Roman d'Amour Chapitre 31
Chapitre 31
Ce
matin-là, il s’était réveiller du bon pied, il était heureux de pouvoir lui
emmener le petit déjeuner et de la voir ce matin. Il voulait l’embrasser, la
voir sourire et lui dire qu’elle était radieuse le matin avec des faits et
gestes. Il était si content qu’i sifflait des musiques qu’il inventait au fur
et a mesure qu’il avançait jusqu’à son appartement. Rien ne pourrait le rendre
mal aujourd’hui, rien ni personne.
-
Bonjour princesse…
A part peut être lui.
Lorsque la porte de l’appartement
s’ouvra, il tomba des nus en découvrant que son père était là. Il avait ouvert
et le regard qu’il lançait a ce bel écrivain pourrait tuer tous les hommes a la
ronde. Il était brun, grand, corpulence développé et une barbe aussi féroce que
son regard. Il sourit puis répond :
-
Je crois que vous vous êtes trompé d’étage, ici
il n’y a surement pas de princesse qui vous aurez avec un café.
-
Je crois pas mettre tromper, c’est bien
ici !
Il sentit le sol se dérobé sous ses pieds mais ce
reconstitua quand elle apparut au bout du couloir. Elle s’approchait de lui et
regarda Paul comme si il n’y avait pas le père qui les voyait. Ce qui fit
sursauter Paul, lorsqu’elle l’embrassa langoureusement,
comme si ils étaient
ensemble puis qu’elle attrapa le café et lui dit :
-
J’ai déjà pris un café mais c’est bon,
entre !
-
Qui est ce ? demande le père comme si il
n’était pas la
Elle laisse Paul entrer et ne répond pas tout de suite a son
père. Elle était magnifique, sexy comme chaque matin. Elle avait un grand
t-shirt rolling stones et un petit short qui ne laissait pas beaucoup de place
a l’imagination mais de toute façon Paul n’imaginait plus, il se rappelait.
-
C’est l’ami pianiste tu sais, je l’ai embrassé
pour te faire chier mais on n’est rien d’autre que des amis.
-
Alors si vous êtes des amis, je vais me doucher,
heureux de te connaitre pianiste.
Il entre dans la salle de bain sans adresser un regard a
Paul qui se sentait un peu gêner de la présence du père. Lorsqu’il est entré
dans la salle de bain et qu’il a entendu l’eau couler, il s’est approché de
Charlie.
-
Alors comme ça je suis qu’un ami, mais tu
couches souvent avec tes amis ?
-
Seulement les pianistes !
Ils rient ce qui rallume l’excitation de Paul. Il regarde a
l’intérieur de ses yeux, il se sentait désirer lorsqu’il était avec elle,
c’était une sensation exceptionnel qui méritait d’être une sensation unique. Il
s’approche encore plus de son corps au point qu’il ne sente que cette présence.
Elle attrape la nuque du beau brun et l’embrasse langoureusement. Il ne voulait
rien faire tant que son père était dans la salle a côté mais il ne put s’en
empêcher lorsqu’elle lui susurra a l’oreille :
-
On a dix minutes !
Il souleva le corps de la brune et le posa sur le plan de
travail.
Il transporta ses baisers dans son cou et l’intensité de ceux-ci
augmentait de plus en plus. C’était une sensation unique que les lèvres de cet
homme dans son cou. Elle aimait la douceur de celle-ci, la lenteur de celle-ci,
la façon presque criminelle de repasser encore une ou deux fois ses lèvres au
même endroit que pour la torturer. Il passait ses mains les longs de ses
cuisses et remontait lentement le t-shirt de la jeune femme, c’était pour elle
la seule fois qu’un homme privilégiait le bonheur de sa partenaire avant le
sien. Mais au moment où il fit glisser ses doigts jusqu’à ses fesses, une
parole est prononcer :
-
Euh Charlie, donne-moi…
Le père de Charlie venait de sortir de la salle de bain et
avait vu la jeune fille sur le plan de travail s’extasiant des caresses et des
baisers que lui infligeait son amant. Il s’étonna de voir sa fille de cette
façon et dit avant de retourner dans la salle de bain :
-
Non c’est bon, je pense que ça ira pour la
serviette.
Ils rient et se jure de faire attention maintenant, il
suffisait que ce soit seulement quelques minutes plus tard et il la pénétrait
déjà sur son lit, fermer de tout contacte.
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