Roman d'amour Chapitre 19
Chapitre 19
Habiller
d’un imperméable beige, d’une paire de bottes noir en cuir et de
sous-vêtements, elle se dirigeait jusqu’à l’immeuble qu’elle avait trouvé sur
Facebook, lui non plus n’était pas privé. Elle entra dans l’immeuble, plus sûre
d’elle que jamais et lorsqu’elle montait les escaliers elle réfléchissait a la
fonctionnalité du plan. Normalement, ils devaient ce voir ce soir mais a vingt
et une heure et il était dix neufs heures. Ce qui voulait dire qu’elle pourrait
tomber sur n’importe quoi. Elle arriva devant la porte et la découvre
légèrement ouverte, elle espérait ne pas tomber sur des voleurs ou sur un
Sérurier parce que quelqu’un avait forcé la porte. Elle entra et le découvre
assis dans le canapé, il fixait le mur opposé sans rien dire, il tenait dans sa
main droite un verre de bourbon et lorsqu’elle entra, il ne bougea pas comme si
il était paralysé. Mais lorsqu’elle planta l’un de ses pieds dans le salon, il
se leva et ferma son ordinateur.
- - Qu’est ce qui ce passe ? Charlie, qu’est ce
passe t il ?
Il jette un coup d’œil à la tenue de Charlie et mordille sa
lèvre inférieure en imaginant ce qui se trouvait sous l’imper. Elle détache la
fermeture et ouvre son imper. Il regarde le corps parfait de Charlie en
souriant mais son esprit lui cri que c’est un piège. Alors Charlie enlève
l’imper de ses épaules et fait tomber celui-ci le long de ses jambes. Elle
pousse Paul a ce rassoir sur le canapé et monte a califourchon sur lui. Elle
avait ses seins proches du visage du bel écrivain et lorsqu’elle entoura son
visage de ses deux mains et posa ses lèvres sur les siennes. Tout ça avait un
côté impudique et érotique pour elle.
Elle embrassait doucement son amant et
essayait elle-même de ce calmé pour ne pas vraiment lui faire l’amour. Elle
remue le bassin ce qui donne un coup a l’entre jambe de Paul et le fait gémir.
C’était passionnant de sentir le cœur de Paul s’emballer, c’était excitant de
voir la respiration de son amant augmenter de son intensité et c’était
incroyable de sentir son intimité se tendre dans son jean. Elle ne voulait
surement pas s’arrêter là mais elle devait s’arrêter a un moment ou un autre.
Sauf que lorsqu’elle essaya de se lever, Paul tira ses bras et il arriva a
retirer son soutien-gorge en un claquement de doigt. C’était fou a quel point
il avait eu envie de ses seins, qu’il avait envie de les voir. Ils étaient
mieux que ce qu’il avait imaginé, ils étaient assez gros et magique. Avoir ses
seins a l’air ce soir ne faisait pas partit de son programme mais pendant
encore quelques minutes elle pouvait s’abandonner a ses doigts magiques. Il
fait lentement rouler le tétons entre ses doigts et sourit avant de tirer le
corps de Charlie pour qu’il soit encore plus proche du sien mais Charlie ne se
laissait pas avoir comme ça. Elle passa sa main entre leurs deux corps et
appuya sur la braguette de Paul ce qui le fit grogner fortement. Il lâcha
l’emprise qu’il avait sur elle ce qui lui laissait le temps de prendre son
soutien-gorge et de se mettre de côté avant de le remettre. Elle lui sourit et
lui dit :
- - Tu fixes intensément mon corps, quoi, il est
aussi beau que ça ?
Il se leva, s’approcha d’elle et la colla contre le mur en
bois.
- - Il est magnifique ton corps et tu le sais, sinon
tu ne seras jamais venu habiller aussi légèrement. Tu me rends l’appareil et tu
as bien joué mais n’oublie pas que connait ton point faible maintenant.
Il caresse lentement la hanche de Charlie et remonte jusqu’à
son épaule. Elle frissonne et lorsqu’il pose lentement ses lèvres contre les
siennes, elle se sent s’évader un instant. Mais elle reprends vite ses esprits
et attrape le bas du t-shirt de Paul pour le faire remonter au-dessus de sa
tête. Lorsqu’il touche le sol, elle passe sa main sur le torse parfaitement
sculpté du bonhomme. Mais elle sentait vraiment qu’un baiser de plus et elle
finissait dans son lit ce soir alors qu’elle n’était pas venue faire ça. Elle
passe en dessous du bras de Paul et sort de l’appart en attrapant l’imper sur
le sol. Il avait quand même réussi a contre carré ses plans mais pour le plus
grand bonheur de Charlie.
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