Sheperd Family : Chapitre 13

Hope
Je fouinais. Regle numéro une d'un détective : trouver le moindre petit indice qui prouverait la culpabilité de celui qui est épié par vos soins et ayez en tête que rien n'est un hasard. Un homme qui ne tague jamais une femme sur un réseau social alors ou, il ne sait pas comment réagir envers cette fille ou alors il ne veut pas qu'elle soit trouver. Pire, elle n'est même pas dans vos amis et vous ne voulez rien avoir a faire avec une personne telle qu'elle.
J'avais donc mon ordinateur sur les genoux et je fouinais dans les réseaux sociaux d'Isaac et de son frère. Alors que mon père dormait juste a mes côtés, sur son lit d’hôpital, je continu a fouiller dans la vie de celui-ci. Tout ce que je savais sur lui a ce stade, c'était qu'il adorait le film Shining, qu'il était écrivain et qu'il adorait la musique de The Fray. Il avait écrit un livre très proche des Stephen King, en faite, il avait le même genre d'écriture. Il y avait tant de citation de Stephen King et tant de citation sur la perte de contrôle. Avait-il perdu le contrôle ? Avait-il besoin de perdre le contrôle ? Peut être qu'il avait juste besoin de se remettre les idées en place en se réfugiant dans une chambre d'hotel ou alors il travaillait sur un livre ?
- Tu fais quoi ? murmure mon père lorsqu'il se réveille
- Je travaille...
Alors je referme mon ordinateur, me lève et le pose sur la chaise sur laquelle j'étais assise. J'ai attraper sa main et me suis assise sur le bord du lit.
- Alors docteur Sheperd, vous êtes autant fatiguer ?
- Je crois que c'est le nouveau boulot de chef qui me rend si fatiguer, une semaine de congés dans ce lit me fait du bien.
Elle rentra, ma sœur rentra dans la chambre tout en enfilant son bonnet au couleur du ciel. C'était donc certain qu'elle allait faire une opération. Elle sort de la poche de sa blouse, sa petite lampe et examine les yeux de notre père. 
- Je sais que tu m'en veux mais ce n'est pas de ma faute si j'ai autant de succès... me dit-elle sans s'importer de la présence de notre père. 
- Je t'en veux seulement parce que tu veux pas avouer que ce n'est pas que physique, je veux juste te l'entendre dire. 
Elle n'avait jamais tord, en vérité, trop souvent elle avait raison. Elle était la raison et les neurones et moi j'étais la sensible, curieuse et instinctive de la famille. Le seul point commun qu'on avait était comment on prenait la vie, c'est a dire, très souvent du bon côté. On aimait croquer la vie a pleine dent. 
- Tu as peut être raison, dit elle en jetant le drap du lit de papa jusqu’à ses pieds et remonter sa chemise d’hôpital. 
Un grand pansement recouvert de sparadrap était poser sur l'endroit où il y avait normalement la blessure. 
- Qu'elle foutue interne a fait un pansement aussi pourri ? cri-t-elle d'un coup.
Un petit interne s'arrête devant la porte et demande pardon du regard tout en avouant que c'était lui.

- Ah ! tu es le petit nouveau. 
Elle avait la voix mielleuse parce que cette interne était super canon. 
- Tu n'es plus sur ce cas, tu vas te trouver un autre cas et je vais vérifier l'avancer de tout ça. 
Malgré ce qu'elle venait de dire et de faire, il souriait comme pour la draguer et s'en est aller.

Nous nous sommes retourner vers notre père qui souriait a pleine dent.
- Tu lui as taper dans l'oeil...
- Dans combien d'oeil de mec tu auras taper ses derniers temps, si je compte bien, trois...
- Trois ? Damon, l'interne O'Riley et qui ? demande papa les yeux rivés sur ma soeur qui ne repond rien.
Elle me jette un regard de haine et me demande du regard de l'aider.
- Bhin un patient... Non ?
- Heu... oui, c'est ça mais comme il part c'est fini.

Il rigole et se laisse soigner pas ma soeur qui profite de l'instant de silence pour dire :
- Je vais opéré Mme Reynolds...
- Elle a eu une rechute c'est ça ?
- Ouais et je vais faire ce qu'il faut pour l'aider mais je crois que je vais devoir écouter de la musique avant pour me concentré sur quelque chose...
- Tu es comme moi la dessus, tu as besoin de laisser tes mains te guider. Bonne chance ma puce !

C'est vrai que a voir comme ça, on dirait que mon père aime plus ma soeur que moi et préfère la voie qu'elle a choisi mais il s'occupe de moi comme personne ne le fait et me soutien dans mes choix. Alors Elena part et nous laisse tranquille et pendant ce temps je m'assois sur ma chaise.
- Et toi ? Tu fais quoi ?
- Je travaille sur un meurtre...
Lorsque je relève la tête, il est étonner.
- Je déconne... Je travaille sur une affaire d'un gars qui prend une chambre d'hotel chaque jour dans le même hotel et ne veut personne dans cette chambre sans son autorisation. Je pense que ça ressemble énormément a une peut-être séquestration, ou alors il travaille sur son roman mais ça n'explique pas que personne n'ai le droit d'entrer dans la chambre.
- Tu trouveras...

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