Roman d'amour Chapitre 26

Chapitre 26
C’était reposant de voir son père. Charlie adorait sa présence mais rien ne changeait vraiment. Il était toujours celui qu’il était et pourtant, le comportement de leur mère était différent comme si il était le seul a la raisonné. Ce qui était vrai d’ailleurs. Depuis son enfance, Charlie a vu leur amour passer par des chemins dangereux. C’était un amour passionné, rien d’autre que ça. Ils pouvaient se disputer de la façon la plus horrible et tellement fortement que les murs des maisons alentours tremblaient aussi. Ils pouvaient se moquer l’un de l’autre et passer tellement de temps a ça et pourtant quand la mère se trouvait trop grosse, le père répondait du tac au tac qu’elle était magnifique et qu’il adorait son corps comme il était, parfait. C’était dérageant certaine fois leurs allusions sexuelle ou leur blague pourri mais c’était mignon de les voir rire ensemble. C’était même mieux de savoir qu’ils s’aimaient, car pendant dix ans, ils s’étaient séparer et rien que le fait qu’ils se séparent avait été un supplice pour Charlie. Elle pensait être fautive car ils s’étaient disputer lorsqu’ils avaient découvert l’existence de l’intelligence supérieur de Charlie. Maintenant qu’ils se sont rendus compte de leur amour, ils le file sans problème.
-        -    Tiens, Oliver et Théa vont monter dans deux semaines a Paris. Oliver comptait sur vous pour vous occuper de son intégration a Paris.
Oliver et Théa sont les cousins de Léa et Charlie. Oliver vivait déjà a Paris mais il était redescendu a Lion pour voir sa sœur qui avait eu quelques problèmes de santé. Charlie s’entendait très bien avec les deux d’ailleurs, quand il était la, Oliver était une sorte de garde du corps avec qui elle pouvait rire et Théa avait toujours été une cousine folle et qui prenait le plus de mauvaise décision mais elle avait surement grandi.
-       -     Cool mais elle va vivre ou ? Oliver n’a qu’une seul chambre dans son petit appart.
-       -     C’est prévu qu’elle vive en colocation avec Romane et toi mais celle qui devra vraiment s’occuper d’elle de façon intense sera toi Charlie.
-      -      Mais…
-      -      Elle a changé…
Le père avait dit cette phrase de façon tellement pas sure de lui que ça avait fait peur a Charlie mais Léa avait sorti une blague pour détendre l’atmosphère.
-        -    Et heureusement elle l’aurait regretté l’horrible garce. En parlant de çà, où est leur mère ?
Tout le monde ria sur la table et a ce moment-là, le micro fit un bruit aigu. Ils étaient dans un restaurant jazz ou de la musique résonnait sur les murs. Un homme plutôt grand monte sur la scène et vérifie que le micro fonctionne ce qui créait des interférences. Il annonce alors :
-       -     Ce soir, comme tous les jeudis notre pianiste va nous jouer un morceau. Alors accueillez bien fort Paul Williams.
Charlie commence a s’étouffer ce qui fait réagir Léa qui lui donne un énorme coup dans le bras. Il monte sur scène sous les yeux de Charlie et commence a jouer avec précaution.

 C’était fou a quel point il était agile de ses doigts. Il jouait un morceau que Charlie connaissait de la meilleure façon qui soit. C’était magnifique, doux, exaltant, attirant de le voir assis derrière ce piano a poser ses doigts sur les touches et faire sortir de la musique. 

Elle ne put s’empêcher alors de sourire comme une débile. Paul quant à lui, il était emporté par la fougue de la musique mais lorsqu’il examina la salle des yeux, il se rendit compte de la présence de Charlie. Il ne savait pourquoi mais il augmentait l’intensité de sa musique, devenait plus fort et plus passionné encore. Il fit un clin d’œil a Charlie qui lui fit un coucou léger. C’était excitant de jouer pour elle, c’était impressionnant pour Charlie de voir cette homme jouer devant elle de la plus belle des façons. Elle aimait le voir poser ses yeux que sur elle, de lui faire des sourires qu’a elle, de faire que des clins d’œil qu’a elle et surtout d’entendre qu’il pouvait faire sortir une mélodie incroyable grâce aux doigts qui l’avait fait autant de bien hier soir. Lorsqu’il termina, Charlie ne put s’empêcher de se lever pour le rejoindre. Il est allé dans les vestiaires et Charlie entra.
-       -     New York State Of Mind… c’était très beau !
-      -      Tu sais que tu es magnifique ce soir.
-       -     Tu ne m’as pas rappelé aujourd’hui.
-       -     J’ai pensé qu’on pourrait vouloir se dégourdir les jambes. Prendre une pause de la tension sexuelle.
Elle rit. C’est ce qu’il voulait, la voir rire. Il n’en pouvait plus de la voir seulement sourire, c’était tellement plus excitant de la voir rire et beaucoup plus si affinité. Il ne rêvait que de la revoir.
-       -     Je n’étais pas au mieux de ma forme ce soir, c’est parce qu’hier soir quelqu’un a réussi a me faire perdre tout contrôle et toute force.
-        -    Je suis sure que cette fille a adorer te faire perdre le contrôle et qu’elle voudrait recommencer.
Il s’approcha d’elle et la poussa contre le mur. Il regardait l’intérieur pénétrant de ses yeux, c’était incroyable parce qu’une autre sensation que celle qu’il avait hier soir avait apparu pour elle. Il ne savait pas comment réagir mais il s’avait comment ne pas réagir. Il ne voulait pas de relation sérieuse, elle non plus. C’était de toute façon vouer a l’échec. Ils ne seront que des plans cul l’un pour l’autre.
-        -    J’aimerais savoir ce que ressentait le piano.
-        -    Mais le piano n’avait pas la chance de sentir mes lèvres sur lui.

Il planta ses lèvres dans son cou et embrassa lentement tout en descendant. Elle pousse Paul un instant et l’instant suivant, elle l’attrape par la nuque pour l’embrasser fougueusement. C’était nouveau a chaque fois. C’était excitant a chaque fois. C’était un feu d’artifice a chaque fois. Alors pour faire durer, elle sort des vestiaires et retourne en salle. Le père n’avait pas compris pour qu’elle raison sa fille s’était évader de la table aussi rapidement.
-       -     C’était pour quoi ce moment où tu es allé dans les vestiaires.
Léa avait remarqué que ses lèvres étaient enflés et rouge et que dans son cou, il y avait un peu d’humidité.
-      -      Le pianiste est un ami alors je suis allé le félicité.

Elle se rendait compte qu’elle aurait aimé devenir plus qu’une amie pour lui et peut être plus qu’un plan cul mais ne lui dira jamais par peur de ce prendre une veste. Il voulait encore n’être avec personne alors elle respectait cette décision et puis elle ne voulait être avec personne non plus. 

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