peuvent faire quelque chose, quelqu’un arrivait et faisait tout tomber par terre ?

Mais la, rien n’était normal. Raph s’était assis sur le canapé précipitamment et sanglotait dessus. Il frottait ses mains entre elles comme une mouche et criant… « Qu’est-ce que j’ai fait ? ». Charlie ne pouvait pas dire qu’il était au courant puise qu’elle lui avait dit a vingt et une heure l’arrivé de Paul mais ils avaient avancé. Alors Charlie descendit de la table et s’approcha de Raph en courant. Il sanglotait tellement que même lorsque Charlie attrapa ses mains dans les siennes, elle était secouée avec.

-        -   Qu’est-ce que tu as fait Raph ? Qu’est ce qui ne va pas ?

Il ne répondait pas. Paul ne resta pas la a regardé Raphael souffrir, il alla lui préparer un café, il sentait que la nuit serait longue pour les deux amis. Et puis Charlie avait beau lui demander ce qui n’allait pas, mais il ne répondait pas. Il sanglotait toujours et disait toujours que ce n’était pas lui, que ça ne lui ressemblait pas. Alors les renforts devaient venir plus vite que ça. Paul resta bouche bée lorsqu’il la vit courir jusqu’aux appartements voisin et frapper très fort en criant, « besoin d’aide ». Une petite blonde aux yeux vert et au teint rosé sort de l’appartement et court avec Charlie jusqu’à Raph. Elle se présente rapidement a Paul et il tombe quasiment des nus lorsqu’il apprend que c’est la sœur de Charlie. Au bout de cinq minutes, quand les larmes de Charlie coulèrent le long de ses joues, Raph ouvre enfin la bouche et dit :

-         -   Je suis allé à la fac tout a l’heure et lorsque j’allais sortir du cours juridique, un gars s’est approcher de moi et m’a dit qu’il voulait ton numéro Charlie alors je lui ai demandé pourquoi et il m’a répondu franco que c’était pour te baiser encore et encore jusqu’à ce que tu ne sente plus ton cul. Ça m’a énerver de voir a quel point les gens pouvaient te traiter alors je lui ai donné un coup de poing puis un autre et j’arrivais plus a m’arrêter comme si toute la colère que j’ai accumulé en moi sortait enfin. Je me suis arrêté que lorsque j’ai vu son œil saigner. Il va bien mais il veut porter plainte et je ne sais pas quoi faire. Je ne me reconnais pas, j’ai fait quoi là.

A cet instant, il se mit a pleurer deux fois plus que tout a l’heure et Charlie prit l’initiative de le rendre dans ses bras. Il avait raison et lorsqu’elle regardait ses mains pleine de plait et de coupure sur les phalanges, elle eut l’impression que c’était devenu un héros. Parce que malgré qu’il ait frappé un homme, il lui avait montré que personne ne la traitait comme ça. Alors Paul lui fit un sourire et embrassa le front de Charlie avant de sortir de l’appartement pour laisser a ces personnes, le temps de parler tranquillement. Mais Charlie n’allait rien faire dans la démesure, elle comptait bien sauver son ami, son frère de la prison.