Roman d'amour Livre 2 Chapitre 5

Chapitre 5

Ce matin, alors que Charlie était encore fatiguer de n’avoir pu dormir que trois heures la nuit dernière, Raph, Léa, son père et elle, attendaient à la gare de Paris. Ils étaient tous assis sur un banc alors que le père de Charlie informa qu’il s’absentait un instant pour aller chercher des cafés. Il avait entendu sa fille marcher dans sa chambre toute la nuit. Il n’avait pas compris pourquoi elle n’allait pas bien.
Il s’en allait pour aller chercher des cafés et elle posa sa tête sur l’épaule de son meilleur ami qui ne broncha pas. Elle ferma les yeux un instant pour oublier la douleur qu’elle ressentait.

Une douleur terrible qui tambourinait contre son crâne. Elle pouvait presque entendre la vieille petite dame manger alors qu’elle était assise sur le banc d’à côté qui était à au moins trente mètres. Elle entendait beaucoup plus fortement les rails des trains, grésillés comme un vieux poste de télé ainsi que les pas monstrueusement lourds des femmes d’affaires avec leurs talons a des prix exorbitants. Elle ouvra son sac et fouilla dans celui-ci pour y trouver au plus vite de quoi soulager sa douleur. Elle tomba sur un doliprane qu’elle avait rapidement fourré dans son sac ce matin en partant. Elle jeta un coup d’œil aux alentours pour trouver un distributeur et en trouva un pas loin d’eux alors elle se leva et alla en direction de ce distributeur. Elle entendit les pas de Raph qui la suivit. En arrivant devant ce distributeur, elle réfléchit, ce qui accentua son mal de crâne.
-          -  Qu’est-ce que tu as ? demande-t-il en chuchotant comme si de là où ils étaient Léa pouvait entendre.
-          -   Je suis juste fatiguer et j’ai mal au crâne, c’est rien…
Malgré ce qu’elle venait de dire, Raph avait peur parce qu’elle n’avait jamais été aussi fatigué au point de fermer les yeux dans un lieu publique et de ne pas pouvoir tenir sans prendre un cachet. Elle fourra son argent dans cette machine et appuya sur un bouton mais rien ne se passa. Enerver, elle donna un coup de pied en insultant celle-ci de « Merde ». Elle fit ce retourner un petit couple de jeunes ados qui comptaient peut être fugué. Raph posa sa main douce sur l’épaule de sa meilleure amie qui se calma instantanément.
-          -  T’inquiète pas, ton père arrive avec les cafés…
Elle s’était assoupit ? N’avait-elle pas vu une quinzaine de minutes passer sous ses yeux ou avait-il juste la rapidité de Flash ? Elle regardait son père arriver et son meilleur ami la rassura en faisant la même remarque qu’elle au même moment.
-          -  C’était rapide…
Il tendit son café préférer a sa fille tout en lui expliquant qu’ils étaient au moment parfait. Juste après la première fourrer de petit travailleur et juste avant la prochaine donc il n’y avait presque personne au café. Contente de cette nouvelle, elle prit le café et avala ce médicament d’un coup.
Attendant quelques minutes, le train de ses cousins arrivait enfin à la gare. Ils se sont donc rapprocher et on attendu.
-          -  Il est venu avec laquelle des deux sœurs ? demanda Léa
-          -  Je pense plutôt à celle qui a l’âge de ne plus être à l’école et qui travaille sur Paris…
Charlie et Léa avaient deux cousines et un cousin, issus de la même famille. Enfin ceux, c’était les enfants Saint-Louis. C’étaient eux les seuls cousins avec qui ils étaient proches. Les autres, ils avaient tous des noms et des parents seulement, ils ne savaient rien de plus et ils n’appelaient que pour du fric qu’ils n’avaient jamais. Eux, ils étaient là chaque fois, ils étaient comme des frères et sœurs. Il y avait Oliver, Théa et Alia. Alia étant la dernière, elle allait monter sur Paris l’an prochain mais pour l’instant, c’était au tour de Théa. Charlie ce rappelait de son visage enfantin et de ses petites pommettes saillantes de bébé. Elle ne l’avait pas vu depuis la dernière fois qu’elles avaient fait un appel vidéo au début de sa deuxième années a la Sorbonne. Elles avaient parlé au téléphone de nombreuse fois. Oliver, lui, était le cousin trop protecteur qui habitait quelques rues plus loin. Il se tenait au courant du bien-être de ses deux cousines et les aimaient comme des sœurs.

Les portes de ce moyen de transport s’ouvrent et laisse sortir les passagers dont c’est leur arrivés a l’inverse laisse monter ceux dont c’est le point de départ. Façon un peu trop machinal de voir le monde. Les sons des trains, les sons des portiques de sécurité et le son incessant des pas. Charlie leva la tête machinalement pour veiller qu’ils n’arrivaient pas entre les corps ce qui était pourtant le cas. Oliver avait sac de sport accroché à son bras et deux valises dans ses mains alors que sa sœur ne portait qu’une valise qui roulait très gentiment sur le sol poisseux de la gare. Lorsque Théa vit Charlie, elle lui sauta dans les bras et Charlie put constater qu’elle n’avait plus beaucoup ce visage enfantin et qu’elle était devenu une vrai jeune femme.
-         -   Tu m’as trop manqué !!! cria Théa

Lorsqu’elle lâcha Charlie, elle se rua sur Léa alors qu’Oliver sauta dans les bras de sa cousine.

-         -   Tu as l’air un peu pâle mais tu es plus belle et sure de toi qu’avant, il a fait vraiment du bon travail ce nouveau mec…
Charlie s’écarta a une vitesse qu’il manqua de se prendre un coup de bague dans l’œil. Elle n’eut pas le temps de lui poser la question qu’il répondait :
-          -  Les nouvelles vont vite dans la famille n’oublie pas…
Elle reprit son étreinte avec son cousin et ils partirent tous pour laisser sa cousine découvrir Paris.

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