Roman d'Amour Chapitre 35

Chapitre 35
Arrivée devant l’immeuble de Paul, elle resta figer dans sa voiture. Et s’il était passé a autre chose ? Et s’il était en compagnie ? Et s’il n’était pas la ? En vérité, elle voyait sa voiture devant elle. Garer devant elle, montrant bien qu’il était la et qu’elle devait prendre son courage a deux mains pour le voir. Elle monte jusqu’à son appartement avec peine. 
Mais lorsqu’elle atteint le palier, elle respire un bon coup et frappe fortement. Il ouvre presque aussi tôt, il lui sourit mais le réprime rapidement oubliant peut être qu’il avait dit quelque chose la dernière fois ou alors il savourait la jouissant qu’il ressentit lorsqu’il comprit pour quel raison elle était la.
-          On peut parler ? demande-t-elle un peu gêner
-          Entre !
Elle retire son manteau, le dépose, jette un coup ses cheveux en avant laissant Paul de marbre lorsqu’il vit les fesses de celle-ci près de son intimité. Elle s’approche du salon et attend debout qu’il lui dise de s’assoir, ce qu’il fit instantanément.
-          Rejoins-moi ! ordonne t elle
Alors il prend place a ses côtés et pas un bruit ne comble ce silence de plomb. Chacun regardait devant lui, lorsque Charlie ouvra la bouche.
-          Je suis désolé ! dit-elle. J’aimerais t’expliquer quelque chose qui est difficile a dire, c’est assez personnelle et c’est compliqué pour moi de retenir mes larmes alors attend que je finisse pour dire quelque chose.
Il acquiesça. 
Il avait hâte qu’elle prenne conscience que ce qu’elle avait fait était une erreur. Il savait qu’elle a allait venir un jour ou l’autre car elle avait réfléchi avant de répondre la dernière fois. Il avait envie de savoir ce qu’elle allait lui dire mais il s’inquiétait pour elle.
-          Je t’ai raconté l’histoire du professeur mais je ne t’ai pas dit tout. Il avait été mon premier amour, je lui faisais confiance et en fait je savais qu’il était marié, il disait qu’il m’aimait et qu’il divorcerait alors je l’ai cru et un jour, j’ai entendu une jeune fille parler au téléphone a un certain Mr Darcy, c’était comme ça que je l’appelais, elle lui disait qu’elle était enceinte et que si il ne divorçait pas elle ira dire a sa femme tout sur tout. J’ai demandé des explications a la fille qui savait tout sur nous toute. On était six, six filles qu’il se tapait pendant les poses, entre les semaines et les cours. Quand j’ai appris tout ça, je me suis jurer de ne faire confiance a aucun homme qui dirait qu’il m’aimait et j’ai autre chose aussi. Je suis compliqué. La dernière fois, j’ai fait un cauchemar ici. Et bien ces cauchemars sont apparus le jour de la mort de ma grand-mère. Je suis rentré dans la maison de mes grands-parents après l’école, mon grand-père était déjà mort mais ma grand-mère pas encore alors j’allais la voir pour lire avec elle. Quand je suis rentrée, il y avait du sang sur le mur d’entré, la marque d’une main ensanglanté sur le sol et des gouttes de plus en plus grosse sur le sol, 
j’ai suivi ce chemin qui m’a mener jusqu’à la salle de bain. Elle était couchée dans la baignoire et son corps était vide de sang, la baignoire était rempli de son sang et d’eau. C’était un vacarme, un pur vacarme. Ils ont conclu a un meurtre, j’avais entendu un des policiers dire que c’était peut-être moi, personne ne pouvait dire ce n’était pas moi a par moi-même. Alors ils ont vérifié et les coups porté était digne d’un homme pas d’une petite fille mais depuis ce jour, je fais le même cauchemar. Je vois ma grand-mère sur le sol en sang et tous les policiers me montrent du doigt disant que c’est moi. Jusqu’à ce que je te rencontre je le faisais tous les soirs. Mais le soir on a fait l’amour je ne l’ai pas fait. Je sais pas quoi en pensé et je ne sais pas ce que tu vas dire mais au moins je t’ai dit la vérité.

Pendant tout son monologue, Charlie avait pleuré, plusieurs fois, Paul avait essuyé les larmes qui coulaient. 
Il avait détesté entendre tout ça, rien que de savoir qu’elle avait été touché par cet enculer qui ne respectait pas son corps, qui la pénétrait alors qu’il avait pénétré sa camarade du cours de chimie. Il détestait ce policier qui avait toute suite penser que ce serait elle alors qu’elle avait peur et qu’elle ne comprenait rien. Il se sentit mal d’avoir provoqué cela pour que ça arrive, d’avoir provoqué sa détresse pour qu’elle pense qu’elle devrait mieux lui dire la vérité. Il ne dit rien, il l’a pris seulement dans ses bras vigoureux. 

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