De dos : Chapitre 18
Quand on arrive a l’hôtel, je me sens enfin
un peu mieux. Deux jours qu’on roulait, on avait passé une nuit dans un hôtel
miteux au beau milieu du pays. On était arrivé dans la soirée et Damon était
fatiguer pourtant chaque fois qu’on s’arrêtait on alternait les conducteurs.
L’hôtel était époustouflant. Quand on entre
dans les jardins, la couleur nous saute aux yeux. Les fleurs, ils y en avaient de partout et
sur le mur, au-dessus de la porte de la réception, entouré de fleur, le nom de
l’hôtel était écrit en grand. « Bel-Air ».
A l’intérieur, c’était encore plus beau
qu’à l’extérieur. Les murs étaient blancs mais rempli de photo de star qui sont
venu ici. Les canapés pour attendre étaient en cuir noir.
La femme de la réception était tout sourire
quand elle vit mon père arriver. Je l’ai maudit quand Damon est venu demander a
mon père la clé de sa voiture pour les autres valises et que son regard était
poser sur ses bras muscler et ses fesses magnifique.
Quelques minutes après, mon père s’est
approché de nous pour nous donner les clés et dire :
-
Tu prends ta sœur en charge, ta chambre est plus
grande avec un lit pour elle donc tu la prends en charge et pas de discussion.
-
C’est pas vrai tu rigole ! et Damon ?
-
Il sera avec toi ne t’inquiète pas mais tu
prends ta sœur en plus !
-
Mais on a le droit d’avoir notre intimité, elle
est assez grande pour prendre sa chambre seule !
-
Elle dormira avec toi dans ta chambre il n’y a
pas de discussion.
J’allais crier et surement faire scandale
mais par sa façon de me regarder, je compris dans les yeux de Damon que ce
n’était pas grave.
Je rangeais les habilles dans la penderie
quand Damon me dessinait. J’aimais tellement qu’il me dessine, il était planter
sur mon corps avec un regard presque d’analyse.
Il se leva et entoura mon corps de ses bras
viril tout en embrassant mon cou avec beaucoup d’emprise. Dans le miroir, je le
regardais, je nous regardais. Damon et moi, ça faisait comme une carte de vœux.
Tout a fait le genre de couple pour lesquels on se retourne dans le rue pour ce
demandé si il vont bien ensemble.
A la porte, on frappa.
-
Entrez, c’est ouvert.
Ma sœur sort de la salle de bain et regarde
la porte s’ouvrir laissant découvrir le visage d’une femme et d’une autre qu’on
avait déjà vue tout a l’heure a la réception.
-
Désoler de vous dérangez mais on vient vous
apporter des draps supplémentaires et un paravent pour couper la pièce en deux.
Elle souriait vers nous et Damon décrocha
ses bras de mon corps. La jalousie monte en moi mais je le vois seulement
prendre le paravent pour le poser. Je ne suis pas trop rassurer quand je vois
la réceptionniste ce mordre la lèvre inférieur en regardant les bras de Damon
ce tendre en portant le paravent, ma jalousie prend le dessus. Elle reste a le
regarder le mettre ce foutu paravent. Il revient vers moi et me prend dans ses
bras de nouveau. Son regard se transforma en haine. Elle me haïssait parfait,
moi aussi.
Elles sortent. Je me tourne directement
vers Damon.
-
Ta vue comment elle te matait ?
-
Oh ! c’est pas vrai, je vais y aller parce
que si vous vous crier dessus je préfère pas vous entendre ! dit ma sœur
en sortant de la chambre.
-
Tu es jalouse. C’est mignon !
-
Tu ne réponds pas a ma question, tu as vue a
quel point elle te regardait ! elle ce mordillait les lèvres tellement
elle était exciter cette connasse !
Je me détache de ses bras pour aller a la
fenêtre. De celle-ci, on pouvait voir la piscine en dessous. Un jeune garçon
était debout habiller et il n’avait pas l’air de vouloir se baigner, il avait
l’air d’attendre quelqu’un. Cette personne était arrivée. Une blonde, grande,
mince avec un air de la famille. Ma sœur m’étonnera toujours. Elle l’embrassa
et lui, lui rendait bien.
-
Tu m’écoute ?
Depuis le début, il me parlait mais j’étais
trop absorbé sur ma sœur. J’imaginais la façon dont mon père allait hurler et
dont lui, son petit copain, allait avoir peur.
-
Désolé, je suis désolé !
-
Pourquoi ? pour ne pas m’avoir écouté ou
pour être aussi jalouse ?
-
Pour ne pas t’avoir écouté parce que j’ai
totalement le droit d’être jalouse.
-
Pas quand tu sais que je t’aime !
Il me sourit. Je referme les rideaux et me
tourne vers lui pour l’embrasser.
De nouveau on frappa a la porte et c’était
encore la réceptionniste avec un cahier dans les mains.
-
Désolé de vous dérangez mais je dois écrire le
nom et le prénom de chacune des personnes qui dorment dans cette chambre.
Damon décrocha ses mains de mes hanches et ce
déplaçais vers elle.
-
Tu t’en occupe mon amour, je vais dans la salle
de bain !
-
Ok !
-
Et après c’est ta fête !
Il me fait un grand sourire et s’enfonce
dans la salle de bain.
Je lui réponds et quand elle sort de la
chambre lui ouvre la porte et je le retrouve sur le pas de la porte en
s’appuyant sur le chambranle en calson.
-
Alors ?
-
Alors quoi ?
Je me mets à rire.
-
Alors je vais te faire ta fête.
-
Non !
Je cri quand je le vois arriver vers moi.
Il me soulève et me jette presque sur le lit.
Elle m’enlève ma culotte sans même retire
autre chose. Il colle violemment ses lèvres sur mon intimité. Il passe sa
langue sur ma faille. J’hoquetai plusieurs fois en frappant ma tête sur le
cousin. Je tirai les draps et ses cheveux. En plus de la sensation qu’il me
procurait, il me caressait l’intérieur de mes cuisses. Il plongea un doigt en
moi sans me prévenir. Un deuxième puis un troisième. Les sensations qu’il me
procurait étaient si forte que j’hurlais son prénom bien trop fort.
Il retira ses doigts et sa langue pour
venir m’embrasser langoureusement.
Quelqu’un frappa a la porte. On se leva
rapidement et lui courra pour poser son pied sur ma culotte qui se trouvait au
milieu.
-
Entrez !
Mon père entre doucement dans la pièce en
regardant Damon presque nu. J’adorais le regarder couvrant pourtant ce qui
était déjà couvert.
-
On mange avec ta mère ce soir.
-
Ah ouais pour ça réunion !
Il acquiesce et tourne vers la porte un
petit regard méprisant a Damon.
Je lui souris. Il me fait un clin d’œil.
-
Elle est toujours focalisée sur toi, même après
ça !
Je lui cri quand il est entré dans la salle
de bain.
-
Ouais mais elle a dut comprendre qu’il n’y avait
que toi qui devait ressentir la sensation exquise de mes lèvres et ma langue
sur mon clito.
-
Je t’aime, je dis en chuchotant
-
Quoi ? qu’est-ce que tu as dit ?
-
Je t’aime !
Cette fois ci il m’entend et regarde
légèrement par la porte.
-
Moi plus !
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