Mon prof de littérature : Chapitre 1

Aujourd'hui tout va changer, il le faut. Je vais sourire et ce sera crédible. Ce sera un sourire qui leur dira "je vais bien, merci ! oui c'est bon tout va bien mieux". Terminer la pauvre petite qui a perdu ses parents, je vais prendre un nouveau départ, être quelqu'un d'autre. c'est la seule façon de m'en sortir.
Je sors de ma chambre et fait mon possible pour atteindre, sans grogner, la cuisine. Quand je pénètre dans la cuisine, je decouvre ma tante Jenna cherchant dans le frigo ce qu'elle allait essayer de nous faire a petit déjeuner, elle me propose des toasts.
- je crois que ce qui compte c'est plutot le café , tante Jenna !
- y a du café ?
Mon frère entre dans la cuisine, le regard vide. Il venait de ce faire bouffer le cerveau et transformé par un zombie qui ne l'avait pas rater.
- oh , c'est votre premier jour de cours et je suis deja complètement dépasser.
Dépasser ? C'était le mot, elle ne savait pas qu'elle heure il était.

Dépasser par le temps, elle court dans sa voiture me laissant avec mon frère et son humeur de chien. Je ne prend que quelques minutes pour boire mon café et me presse dans ma voiture pour aller voire les filles avec qui j'avais un rendez vous au parc avant que nous rentrions dans ce foutu lycée. 

Les fleurs du parc sont fascinante, elles ressortent avec cette petite couleur douce pour un Septembre sombre. 
Caroline, on l'entend jusqu'a l'autre bout du parc, elle crit mon prénom ce qui réveilla un vieillard endormi pas loin de moi. 
Elle s'assoit et ce relève pour me prendre dans ses bras. 
- bon, prête pour cette nouvelle année de merde ? 
- prête ! je crois... enfin... 
Bonnie atterrit sur le banc a côté de Caroline et ne nous dit pas bonjour car elle l'avait fait par message. 
   
- les filles, il parait qu'il y a de nouveau prof cette année, tous plus craquant les uns que les autres... 
- a ouais, t'en qu'ils ne me fond pas chier... 
Les profs ! Le sujet qui fache, chaque année ils ce passent le mot, je suis la fille recaler et on me met dehors le temps que le cours ce fasse. 

Arrivées dans le lycée, on ce regardent toute en souriant. Cette année s'annonce horrible mais j'avais envie de profité des petits moment heureux que j'aurais avec elles. 
- je t'aimmmmmmmmmeeeeeeee! 
Une voix familière me fait trembler sur place quand elle crit cette phrase. Je perds mon sourire mais je me rends compte de qui avait crier cette phrase a l'eau de rose. Je reprends mon sourire et regarde la personne qui redit cette phrase quand je le regarde. 
 Je m'approche et le prend dans les bras quand j'apprend qu'il est dans le même cours de Litterature qu'on avait en toute première heure. J'adorais cette matière mais les profs que j'avais eu m'on tous dégoûte. 
En entrant, je parle avec Stiles et apprend qu'il est revenu il y a deux jours parce que lui ne voulait pas rentrer ici, la France, il avait adorer sa. 
Je ris quand il dit avoir manger des escargots et que il a tout recracher dans l'assiette. 
Je ne pouvais pas m'arrêter quand le prof entra dans la salle et déposa ses affaires. 
Inédit, un prof canon. Les bavards ce sont arrêter pour regarder ce bel âtre qui venait d’atterrir de sa planête, Krypton. Le corps parfaitement sculpter et les bras vigoureux, le corps d'une statut grecque. Les cheveux noir charbon et les yeux bleus ciel. Plus personne ne faisait de bruit, la première fois qu'un prof faisait autant d'effet a la classe. Ses yeux ce sont arrêter sur moi, il m'a sourit puis a continuer a faire un tour de classe avec son regard. 


- merci pour ce silence ! 
Il retire son blouson en cuire et j'avoue que j'ai joui intérieurement moi aussi. Ses bras son simplement des merveilles. 
Il écrit son prénom et son nom sur le tableau. "Damon Salvatore". Le prénom est si proche de ce qui ce rapporte a la litterature et son nom de famille me rappelait le film Italien "cinéma paradiso" le petit garçon qui est le protagoniste de l'histoire, s'appelle Salvatore. 
Les bouches ouvertes, toutes les filles écoutent attentivement ce qu'il dit sur l'année qu'on va passer. 
Les sourires sensuelles qu'il n'arrêtait pas de me lancer rendait les autres doucement jalouse. 
Je sentais cette année magnifique. 






















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