De dos : Chapitre 17

Lorsque je me réveillai, je tombai directement sur la main de Damon sur ma cuisse nu.
Je m’étais réveiller violement, la voiture avait roulé sur un caillou ou sur un creux ce qui la fit sursauter et moi aussi. Ça faisait trois heures qu’on roulait sans relâche, il n’avait pas quitté le volant et la pluie avait commencé a tomber quand il referma le toit de sa camaro. Il n’avait pas encore remarqué que j’étais réveiller puise que je n’avais pas bougé.
-        -  Tu sais, Je suis sur le point de dire, probablement le truc le plus égoïste que je n’ai jamais dit de ma vie. J’ai juste à le dire une fois. Tu as besoin de l’entendre. Je t’aime Nina.
Et c’est parce que je t’aime que... je ne peux pas être égoïste avec toi. Je pense aux autres alors que je ne pensais qu’a moi !
-         -  Et pourquoi une tel déclaration d’amour !
Je ne m’attendais pas a ça.
-          - Je voulais te le dire hier soir mais ta famille a débarquer et ce matin aussi mais tu m’as pris sur le fait et j’ai pensé qu’il ne fallait pas un moment romantique pour dire ça, ça allait le rendre romantique quoi qu’il arrive.
-          - Je ne sais pas quoi dire !
-         -  Alors laisse tomber !
Il dit ça d’une façon a me couper le souffle. Je ne voulais pas en arriver là parce que je n’aime pas vraiment dire ce que je ressens mais il le fallait.
-          - Non attend ! il s’est passer un truc hier, j’ai compris quelque chose a propos de toi, a propos de nous. Je peux t’assurer que c’est la chose la plus réelle qui met été donner de ressentir de toute ma vie, je t’aime Damon !
Il était comme couper du monde extérieur. J’ai vraiment pris sur moi pour le dire mais c’était la vérité, je l’aimais. Son côté ironique en toute circonstance, sa façon de me parler, la facilité qu’il a a me faire rire et la façon dont il me dit « je t’aime » je ne sais pas comment mais je l’aime encore plus lorsque je le lui dis.
D’un coup, comme si il était revenu sur terre, il s’arrête violement sur le bord de la route. Il n’arrête même pas le contacte qu’il m’attire vers lui. Il m’embrassa langoureusement mais il n’avait pas l’air de vouloir plus. Moi je ne pouvais pas. Sa main fermement vautrer sur mon genou et la façon dont il m’embrasse me donne envie de l’excité.
Mon téléphone sonne. Mon père m’appelait, ils avaient dû remarquer qu’on s’était mis sur le côté de la route.
-        -   Répond ! il faut qu’on y aille !
- J’attrape sa main qui s’en allait pour toucher au frein a main.
-        -   Non !
-         -  Si !
-          - Non j’ai envie de toi ici et maintenant !
-          - On ne peut pas faire ça… pas comme ça.
Je lui susurre a l’oreille :
-          - Je sais que tu en as envie Damon. Je sens comme tu bandes.
Je ne peux pas croire que ce soit réellement moi qui parle, c’est plus l’excitation qui avait pris contrôle de moi.
-          - Allez Damon, tu n’as pas envie de me prendre, il n’y a pas de table ou de canapé mais un siège arrière.
-          - Putain d’accord et puis merde !
A l’ instant où ses lèvres touchent les miennes, mon corps s’enflamme. Excitée, je gémis dans sa bouche et, comme récompense, je l’entends gémir aussi. Je sais qu’il ce retiens et ça me rend folle.
Je décide de prendre le dessus. Je retire ma culotte et m’assoit avec beaucoup de mal sur ses genoux. Il me regarde les yeux écarquiller et les mains en l’air comme si je le contrôlais.
J’ai eu un sourire de malice sur le visage. Je le sentais, l’envie monter, l’envie de lui, de son corps. J’avais qu’il me prenne maintenant.
Je repris ses lèvres de façon sauvage et je senti ses mains se poser sur mon dos jusqu’à ce qu’elles descendent lentement sur mes fesses. Excitée comme jamais, je n’ai pas vraiment de mal a défaire sa ceinture et son bouton de jean.
Il fit glisser son jean jusqu’aux genoux et en moins de deux j’attrape son pénis pour entamer un va et viens avec ma main. Il gémissait mon prénom dans toute la voiture jusqu’à ce qu’il n’en peut plus. Il m’attrape par les hanches pour me pénétrer gentiment. Les vas et viens lent qu’il entamait ne faisait qu’accentuer mon excitation. J’accélérai le pas. Un coup puis un autre. Mes coups de rein le faisaient presque hurler mais moi je ne sentais pas encore cette envie d’arrêter. Je pris alors les choses encore plus en main que je les avais déjà.
J’accélérai encore plus quand il comprit que j’avais besoin de plus. Il fit descendre le dossier du siège et par une force incroyable, me contrôla au-dessus de moi. il accélérai a son tour et cette fois si, mes cris devaient surement sortir de la voiture. Je sentais la voiture bouger a cause de nous et les hurlements que je poussais l’encourageait.

Le dernier coup était fatale, il avait jouit comme moi. il avait perdu toute sa force, tombant sur moi fatiguer.  

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