Mon prof de Litterature : Chapitre 5

PDV de Damon
Je suis entrer malgré ce que me disait mon cerveau. J'ai pu apercevoir les intérieurs de leur jolie maison ce que je fis en compliment a Elena. Elle allait en direction de la cuisine faisait trembler ses fesses de gauche a droite me laissant devant la porte sans réellement savoir quoi faire.
Par cette façon de marcher j'ai pu remarquer ses fesses joliment sculpté.
- Entre !
Tout en entrant dans la maison et m'approchant de la ou elle ce trouvait je disais :
- je pense que tu ne peux pas me tutoyer !
- alors pourquoi vous le pouvez vous ?
- parce que je suis ton professeur et j'ai tout les droits.
Elle a sortit un verre et a verser du bourbon dedans. Elle me le tend et je le prend. Elle sourit, mon dieu elle sourit. J'ai eu des frissons quand son sourire s'est transformer en rire.

- quoi ?
- Je me rends compte que vous êtes la devant moi, a boire de l'alcool alors que j'avais l'impression que vous ne buviez pas.
- personne n'est parfait !
Elle rit de nouveau mais l'erreur que je fis, j'aimerai la retirer.
- Desoler pour tes parents, je ne savais pas !
Elle perdit immédiatement son sourire laissant place a un regard perdu. Elle déglutit et regarda mon verre laissant un blanc dans cette conversation.
- je, j'ai l'impression que je l'ai est tuer...
Elle bégayait mais pas que, sa voix pourtant sure d'elle devenait sombre et impétueuse.
- je ne vois pas ce que tu me dis la, tu as tuer tes parents ?!
- j'étais avec eux dans cette voiture et la seule qui reste c'est moi... je me sens meurtrière...
Je déglutis a mon tour et prend la parole.
- ce n'est pas a toi de te mettre cela sur le dos...
- ce n'est pas ce que j'essaye de faire, j'essaye de vivre avec sa !
Elle commençait a s'énerver et moi aussi malgré le moment que nous devions passer.
- mais c'est a eux de vivre avec sa, tu te rend pas compte que c'est ton père ou ta mère qui était au volent, les deux adultes !
- entre adultes ? alors je suis pas assez mure pour gérer la situation ?
- eux non j'ai pas dis ça !
- si je crois que c'est exactement ce que vous avez dit, vous avez dit que je suis une gamine et que je dois m'occuper de mes affaires !
- non, je t'assure que je n'ai pas dit ça !
Je ne savais plus quoi dire sauf me défendre.
- si vous pensez que je suis une enfant alors pourquoi vous êtes entrer ici !
- je suis entrer ici, parce que je ne te considère pas comme une enfant...
Elle ce tourne vers le micro ondes et me dit lentement et sainement :
- en faite je crois que je me suis tromper en vous faisant entrer ici !
- je ne crois pas non !
- moi j'en suis sure, en tout cas ce n'est certainement pas ce qu'une adulte aurait fait !
Elle ne dit plus rien et je comprend que je dois partir, ce que je fais tout en claquant les talons de ma chaussure au sol lui faisant comprendre ma décision.


PDV d'Elena
Le lendemain, je restais assise attendant que je prof de Littérature entre dans sa salle. Je ne revenais pas de ce qu'il avait pu dire hier soir. Je pose alors mes yeux sur la porte attendant que quelqu'un entre dans la salle. Je remarque que plusieurs filles entrent et plusieurs garçons entre. La sonnerie retentit et c'est a ce moment la qu'il entre pas très en forme.
- Je me demandais si a la fin du romans certains parmi vous ce sentait troubler pas l’hypocrisie d’Aticus, lança Mr Salvatore dans un calme complet. Je veux dire, il est monsieur procédure quand il s’agit de Tom Robinson et lorsque Bob Youele est poignarder il est prés a accepter la désistions du sherif.
- Il essayait de protéger Bouradelet, dit une camarade la main lever sans attendre que Damon donne son accord
- Le protéger de quoi du système juridique ? questionna t il. Aticus est un officier de la cours et il conspire pour couvrir un crime horrible et en plus il est prés que son fils paye pour l’acte commis par Bouradelet.
- C’est un marcher, rétorquais -je a haute voix
- Quel marcher ? demanda il en me regardant droit dans les yeux
La, je sentais qu’une tension montait a la surface. Et la seule personne qui savait tout ça était moi.
- Mr Youele aurait tuer ses enfants et Bou la sauver, Aticus ce sentais toujours coupable vie a vie de Tom Robinson alors il a offert Jem pour sauver Bou, expliquais je en regardant Damon marcher en ma direction. C’est comme un sacrifice.
Salvatore acquiesça, cette tension était elle sexuelle ou amoureuse ?
- Très noble dommage que Jam est été inconscient, vous croyez qu’il aurait eu une opinion différente ?
- Non il aurait été d’accord, je m'énerva
- Vous êtes sur de ça
On étaient bien en train de faire ce que je crois, on ce disputaient devant tout le monde. Il était plutôt beau avec cette petite mèche qui lui tombait sur l’œil gauche et cette voix rauque et grave a tomber par terre. Ce côté lecteur ou plutôt littéraire qui donnait cette certitude qu’il était intelligent et mature.
- Il était bien élevé, lançais je
Nos regards était l'un dans l'autre je n'arrivais pas a décrocher mon regard du sien et pourtant je pensais fortement que je devais l'embrasser.
Et d’un coup un élève de la classe se racla la gorge.
- Je vous en prie Mr Sperline vous voulez rajouter quelque chose avec tout votre calme ?
- Et bien le père de Jam était avocat il aurait pus réussir a sortir son fils de la, être bien élever n'a rien avoir dans tout ça
- A oui, le livre nous apprend ce qui nous forme en tant qu’adulte, vous n’y avez donc prêter attention ? lui demanda Mr Salvatore en s’énervant
- Non je voulais seulement dire qu’elle…
- Non ! non ! non ! non ! ce que vous voulez dire c’est qu’Elena c’est efforcer de comprendre ce livre et pas vous
- Non je ne disais pas ça Mr Salvaore, rétorqua James Sperline
- Alors que vouliez vous dire au juste ? demanda Damon en reprenant ses esprit car en peu de temps il devenait fou
- Et bien je suis persuader qu’Aticus aurait réussi a sortir son fils de la plus facilement que Bou c’est tout.
Plus aucun bruit ne bourdonnai dans la salle. Nos regards ce croise a nouveau et mon sourire l'intimide légèrement.
J'attendais a la fin du cours, espérant que lui puise me dire pourquoi et comment on a pu en arrivé la.
Quand tout le monde fut partit et que son regard était sur ses copies sans vraiment remarquer ma présence je cris alors :
- c'est nul, j'ai jamais été aussi mal a l'aise de toute ma vie. D'abord vous me dites que je suis immature et ensuite vous avez ce genre de réaction en classe, vous leurs faite croire que je suis votre petite protéger, je pari que tout le monde a du sentir qu'il ce passait quelque chose de bizarre. Non, Non mais c'est quoi ça, vous vouliez me donner une leçon ou un truc comme sa parce que j'en ai pas du tout envie et vous ne savez absolument rien a propos de mes parents alors éviter d'en parler parce que vous ne les connaissez pas et vous ne me connaissez pas non plus, c'est claire.
Je m'étais lever et je fis face a cet homme qui avait des yeux d'un bleu. Il avait tout les pas jusqu'a moi et me fixait comme si il était extase sur mes lèvres.
Mes yeux fondaient dans les siens, et mon regard ce pose tout d'un coup sur ses lèvres qu'il mordait en regardant les miennes de lèvres.
- je suis désoler pour ce qui c'est passer en cours, je t'en voulais de m'avoir fait sortir de chez moi, j'étais stupide, j'aurai pas du ! M'en prendre a Sperline comme sa, je ne suis pas fière de ma réaction.
- mais tu avais raison a propos de moi, j'aime réparer les choses et me mettre tout sur le dos. Et dans ma famille, c'est moi qui organisait et qui négociait.
- on ce tutoie maintenant ?
- tu as le droit, j'ai le droit !
Une tension sexuelle embaumait la pièce quand la sonnerie retentit me disant que mon cours prochain allait débuter. 

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