Roman d'amour Chapitre 11
Chapitre 11
Ce matin-là, elle ne
portait pas grand-chose sur le corps. Elle avait mis des sous-vêtements noir et
léger puis avait enfilé un grand pull noir. Elle avait même rendu tout ça plus
sexy que ça l’était déjà, elle avait dénudé l’une de ses épaules. Ils étaient devant
la porte d’entrer fermer de l’appartement. Il avait les mains sur ses hanches
et elle autour de son cou.
Ils s’embrassaient avec douceur et volupté. Elle
avait eu envie de lui énormément hier mais sa mère avait tout fait gâcher avec
sa présence inattendue. Lui, il avait qu’une envie, savoir jusqu’où elle
pourrait aller.
- - Bon ! Pars de chez moi ! Tu vas me
mettre en retard…
Elle savait que si ils restaient la a s’embrasser même avec
douceur, elle lui sauterait dessus au moment même où leurs langues se
batailleraient.
- - Et bien princesse ! J’ai une meilleure idée
et si je restais quand tu te prépares et je te dépose, c’est sur mon chemin.
- - Non ! Si tu restes ici encore deux minutes
de plus alors je risque de te susurrer encore une fois a l’oreille si tu peux
me faire l’amour alors non…
- - Redis-moi ce que tu m’as dit hier soir.
Ça lui faisait bien quelque chose dans le pantalon mais
pourtant il aimait l’entendre. C’était jouissif de savoir qu’on faisait autant
d’effet a une femme et d’ailleurs c’est ce qu’il ressentait. Elle lui fit un
sourire mignon et il ne put s’empêcher de poser ses lèvres dans son cou. Elle
poussa un petit gémissement au contact de ses lèvres. Il releva ses yeux sur
elle et lui demanda a nouveau de lui redire.
- - Non. Je vais être en retard…
Elle était a deux doigts de craquer quand il embrassa le
long de son cou jusqu’à atteindre son épaule dénudé. Il caresse son cou de ses
longs doigts et passe ses lèvres sur sa clavicule. Encore une fois, il touche a
sa clavicule et elle les faits virevolté contre le mur. Alors elle le pousse et
lui dit en riant de nervosité :
- - Aller ! sort de chez moi tout de suite…
Il ouvre la porte, sort. Elle le regarde traverser le
chambranle de la porte. Elle tire son bras et son corps tout entier s’approche
du sien. Elle l’embrasse pour une dernière fois avant qu’il lui dise :
- - Je crois que tu as un truc dans le cou !
Et il part en vitesse. Elle court jusqu’à la salle de bain pour
vérifier que ce n’était rien de bien grave mais lorsqu’elle voit ce qui
l’attend, elle rit. C’était mignon d’avoir marqué son territoire, d’avoir
montré a tout le monde qu’il avait fait quelque chose avec elle, quelque chose
de sexuelle.
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