Roman d'amour Chapitre 18

Chapitre 18
 Elle était excitée par l’idée de faire ce qu’elle venait de prévoir. Elle avait hâte de découvrir ce qu’il allait dire ou murmurer. Elle souriait toute seule en imaginant que son plan allait fonctionner. Elle montait rapidement dans l’escalier jusqu’à l’appartement. Elle avait besoin de savoir ce qui allait se passer dans son cerveau. Elle montait de plus en plus vite jusqu’à arriver devant la porte en bois de Paul. Elle remet quelques mèches de cheveux et lorsqu’il ouvre la porte, elle lui saute au cou. Elle l’embrasse jusqu’à ce qu’il repousse son corps et lui demande comme prévus :
-        -   Mais qu’est-ce que tu fais ?
Elle approche doucement ses lèvres légèrement enflés près de son oreille et murmure lentement :
-       -    J’ai envie que nous fassions l’amour. Dis rien et prend moi !
Il sourit et pousse le corps de Charlie jusqu’au mur parallèle. Il prend les lèvres de Charlie avec toute sa voracité. Tout ça était animal, tout ça était sensuel et charnelle. Elle aimait savoir qu’il ressentait une sensation bizarre lorsqu’elle détacha sa ceinture.

 Il embrassait avait volupté son cou pendant qu’il marmonnait :
-          -   Charlie…
Elle répéta qu’elle ne voulait pas qu’il parle mais sa voix se transforma, elle était devenu féminine et heureuse.

Quand elle reprit conscience, elle remarqua que le cours qu’elle ne voulait pas manquer était terminer, que la prof qui était censée être tout en bas, était remonté jusqu’à elle. Elle fixait le vide, la tête appuyer sur le bras qui faisait en sorte que son visage ne tombe pas. Elle était vraiment éprise de l’imaginaire qu’elle venait de s’inventé. Encore une fois, Mme Stowman prononça son prénom et enfin Charlie raisonna.
-        -    Désoler, je vais rentrer chez moi, je ne me sens pas très bien.
-       -    Rentre, je donne un mot aux profs que tu as après…

Charlie la remercia et s’évada de l’université. Elle ne se sentait pas de rester pour un prochain cours parce qu’il avait réussi a entretenir une flamme de passion dans son être le plus profond. Elle devait en faire pareil. 

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