Sheperd Family : Chapitre 5


Elena



-          -   Accroche-toi ! ACCROCHE-TOI ! je t’aime tu ne peux pas mourir… cri Meredith
A grenouiller près du corps de mon père, je regardais la scène comme si j’étais obligé de la voir. 
-          -  Attend ! Les filles, c’est trop dangereux, Elena descend je crois que tu peux trouver Bonnie…
Je touche son ventre et lui murmure a l’oreille :
-          -  Si tu meurs, je te fais revenir a la vie pour que Meredith te tue et après je te referais revenir pour que je te tue a mon tour.
Il rit et je me met a courir. Je ne m’arrête pas temps que je ne trouve pas Bonnie. Je savais me défendre et mon père le savait mais la peur peut prendre plus d’ampleur quand un flingue est braqué sur vous. Je regardais de tous les côtés comme si j’allais traverser sur un passage piéton. J’arrive a l’entrer traumato ou j’étais et elle était quelques heures plus tôt. Je tombe sur cette homme a genoux devant Bonnie. Il tient le haut de son corps en cherchant comment retirer la balle.
-          -  Damon ? Je t’ai dit de rester avec ma sœur…
-          -  Elle est en bonne compagnie, le Dr Webber est avec elle. Et puis c'est moi, le garde du corps, le calme dans la crise.
Je ris. La première fois depuis que mon père nous a mis en quarantaine. J’adorais voir seulement son visage, il me réconfortait. Je me met a hauteur de ma meilleure amie et regarde son épaule. La balle n’était pas ressorti parce qu’elle avait cogné contre l’Omoplate. Elle avait touché le sus épineux. Cette balle n’était pas mortelle mais dangereuse.
-          -  Prend la dans tes bras, on va l’emmener dans le bloc.
-        -    On va m’opérer ? demande-t-elle avec difficulté.
-         -   Oui, je vais t'opérer
Il l’attrape et me suit jusqu’à la salle d’opération. Nous entrons et tombons sur Meredith qui surplombe le corps quasiment dénudé de mon père. Elle l’embrassait et d’un coup mon père rompt le baiser pour me demander :
-          -  Qu’est-ce que Damon fait la ?
-          Il a réussi a entrer sans que personne ne le voit, j’ai besoin de lui pour opérer Bonnie, je me suis juste tromper de salle. Je t’aime papa.
Je referme avant qu’il n’ait pu ouvrir la bouche, je ne voulais pas entendre la voix de mon père une seconde de plus. Et dire que j’aurais pu être a ses côtés pour qu’il ne souffre pas. Je dois sauver ma meilleure amie, c’est le plus important.
J’entre dans la salle d’à côté et il la pose sur la table. Je cours pour me laver les mains et m’équiper. J’avais le traque, je savais le faire, j’avais déjà essayer sur mes poupées sans qu’il n’y ai de problèmes étant enfant mais ce n’était plus une poupée, c’était ma meilleure amie.
J’entre dans la salle d’opération et un anesthésiste avait endormi Bonnie, il était dans la salle comme si il savait qu’il devait être la mais qu’une force l’empêchait de dire le moindre mot.
-          -  Tu l’as hypnotisé ?
-          -  Bien sûr !
Je me penche vers Bonnie et commence a retirer la balle a l’aide de la pince a épiler. Je me concentre sur ce petit morceau de plomb dans le corps de mon amie et au moment où je tire sur la balle pour qu’elle sorte, l’homme au flingue entre et pointe le neuf millimètre sur nous. Je pose la balle dans un bol en fer et nous levons les mains. Damon aussi comme si il pouvait avoir peur de lui. Il se tourna vers l’homme et s’approcha lentement.
-          -  Qu’est-ce que vous faites ? Je suis armé…
-          -  Vous allez sortir d’ici monsieur, laissez cette femme travailler.
D’un seul coup, l’homme sort et me laisse travailler. J’avais eu tellement peur, tellement peur de perdre la vie ou de perdre Bonnie. Je continu. Je referme la plaie et lui accroche une poche de sang. Bonnie était sauver, j’étais heureuse. Je pris donc l’initiative de faire sortir Damon avec Bonnie sur le lit d’hôpital et de rester dehors avec ma sœur. Je cours dans les couloirs de façon a trouvé des personne qui ont besoin d’aide.


Au loin, j’entends un cri. « Ils ont bloqués les ascenseurs ! » cri une voix familière. Je cours alors pour trouver la personne qui criait comme ça. En arrivant sur les lieux, je m’exclame de peur. Du sang sur le sol, le corps d’un interne que je connais, une patiente apeuré et une Dr Bailay qui hurlait a tout rompre.
-         -   Remettez-les en marche ! remettez-les ! on doit l’emmener au bloc, s’il vous plait !
En même temps que d’hurler, elle frappait contre les boutons des ascenseurs comme si ça allait changer quelque chose. Je cours jusqu’à elle, elle faisait partit de ma famille, une famille que j’avais la chance d’avoir. J’entoure son corps du mien et elle s’effondre dans mes bras. Elle hurle de douleur intérieure et les seuls choses qui pouvaient être fait étaient la mort pour mon ami Charles. Les larmes coulaient le long de ses joues et son regard tombe dans le mien comme si j’avais une force en moi qui pouvait l’aider dans cette étape. Bailay se détache de moi et me demande :
-          -  Tu es blesser ma chérie ?
-          -  Non tout va bien pour moi, c’est le sang de ma meilleure amie et surement celui de mon père aussi….
-          -  Quoi ?
Elle me fixe ce qui ne fait qu’aggraver les problèmes.
-          -  Va voir ton père et dépêche-toi !
-          -  Mais vous avez…
-          -  Je m’en sortirais va aider ton père ! m’ordonne-t-elle
Je cours jusqu’à la salle d’opération dans laquelle ils étaient tout à l’heure. Quand j’entre, je me retrouve nez a nez avec une scène effroyable. Le tireur pointe Cristina avec son putain de fusil et pourtant elle continu. Ses yeux pleurs et pourtant elle continu. De l’autre côté de la vitre, je vois entrer Le Dr Hunt, il met un bonnet et attrape un masque avant de s’éternisera perler a, surement, Meredith. Il entre alors et le fusil qu’il avait re pointé sur moi un peu plus tôt, il le pointe sur lui.
-          -  Oh calmez-vous, calmez-vous ! expliquez-moi le problème, parlez-moi !
-          -  Owen !
L’homme pointe a nouveau son fusil sur Cristina et la peur continu a planer dans la pièce.
-          -  Arrêtez de le soigné ! dit l’homme. Laissez-le ce vider de son sang et mourir… vous voulez que je vous tue, arrêtez de le soigné.
Ses crient de peur retentisse dans toute la pièce et les nerfs de cette homme montent un peu plus.
-          -  Non ! non ! Jackson clampe l’artère ! tu contrôleras mieux l’hémorragie et j’aurais une meilleure visibilité.
Maintenant, il pointe Jackson Avery et lui demande de ne pas bouger. Des sueurs froides tombent sur le sol et les petits bruits de pince comble le silence. Une vraie tension envahissait la pièce. Hunt bouge un minimum pour essayer d’atteindre l’homme mais celui-ci fut plus rapide. Il avertit Dr Hunt de ne pas bouger.
-         -   Owen, je ne peux pas arrêter, faut que je continu
-          -  Je sais, je sais continu
Les allés retour du fusil devenait lassant. Il pointe pour la énième fois sur Cristina.
-          -  Si vous n’arrêtez pas, je vous met une balle dans la tête !

-          -  Hey ! cette femme est la femme que j’aime et si vous tirer, si vous la toucher je vous tue.
Une nouvelle fois, les pleurs et les cris retentissait. Une nouvelle fois, les petits « clips » des instruments de chirurgie retentissent.
-          -  Ça ne devait pas se passer comme ça. J’étais la pour tuer Shepherd et pour rendre justice a ma femme. Il l’a tué, il doit payer. La seule personne qui m’intéresse ici, c’est Shepherd. Alors fermez la, je ne veux plus vous entendre. Et vous, éloignez-vous !
-          -  Je suis la fille du Dr Shepherd…
-          -  Tuer moi !
Meredith est entrée au moment même où j’allais faire mon speech sur mon père et ma vie. Elle n’avait pas peur, pas peur de ce prendre une balle ou de mourir.
-          -  Vous voulez que Derek paye, pour la mort d’Alison ? je sais ce qu’il s’est passé, vous m’en avez parlé, la personne qui a débrancher les machines, c’est ma sœur, le Dr Webber était le médecin de votre femme, il me considère comme sa fille, et l’homme qui est sur cette table c’est mon compagnon, je suis la femme qu’il aime. Si vous voulez les faire souffrir comme vous vous souffrez tuez-moi ! vous obtiendrez justice…
-          -  Meredith !
L’homme n’a pas peur de tuer. Il pointe pour la première fois son fusil sur Meredith et s’approche lentement, assez lentement pour que la tension augmente a chaque pas qu’il fait.
-         -   Elena, tu diras a ton père que je l’aime et que je suis désoler.
-         -   Non attendez, elle est enceinte, vous n’allez pas tirer sur une femme enceinte.
Un moment, il hésite comme si il avait de la compassion après ce que j’avais dit. Il n’avait pas choisi de tirer sur elle, quoi qu’il arrive, il nous mettait la pression plus que nous faire réellement peur. Owen voulu sauter sur l’homme pour l’arrêter mais encore une fois, il est allé plus vite que lui et a tirer sur lui. Le cri de Cristina retentit d’un seul coup.
-          -  Lève les mains, fait-moi confiance, lève les mains.
Elle lève les mains en même temps que Jackson. Elle montre a l’homme qu’elle avait arrêté de soigner mon père et bizarrement une envie de sauter au coup de cette homme me prit de cours. J’avais envie d’arracher les yeux bleus qu’il avait.
-          -  Ecoutez-moi ! dit le Dr Avery. Dans quelques instants son cœur n’aura plus de sang a pompé et il s’arrêtera de battre. Vous le verrez sur le moniteur… attendez-vous allez voir.
Je sens alors une surface dure et un sentiment de pur abandon dans ma poitrine. Je cri surement, je pleure surement et je dois surement mourir de froid mais rien ne fait. Je sens toujours le poids de l’abandon. Je sens toujours cette envie de détruire son corps. Et quand j’entends ce « Bip » continu, je cri encore et encore sans m’arrêter. J’entends aussi les cris incessants de Meredith. Quand l’homme quitte la pièce, les deux médecins rebranche des machines qu’ils avaient retiré faisant croire qu’il n’était plus en vie. Le « Bip » incessant devenait un battement de cœur qui me fit me lever.
-          -  Meredith ? est-ce qu’Owen est mort ? Dr Grey est ce qu’il est mort ?
Meredith s’approche a quatre pattes vers le corps et vérifie qu’il n’est pas qu’inconscient. Ce qu’il est d’ailleurs.
-         -   Elena tu sors de l’hôpital et va rassurer tout le monde, et Meredith va dans le bloc d’en face et retire lui la balle.
Je sors après un moment de blanc totale dans ma tête. Je n’allais pas sortir, je n’avais pas envie. J’ai couru avec le peu de force qu’il me restait, jusqu’où Dr Bailay se trouvait. Elle pleurait encore a côté de sa patiente et de son interne mort. Elle me regarde insistant sur mon allure. J’étais tellement casser par les pleurs et les cris que ma seule force me permet de m’assoir de l’autre côté du corps.
-          -  Elena ? tout va bien ?
-          -  Oui ! tout va bien !
Elle avait surement remarqué mes larmes, ma faiblesse et mon allure de déterrer. J’allais bien, enfin mieux que je le pensais. Mes yeux ce sont fermés, le seul moment ou j’ai réussi a ouvrir les yeux, j’ai vu le visage droit et inquiet de Damon. Il me portait parce que je sentais un vide envahir mon corps faible. J’aimais son visage rassurant. J’aimais ses bras et son sourire narquois pourtant énervant au début.






Commentaires

Messages les plus consultés de ce blogue

The world is not a dreamland : Casting important

Road Trip : Chapitre 13