Partie 1 Phase 4 : Hannah Baker

Les mémoires de Violetta Castillo





Nous roulions dans les rues de cette foutue ville en direction de chez Hannah le soir suivant ma course. Avant de nous rendre au lycée pour mettre a bien ma vengeance, je voulais m'assurer qu'au moins eux, ils allaient mieux que moi. J'espérais pouvoir les aider car ils ont été témoins de notre amitié a Hannah et moi. Ils m'avaient vu rentrer dans leur boutique pour parler avec Hannah et pour venir la chercher. J'avais passer des jours entier chez elle avec elle pour regarder des films avec elle et me délecter d'un sofa doux et confortable, tout le contraire du lit de l'hotel, pour manger avec elle ses bonbons préférer, des Sour Patch. En vérité, je voulais plus voir la mère d'Hannah que je connaissais beaucoup plus.
Nous passions devant la boutique des Baker et il n'y avait que Mme Baker a l'intérieur. Je sortis de la voiture demandant a tout les autres de rester dans la voiture. Lorsque je pénétra dans le magasin, je ressenti cette présence, comme si rien qu'elle avait vécu ici. Au bout de cette allée de médicament pour personnes âgées, Hannah me dévisageait. Rien que son regard me suffisait pour me faire timber avec elle.

Son sourire voulait dire que je faisais une erreur alors je me suis retourner pour partir mais Mme Baker m'interpella.
- Violetta ?
Je me suis donc rapprocher d'elle. Elle était si pâle et ses yeux étaient tellement gonflés ce qui montrait nettement qu'elle pleurait souvent. "Mon dieu Hannah, qu'est que tu as fais ? " J'avais penser a cet instant. Elle me prit dans ses bras fins et s'est un peu effondré. Elle analysa mon visage et remarqua que moi aussi j'avais une tête de déterrer. Moi aussi j'avais tellement pleurer que je ressemblais a un zombie. J'avais envie de dire ce qu'Hannah aurait rétorquer, "ouais, bienvenue au club" mais je ne voulais pas achever un animal blesser. Elle me fit un grand sourire de compassion mais si il devait y avoir quelqu'un qui devait avoir un semblant de compassion, c'était bien moi. Elle ne savait rien, pourquoi sa fille a eu envie et le crans de faire ce geste avec de tels répercussions.
Elle me lâcha le visage et s'asseyait sur une pile de carton plein et jamais bouger d'ici. Elle attendait que je casse ce silence qu'elle détestait.
- Je suis désoler, j'aurais dut être la lorsque c'est arriver, j'aurais pu l'éviter...
Les larmes coulèrent le long de mes joues et elle ferma les yeux pour éviter de se mettre a pleurer.
- Tu as déjà fait énormément. Tu l'as rendu heureuse. Elle avait une amie, une amie qu'elle idolâtrait, une amie qu'elle aurait aimer connaitre plus.
- En fait, on parlait sur tout d'elle et de ce qu'elle aimait, je voulais en savoir trop peut être, je voulais savoir quel film elle n'avait pas vu, quel couleur était sa préférer, quel petit déjeuner elle prenait. Je pense que j'ai voulu graver sa personnalité dans ma mémoire comme si ça allait lui arriver, comme si j'avais besoin de ça et de m'assurer qu'elle serait toujours avec moi.
Elle savait de quoi je parle, elle avait dut le ressentir sans même s'en apercevoir vraiment. Son instinct était plus fort que le mien, son instinct de mère protectrice. Moi, ce n'était pas l'instinct d'une mère protectrice mais peut être d'une amie protectrice.
- Je l'ai vu sourire et s'ouvrir a tout plus qu'elle l'a fait a qui que ce soit dans cette ville. Tu l'as inspirer...
- En fait, je suis la surtout pour vous dire que votre fille était exceptionnelle et qu'elle méritait de vivre beaucoup plus que certaine personne. Je vous assure que votre fille était passionnante et cultivé... Si vous avez besoin de moi je suis encore la pour un temps alors venez comme vous voulez a l’hôtel et demander moi.
Elle acquiesça et je me retourna pour prendre la direction de la porte. Elle m'interpella.
- Violetta ? J'ai une question...
Je me retourna vers elle.
- Pendant le week-end a Los Angeles, elle était heureuse ?


FlashBack :
Hannah Baker était assise a côté de moi dans ma voiture décapoter. Elle jouait avec le bout de ses courts cheveux bouclées, le regard vide. Elle n'avait pas dit un mot alors que nous avions passer des jours entier a préparer cette journée dans les moindre détails. Ce silence était consternant et bizarre. Hannah était un vrai moulin a parole, pas une fois qu'elle reprenait sa respiration mais aujourd'hui, sa respiration était largement reprise. Elle m'avait inquiéter alors je lui avais demander ce qui n'allait pas mais comme a chaque fois elle trouvait un moyen de contourner la réponse. Elle me demanda où ce trouvait les CD et lorsqu'elle fouilla dans la boite a gants et qu'elle trouva le CD avec la chanson culte du film Breakfast club, elle sauta sur place et criait que ce film était son préférer.
- J'ai toujours voulu faire une connerie pour pouvoir aller en colle et rencontrer un gars aussi pourri et pourtant si mignon que John Bender...

Elle s'était mise a danser et mon seul moyen de laisser Hannah sourire était d'augmenter la musique et de rouler un peu plus vite. Je lui avais suggérer de ce lever et de lever les bras. Elle avait donc attraper lentement et surement le par-brise, elle s'était détacher et s'était avancer pour se mettre debout. Son bras droit en l'air, ses cheveux aux vent et son sourire aux lèvres avaient vraiment marqué mes esprits.
Le reste du week-end, elle avait rit aussi. Elle avait été heureuse et elle n'avait pas manquer de me le faire remarquer. Elle s'était endormie a l’hôtel avec le sourire aux lèvres et j'avais vraiment cru que j'avais réussi, j'avais vraiment cru que ce week-end avait transformer sa vision tout comme Damon avait réussi a faire. J'avais vraiment cru que c'était définitif, qu'elle avait vivement choisi de rester en vie. Je ne l'avais jamais entendu chanter autant que lorsque ce week-end s'est fait.

Fin Flashback

J'ai souris.
- Oui, elle était heureuse...
Je me suis retourner et je savais qu'elle était pleine de gratitude mais je suis partie tout en lui disant :
- Tout autant que quand elle était avec vous...

Je suis sortie, je suis monter dans la voiture et est accélérer pour aller en direction du lycée. Arrivés devant la porte d'entrée, nous avons remarquer que la porte était fermer par des chaines. Nous avons donc laisser Jessica s'en occuper. Nous portions tous des gants pour éviter que nos empreintes nous trahisse. Nous sommes entrée.
- Merci Mr le proviseur d'être aussi facile a manipuler... ai-je dis.
Grace a Damon, il nous avait fièrement donner le numéro des casiers des élèves qu'on voulait piéger. Nous mit nos capuches même si il n'y avait pas de caméra car si on ne savait pas mais qu'un téléphone ou une caméra d'élève filmait dans l'un de ces casiers, c'était mieux d'être couvert.

Pour commencer, nous avions trouver le casier de Justin Folley et avons glisser un poisson pourri dedans avec un mot sur lequel était écrit : "parce qu'être un gars bien suscite un peu d'intelligence.
Je pris une bombe de peinture et j'écris "V et C" sur la porte du casier.

- Pourquoi tu met tes initiales si on ne doit pas savoir que c'est nous ? demande Scott
- Pour éviter a Clay de ce faire tabasser pour nos conneries...
Nous avons rempli le casier de Jessica Davis de mousse a raser avec un mot : "avoir une amie c'est avoir de grande responsabilité".

- Jolie détournement de la phrase de Spiderman. ria Stiles
Nous avons ensuite, mit une feuille avec écrite : plus belle fesses et moins belle fesses avec un petit mot noté : "pour en faire souffrir d'autre" dans le casier d'Alex Standall
Nous avons poursuivit avec le casier le casier de Marcus Cole dans lequel nous avons mit une bombe de peinture rouge avec le fameux mot : "les fils a papa n'on pas le droit de toucher aux salopes pourtant..."
Dans le casier de Zach Dempsey nous avons mit juste un mot, "tu n'as plus besoin de voler de mot gentils maintenant que c'est fini..."
Sheri Holland a été la prochaine. Nous avons mit un panneau stop sur la porte du casier et mit a l'intérieur le fameux mot "tu aurais pu changer ce que tu as fait ce soir la, ou plutôt que ce que tu n'as pas fait ?"
Nous avons terminer dans le lycée avec le burean de Kevin Porter. Nous avons mit un poisson pourri aussi sur son bureau. "Vous auriez du lui courir après, juste parce que sa mort vous hantera jusqu'a la fin de vos jours..."
Nous sommes aller ouvrir la voiture de Courtney Crimsen et nous avions bloquer sa roue gauche avant de mettre un mot sur le par-brise "aimer les filles n'est pas un délit.
Sur chacune des choses que nous avions fait ce soir la, j'avais graver mes initiales pour prouver que quelqu'un les détestait. Si ils étaient assez intelligents, ils allaient savoir qui faisait ça.

Nous sommes aller devant cette grande maison. Une énorme maison colonial dans laquelle il était tout le temps seul. Bryce Walker, c'était a ton tour. Le violeur de ces dames, celui qui détruit le corps et l'âme de chacune d'elles et qui adore ça. Je vous présente, le grand et l'unique, Bryce Walker. Jessica et moi nous sommes sortie de la voiture et avons foncer jusqu'a la porte d'entrée. Quand nous avons frapper a la porte et qu'il a ouvert la porte, nous avions déjà enclencher le plan.
- Tini ? Qu'est ce qui me vaut ce plaisir ?
Il avait la tête du fils a maman, du parfais violeur. Je me suis approcher et j'ai entendu sa voix, sa voix me redire encore et encore cette phrase : "A cet instant la, j'étais déjà morte.

- Salut Bryce, on est un peu perdu dans cette ville et mon amie et moi on voulait juste pouvoir utiliser ton téléphone parce que les notre sont décharger.
Il fit un sourire, le sourire le plus horrifiant du monde. Il nous dévisagea, nous considérant déjà comme des proies. Il s'écarta et nous laissa entrée mais lorsque nous sommes entrée nous sommes tomber sur Clay Jensen rempli de coup et blessure. Du sang dégoulinait de son nez, de son front et il me regardait tout en buvant son alcool cher assis sur le fauteuil en cuir marron de Bryce. Il avait un regard plein de satisfaction comme si il venait de le faire avouer de quelque chose et son petit sourire lorsque je fonça vers lui pour examiner ses blessures me prouvait que j'avais raison. Il lui avait fait avouer, il terminait son verre de bourbon et se leva tout en attrapant son sac.
- Tu veux pas qu'on te ramène ? lui avais-je demander tout bas.
- Non c'est bon, j'ai mon vélo... a toi de jouer maintenant...
Il sortit de la maison nous laissant seule devant Bryce. Je tournais en rond alors que Jessica était assise sur l'un des fauteuils. Lorsque Bryce entra avec son téléphone portable, Jessica se leva préparant déjà sa main. Je me tourna et lorsque Bryce me tendit son téléphone, Jessica attrapa son pénis de sa main ferme. Il se tenait sur la pointe de ses pieds essayant de sortir de sa poigne pourtant pas encore assez forte. Je détruis le téléphone et lui jeta a la gueule. Je pris le mien et appuya sur le bouton du programme qu'avait réussi a mettre Felicity pour qu'aucun téléphone ne fonctionne dans cette baraque.
- Force !
Je rangea le téléphone et Jessica força assez pour que lui se mette a crier.
- Bon maintenant tu vas m'écouter... (Je m'approcha de lui et tapota son torse). Je sais que tu as violer Jessica Davis et Hannah Baker, tu es un violeur donc ça ne s'arrêtera pas la alors en attendant que tu croupisse en prison, elle va te faire si mal que même te branler tu n'y arrivera plus, tu pissera même du sang. Petite vengeance qu'un fils de pute comme toi ne connait pas mais je t'assure que tu vas souffrir. En plus tu ne pourras en parler a personne parce que c'est la honte, un peu comme ce que tu as fait a ces deux filles et surement a d'autre fille traumatiser.
Ce soir la, il avait vraiment crier mais elle n'avait rien fait qui puisse justifier d'hurler a un tel point. Nous sommes rentrée a l'hotel et en aucun cas nous avons reçu de plainte pendant les quelques jours ou nous avons attendu.
J'avais reçu un appel important d'une personne qui va faire partie de la prochaine histoire mais celle-ci s'arrête ici. Voila, c'est fini, c'est terminer. Regardez bien ce visage longuement parce que vous ne le reverez plus jamais.

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