Roman d'Amour Chapitre 36
Chapitre 36
Au
bout de quelques minutes de réconforts et de silence, Charlie se décolla de
Paul. Elle sentait que l’instant mignon et romantique qu’ils vivaient ne devait
pas s’arrêter la, et puis elle avait quelque peu réfléchi pendant le câlin que
lui avait donné Paul. Elle voulait ça tout le temps, pouvoir cuisiner avec lui
quelques plats pour un diner avec ses amis, pouvoir se blottir contre lui
devant la télé, lire un livre ou en écouter un après qu’ils aient fait l’amour,
mettre ses habilles le matin, se trimbaler en petite culotte dans son appart a
lui, lui faire des surprises quand il rentrait et surtout pouvoir le présenter
en tant que son petit ami.
-
J’ai bien réfléchi et je pense qu’on pourrait
essayer d’être plus que des amis avec avantages physiques mais peut-être, être
ensemble ?
-
Je trouve que tu réfléchi beaucoup.
Il attrapa le menton de la jeune femme et approcha ses
lèvres des siennes.
Il avait passé le weekend entier a rêver de ses lèvres,
retrouver leurs gout était un désir si intense qu’il avait dû frapper un mur de
son salon pour éviter de courir jusqu’à elle et l’embrasser sans se justifier. Ce
weekend avait été aussi horrible pour lui que pour elle. Il l’avait passé
entièrement à se triturer l’esprit et ce dire plusieurs fois qu’il avait fait
trop fort de lui laisser cet ultimatum. Ou lui ou rien. Il avait été vite
recadré par son meilleur ami, car son frère était descendu a Marseille jusqu’à
la grand-mère paternel. Ce baiser intense en émotions ne dura pas bien
longtemps. Quelqu’un frappa a la porte assez fort pour que les murs raisonne.
Alors Paul regarda Charlie, lui faisant le regard désespérer, lui implorant de
ne pas rompre leur baiser mais elle se leva et alla ouvrir la porte. Elle fut
surprise de tomber sur un homme aux cheveux noire et a la barbe abondante qui
tenait dans une main une nouvelle bouteille de bourbon et dans l’autre, deux
pizzas emballer.
Il fit un grand sourire a Charlie et fixa Paul avec le regard
le plus pervers du monde. Même si Charlie avait pleuré, elle était sexy et
séduisante aux yeux de Fitz. Il entra sans dire un mot, déposa les pizzas et le
bourbon dans la cuisine, retira son manteau, mis les mains sur les hanches et
passait de Charlie a Paul en un clin d’œil.
-
Alors comme ça, tu es la fille magnifique et
sensuelle que Paul côtoie ?
-
Je ne sais pas si je suis magnifique et
sensuelle mais je suis bien celle qui côtoie Paul.
-
Tu nous avais dit qu’elle était belle, sexy,
sensuelle, séductrice et follement érotique mais tu avais oublié de mentionner
qu’elle était la plus belle créature au monde. C’est une chose mon cher ami
qu’il ne faut jamais oublier de dire a son meilleur ami. Bonjour je m’appelle
Fitz.
Il tend la main vers Charlie qui l’a prend sans hésitation.
Elle aimait savoir qu’elle était la plus belle créature au monde, même pour les
amis de Paul. Elle savait que Paul aurait parlé d’elle a quelqu’un, au moins a
son frère. Fitz n’était pas son frère mais il était la deuxième personne la
plus proche de Paul.
-
Bon, alors raconte-moi quelque chose sur toi
parce qu’il ne t’a décrit que physiquement et même là il a omit de dire des
choses importantes alors…
-
Et bien, je suis étudiante en littérature,
j’adore sortir faire la fête avec mes meilleurs amis et ma sœur, j’adore ne pas
avoir le même partenaire sexuelle tous les soirs mais ce soir ça va changer, je
suis en couple et je compte le rester autant de temps qu’il soit possible. Ce
soir je rencontre le meilleur ami de mon mec, qui ne l’es que depuis deux
minutes je précise, je ne sais pas trop quoi lui dire, tu crois pouvoir
m’aider ?
-
Je suis sûr que le meilleur ami de ton mec est
quelqu’un de bien, même le meilleur alors soit toi-même et il décidera.
Ils ont ri ensemble. Leur soirée c’est passer mieux que
Charlie aurait pu l’imaginer. Fitz était quelqu’un de bien comme dans sa propre
description, il avait manqué a aucun de ses devoirs. Lorsqu’il était partie,
Charlie et Paul, bien trop fatiguer, son aller se coucher mais bizarrement, ils
ont passé la nuit entière a parler de tout et de rien. Ça avait allégé Charlie
d’un poids énorme.
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