Mon prof de Littérature : Chapitre 14

PDV externe
Ce matin, Elena s'était lever avec beaucoup de difficulté. Elle avait beaucoup de mal a ouvrir ses yeux pour la première fois de sa vie. Elle traînait des pieds mais pourtant elle arriva au but fixer par les professeurs, de ce rejoindre tous ensemble avant 8h. Le brouhaha que procurait les élèves était fatiguant. Damon et Stefan entra dans la salle.
- la ferme ! cri Damon
Tous ce retournait regardant cette homme vigoureux.
- on va aller visiter la ville... si vous n'êtes pas content c'est comme ça... et demain on ira dans le monde magnifique de la littérature.
Dit Damon un peu de façon ironique.
- bon ! mon pote, on va éviter de s'énerver... aller les élèves tous en route pour le bus !
Damon s'avance et Elena recule essayant d'aller au plus près de lui. 
- ça ne m'étonne pas ton humeur, tu as mal dormi ? 
Il s'arrête alors elle aussi.
- comment tu peux savoir que j'ai mal dormi ? 
- tu as une trace sur le visage, très mignon mais aussi ton humeur te précède et m'aide. De quoi a tu rêver ? 
Un silence fini par s'installer. Leurs regard reste l'un dans l'autre. Damon s'approche d'elle et lui murmure dans l'oreille :
- j'ai rêver de toi ! 
Un jeu de séduction s'était instaurer entre eux, c'était dangereux mais excitant. Une façon soudaine de s'exciter l'un l'autre sans commettre l'irréparable. 
Alors qu'ils avançaient, Elena tomba faisant semblant de s'être évanoui. Elle avait envie de rester dans son lit aujourd'hui et peut être en bonus, être surveiller par Damon. 

Quelques heures plus tard, Elena ce retrouvait dans son lit, aux côtés de Damon et bien sur c'était lui qui avait proposer de s'en occupé. 
Le frère de Damon n'en avait vue aucun inconvénient tant que son frère n'osait rien. 


PDV de Damon
Pendant la réanimation, on lui avait jeter de l'eau dessus alors elle ce trouvait tremper et par ailleurs, moi aussi. J'avais oser la porter et maintenant je devais me bouger. 
Je me désape rapidement ne supportant plus la sensation de ma chemise blanche qui me fait une seconde peau. Je reste torse nu parce que j'aime beaucoup cette tenue et ramène Elena dans ma chambre. Je l'a déposer délicatement dans mon lit, elle n'a pas bronché. Elle est vraiment dans les vapes en plus d'être un peu fiévreuse. Je prends un de mes t-shirts blancs dans mon placard me délectant de la situation. Étendue tel un ange, je lui enlève doucement sa bottine puis sa veste trempée comme le reste de ce qu'elle porte d'ailleurs. 
Si elle n'a pas chopé une pneumonie, cela tient du miracle. Je m'attelle a la tache de la dévetir. Je ne suis pas d'humeur joyeuse en ce bon matin mais je m'applique. Arrivé a sa robe, j'hésite d'aller plus loin... 
Mais enfin Damon, tu as peur d'une gamine. 

Elle n'est plus qu'en sous-vetements et Jésus, Marie, Joseph... Son tanga en dentelle et son soutien gorge noir sans brettelle me laisse sans voix. J'effleure la dentelle et elle est humide comme le reste. Je soupire de frustration, je n'ai pas le choix, je vais devoir le lui retirer aussi. 
Je dégrafe le haut, combien de fois j'ai pu les rêver ces deux merveilles depuis le jour ou je l'ai vue entrer dans ma classe. Ils sont parfaits : ronds, fermes et la pointe rosée. 
Je me fais violence pour arrêter de la regarder ainsi mais la chair est faible. Mon pantalon commence à se serrer et tout ce que j'ai envie, c'est de la toucher. La chaleur me monte doucement en moi depuis mon bas ventre. Je ne devrai pas, je ne devrai pas...

Je laisse mon doigt glisser le long de sa peau tenté de toucher le moindre centimètre. Depuis mon bras, je longe son cou délicat, survole sa clavicule et je ne m'arrête pas. 
Mes muscles se contractent lorsqu'elle émet un faible gémissement depuis son état de demi-conscience. La sensation est trop jouissive pour y mettre fin. J'atteins vite la source de mes rêveries. Son mamelon rebondi et sa pointe raffermie sont durs et doux sous mon toucher. Un gémissement plus fort m'enhardit davantage. 
Avide de cette forme de domination, je ne me reconnais plus. Heureusement, mon bon sens est la pour étouffer mes pulsions sexuelles et mes rappeler quand face de moi se tient mon élève de 17 ans à qui j'ai envie de faire des choses pa très catholiques. 
Essouffler, je lui enfile mon t-shirt pour de bon. Je juge sage toutefois de ne pas lui enlever le bas. Je ne suis pas un pédophile non plus. 



























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