Sheperd Family : Chapitre 3

Elena





Pendant la demi-heure qu’on a passée dans cette salle, nous n’avons pas ouvert la bouche. Meredith et Cristina n’ont pas arrêté de faire des rondes devant moi. J’étais assise sur le sol froid et attendait que quelque chose fasse son apparition. Pendant ce lapse de temps, j’ai réfléchi a qui pouvait bien être à l’intérieur de l’hôpital et qui me tenait a cœur. En Deux secondes, l’image de Bonnie qui allait s’assoir sur un siège dans la salle d’attente apparu. J’ai tout de suite voulu sortir et la trouver mais les gens que j’avais remarqué dans la salle d’attente, m’était de confiance. Dr Sloan et l’autre Grey était dedans. Faire attention était leur priorité.
-          -  Ça va ?
Meredith s’était appuyer contre l’armoire pour respirer. Elle commençait a grogner et comme si ça ne suffisait pas, son visage était pale, tous les signe de l’envie de vomir.
-          -  J’ai pas arrêté de gerber cette semaine, dit-elle en regardant sa montre. Ouais bhin voilà c’est l’heure.
-         -   D’accord, on doit sortir d’ici parce que je ne tiens pas a rester ici après que tu aies parfumer la pièce de ton vomi.
Cristina regardait par la fenêtre de la porte. D’un coup elle arrête de tituber et respire de plus en plus doucement. Elle ce baisse et dit :
-         -   Oh c’est pas vrai, les filles baissez-vous. Meredith par terre.
-          -  Quoi ?
Elle regarde a nouveau et nous demande de nous taire. Elle se cache et continue a regarder. La nausée de Meredith commençait à devenir bruillante alors Cristina lui a demandé de ce taire encore une fois.
-        -    C’est le type de l’ascenseur !
-         -   Quoi de quoi tu parles ?
-        -    Il voulait savoir comment aller au bureau du chef ce matin…
-          -  Attend ! je sais pas du tout…
-             Les filles, le type au flingue essaye de trouvé Derek.
En deux secondes je me suis lever et elle a vomit dans un pot. Des sueurs froides on couler sur mon front et mes cheveux mon parut mouiller, ma bouche encore ouverte a regarder Cristina. J’avais la particularité de mon père quand il s’agissait des vies en danger.
On décide de sortir de cette salle a la puanteur nausée a bonde. Nous courrons jusqu’à ce qu’on trouve mon père. Mais bien sûr on ne peut pas le trouver dans les couloirs a chercher qui est de sortit mais devant le tireur qui pointe le fusille sur lui. De là où nous étions on entendait que quelques mots « fermez la ! Vous n’êtes pas le maitre du jeu, c’est moi maintenant. J’ai dit a ma femme de compter sur moi et je vous ai laissé décider de sa mort. Je n’ai pas vraiment été un homme mais en ce moment j’en suis un. Vous n’êtes pas dieu. »
Il cri « silence ». Après un moment sans rien entendre, on voit l’homme baisser son flingue. L’espoir qu’ils ai réussi a le raisonner avait enfin lieu d’être. Le soulagement était présent et sûre et certain que j’allais enfin pouvoir prendre mon père dans mes bras et lui dire que c’est mon héros de tous les jours.
La résidente Kpner sort de l’intérieur du couloir et cri en voyant mon père :
-          -  A Dr Shepherd vous voilà !
En une seconde, le tireur pointa a nouveau son neuf millimètre sur mon père et tira sans même pensé qu’il avait une famille. Meredith cri pendant que Cristina la retient et la tire hors de ce chantier. Moi je recule avec douceur tout en regardant attentivement la scène. Mes larmes me brule les yeux, je n’arrive pas a pleurer et pourtant c’est mon père qui s’est fait tirer dessus. Je savais au fond de moi que rien ne lui arriverait et j’avais l’impression que le tireur le savait aussi. Il avait tiré en dessous du cœur, entre les bout des poumons, si on retire la balle et qu’on le recoud, il se remettra sur pied plus vite que tous les autres.



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