Roman d'Amour Chapitre 29
Chapitre 29
Ça
faisait déjà une heure et demi qu’elle dormait a point fermée mais pourtant lui
n’avait pas encore trouver le sommeil bien trop absorbé par le côté paisible de
la chose. Le froid envouta alors son corps, il prit l’initiative d’aller
chercher deux coussins et un grand drap. Il rêvait de savoir ce qu’elle
pensait. Il revient sur le balcon et soulève sa tête pour y mettre le coussin.
Il aurait pu la soulever et l’emmener dans sa chambre ou elle dormirait sur le
lit, endroit bien plus confortable mais elle était si belle lorsqu’elle dormait
qu’il s’en voudrait de gâcher se plaisir pour ses yeux. Il se coucha a ses
côtés et essaya de dormir. Il était trop tard pour boire un verre malgré
l’envie qu’il avait. D’un coup le côté si paisible de la chose devenait bizarre
et intriguant. Elle commençait a murmurer des phrases incompréhensible au
départ. Alors Paul fixa son visage lorsqu’après un moment elle avait transformé
ses ronchonnements en une phrase intelligible.
- Non ! Ce
n’est pas moi, ce n’est pas de ma faute ! criait elle
Elle bougeait dans tous les sens et de plus en plus fort
elle commençait a crier la même phrase. C’était bizarre, intriguant,
intéressant mais il devait l’aider, il ne savait pas comment réagir, il se
doutait bien que c’était un cauchemar dont elle lui avait parlé mais ne savait
pas quoi faire. La réveiller et risquer de s’en prendre une même si ce n’était
pas le genre a frappé quelqu’un. Ou alors la laisser faire son cauchemar et
paraitre pour un connard ? C’était une décision toute faite, il allait la
réveiller. Mais au moment où il approche sa main de son corps, un nom tombe de
sa bouche.
- Paul dit
lui que je suis innocente !
En un clin d’œil, elle se relève, respire fortement, sut a
grosse goute et sursaute. Elle était réveillée. Son regard fixait le bâtiment
opposé pendant qu’elle essayait désespérément de calmer sa respiration et les
battements trop rapide de son cœur.
Paul approche précautionneusement sa main
de son épaule et lorsqu’il touche enfin du bout des doigts, son cœur cesse sa
rapidité, sa respiration diminue d’intensité et elle était bien plus calme.
Elle se tourne, le regarde et lui fit un sourire un peu trop exagéré.
- Je suis
vraiment désoler, je t’ai réveillé ?
- En fait,
j’arrivais pas a dormir et j’allais te réveiller mais tu as eu le temps de te
réveiller.
- Tu as
tout entendu je présume ?
Il acquiesce un peu gêner et ouvre les bras comme pour
l’inviter a venir s’y installer. C’est d’ailleurs ce qu’elle fit. Il avait
trouvé ça nouveau, ce n’était pas ce que faisait normalement des plans culs
entre eux mais est ce que depuis le début, ils faisaient tout comme ils étaient
censé faire ? Elle serre un peu son emprise sur lui ce qui était signe de bien
être, enfin d’après Paul.
- Pourquoi
tu as dit mon prénom dans ton cauchemar ? demande t il en espérant ne pas se
prendre un veste
- J’ai dit
ton prénom ? Non, mais je ne t’ai pas dit mais j’ai un oncle qui s’appelle Paul
aussi.
D’un coup, son emprise sur le bel écrivain perd de sa
puissance et elle sort de cet endroit doux et affectueux pour fixer son visage
avec le regard le plus sensuelle qu’elle ait fait de toute sa vie. Elle se met
a quatre pattes et s’approche de lui aussi lentement que possible. Elle
approche ses lèvres de son oreille et murmure :
- Tu ne
trouves pas que c’est un bel endroit pour faire l’amour ? Ici, les voisins
alentours sauront que tu fais du bien aux femmes.
Il n’avait pas envie de faire ça maintenant. Il avait
remarqué qu’elle avait évité un maximum la question mais c’était surement que
c’était déjà trop personnel pour que son plan cul le sache. Il n’a pas le temps
de répondre qu’elle est déjà a califourchon sur lui et commence a embrasser
l’intérieur de son cou. Elle passe ses mains sensuellement dans les cheveux
bruns de son partenaire et remonte lentement ses baisers jusqu’à ses lèvres.
Elle les attrapes avec le plus de fougue possible. Il ne voulait pas mais elle
avait ce dont de l’excité même quand elle faisait des choses qui avec d’autre,
l’avait rendu indifférant. Elle passe ses deux mains sur son torse couvert de
son t-shirt et attrape le bas de celui-ci avant d’en faire ce qu’elle voulait,
le faire passer au-dessus de son dos. Pour montre son excitation, elle le fait
voler mais n’a pas le temps de regarder ou elle l’avait jeté. Il avait chaud
d’un coup mais encore plus quand elle fit passer son t-shirt a elle, au-dessus
de sa tête.
- Attend,
on ne va pas faire l’amour…
- Je sais,
je veux juste t’excité, je veux juste que tu me supplie la prochaine fois de
sentir la chaleur de mon corps ou d’entendre ton prénom gémit. Maintenant tais
toi ! Ordonna t elle
Bon sang elle savait y faire, d’ailleurs le jean du brun
devenait tendu. Il gémissait lorsqu’elle attrapa la partie la plus serré du
jean, d’une force. Il essayait de prendre position et force sur elle pour la
dominer totalement mais elle fit claquer son bassin contre son intimité. Après
ceci, il échangea les places, elle se retrouva totalement a sa merci.
- Tu es a
moi, et a personne d’autre ! dit-il en gémissant.
Elle ria et acquiesça tellement l’envie était forte qu’elle
ne pouvait pas parler. En moins de deux, il fit trois actions. Il déboutonna
son jean, le fit glisser le long de ses jambes et en fit de même avec sa
culotte. Il la regarde avait de faire quoi que ce soit, elle avait les yeux
fermer attendant avec impatience le moment où il ferait quelque chose. Il pose
d’abord ses lèvres sur le bas de sa cuisse, il voulait lui infliger la plus
horrible des tortures. Puis il remonta avec lenteur et quand il arriva assez
haut, il monta encore plus haut pour la torturer sur le bas de son ventre.
Elle
gémit quand il était a deux centimètres de sa fente. Et d’un coup, sans
prévenir, sans lui infliger encore une seconde de torture, il posa ses lèvres
sur son clito. Elle gémit au premier coup de langue, et au bout de son
troisième, ils devenaient plus rapides et plus fort. Elle hurla fortement
lorsqu’elle sentit son orgasme ravager chaque parcelle de son corps. Elle
n’imaginait pas qu’il ait une langue aussi performante mais rien n’était
impossible. Il se coucha a côté d’elle et la regarda commençant a essayer de
s’assoir. Il attrapa son bras et lui dit :
- Dors, tu
es fatiguer, normal tu viens d’avoir un orgasme, dors.
Il
fallait pas le dire plusieurs fois a Charlie, elle se recoucha instantanément
et ferma les yeux. Heureusement que Paul avait été cherché un drap auparavant
mais il n’y en avait qu’un alors il se leva et alla en chercher un autre. Celui
qu’il avait ramené était utile a ce que les deux amants puisse se coucher
dessus sans avoir le sol sur leur corps nu. Quand il revient, elle était dos a
lui. Il posa le drap sur son corps et se coucha a ses côtés. Il entoura son
corps de ses bras vigoureux en espérant que ça n’allait pas la déranger. Elle
attrape le bras de Paul et essaye de renforcer son étreinte. Charlie avait
dormi pour la première fois de façon si paisible qu’elle s’étonna elle-même.
Commentaires
Publier un commentaire