Sheperd Family : Chapitre 16

Elena







La chose la plus horrible pour quelqu’un qui aime et a besoin de sauvé des vies : c’est de sortir de l’endroit où elles sauvent des vies. Je n’ai jamais compris les inquiétudes de ma sœur, j’ai jamais compris pour quoi ma sœur faisait attention a ce que les gens pouvaient apporté dans l’avenir.  On passe notre vie entière à s’inquiéter de l’avenir, à faire des projets pour l’avenir, à essayer de prédire l’avenir... Comme si savoir à l’avance pouvait amortir le choc. Mais l’avenir change constamment. L’avenir est le lieu de nos plus grandes peurs, et de nos espoirs les plus fous. Mais une chose est sûre : quand finalement, il se dévoile... l’avenir, n’est jamais comme on l’avait imaginé. Alors ce qu’elle cherche c’est comme moi, sauver les dernières personnes qui lui reste, les dernières bouchées de bonheur. Je veux souffrir, pleurer, aimer.

La douleur peut se manifester sous différentes formes. Ça peut être un petit pincement, une légère irritation, une douleur lancinante, une douleur que l’on supporte tous les jours. Et il y a le genre de douleur que l’on ne peut pas ignorer. Une douleur si grande, qu’elle bloque tout le reste. Et fait disparaître le reste du monde ! Jusqu’à ce que la seule chose à laquelle on pense, c’est à quel point on souffre ! La façon dont on gère notre douleur dépend de nous. La douleur... On l’anesthésie, on la surmonte, on l’étreint, on l’ignore... Et pour certains d’entre nous, la meilleure façon de gérer la douleur, c’est de foncer tête baissée. La douleur... Vous devez arriver à la surmonter. Espérer qu’elle disparaisse d’elle-même, espérer que la blessure qui la cause se referme. Il n’y a pas de solutions, pas de remèdes miracle. Vous devez respirer à fond et attendre qu’elle s’estompe.

La plupart du temps, on peut gérer la douleur. Mais parfois, la douleur s’abat sur vous quand vous vous y attendez le moins. Elle vous attaque en traître et ne vous lâche pas ! La douleur... Vous devez juste continuer à vous battre parce que de toute façon vous ne pouvez pas l’éviter. Et la vie en fournit toujours plus !

J’ai choisi et je vais suivre mon pressentiment, je vais aller chez Sloan avec lui et passer un bon moment. Je chercherais surement a le draguer sans le vouloir vraiment mais ce n’était pas grave, j’avais envie de m’amuser et de vivre sans me prendre la tête tandis que je le peux encore.
-          Un verre ? Me demande le très beau docteur sous mes yeux
-          Bien sûr ! Un bourbon…
Il a un rire étouffer. Je n’ai pas réfléchi avant de dire l’alcool que je voulais, j’ai juste pensé a celui-là et quand j’ai balancé mon alcoolisme a cet homme que je connais depuis bien des années, j’ai vu l’image du visage de Damon. Tout sourire, il me fixait et pendant une seconde j’ai senti mon cœur ce soulever comme si je faisais une erreur d’être ici. J’ai vite ignoré cette pensé.

-          Je… je suis désoler tu en as peut être pas…
-          Non t’inquiète, j’en ais…

Il est partit dans la cuisine chercher la bouteille. J’ai rapidement analysé le salon en son absence. Les murs en pierre grise et la place qu'il y avait était impressionnant surtout dans un appartement tel que celui ci. Est ce que j'avais vraiment envie de coucher avec lui ce soir ? Est ce que lui avait vraiment envie de coucher avec moi ce soir ? Lorsqu'il entra dans la pièce, je lui demanda : 
- Est ce que ce soir tu vas te la jouer le Sloan habituelle ou tu vas rester humble ? 
- Je ne compte pas coucher avec toi ce soir si c'est ce que tu demande. Je veux juste apprendre a te connaitre comme si on ne se connaissait pas vraiment. 
Il s'asseyait devant moi et me tendit mon verre de bourbon.
- Alors je peux me trimbaler nu dans cet appartement sans que tu ne me saute dessus ? 
- Donc tu veux vraiment me torturer... ria-t-il
Alors nous restions la, a boire et a parler toute la nuit. Il me proposa de rester parce que j'avais trop bu et me laissa sa chambre pour qu'il dorme sur son canapé. J'avais passer une nuit génial et en me réveillant, je me déshabilla et fonça dans la douche alors qu'il dormait encore. Je pris une chemise lui appartenant et l'enfila au dessus de mes sous vêtements. J'attachais les boutons de la chemise quand j'entendis Mark m'appeler. 
- Elena ! Quand j'ai dit que tu pouvais faire comme chez toi, je ne pensais pas que tu irais par toi même dans la douche. 
Il était assis torse nu sur le canapé quand je suis sortie de la salle de bain. 
- Sérieusement ? 
- Quoi, je ne peux plus prendre ta chemise. 
- Tu me tente un peu trop avec ton accoutrement alors couvre toi...
Je retourna dans la salle de bain et boutonna entièrement la chemise. J'ai mis mon jean et je suis sortie. Mark était debout, avec deux tasses de café dans les mains. Il me tendit l'une et but dans l'autre. 
- Tu garde ma chemise ?
- Mon t-shirt pu l'alcool et vu l'heure qu'il est, il faut que j'aille expliquer aux parents d'Ava Wright que les examens n'ont rien trouver dans son cerveau. Mais avant, j'ai une question.
- Je t'écoute...
- Tu sais pourquoi autant de monde est en congés payer ?
- Tu as du avoir la visite d'un psy mais comme toi tu n'as perdu personne et bien, ils ont décidés de te laisser opérer. 
- Ouais, et toi aussi... 


Je me suis diriger, après le petit déjeuner, a l'hopital et au moment où je suis entrée, le Dr Webber m'a biper. Je suis venu jusqu'a lui après mettre habiller. J'ai ouvert la porte et il était seul assis a son bureau a lire un document. 
- Elena, assis toi !
Je m’exécute et m'assoit sur l'un des sièges inconfortable de son bureau. 
- Je vais te parler de beaucoup de chose, d'abord parlons patient. Ta patiente Ava Wright, j'ai vue ses analyses. L'IRM ne montre rien, le Scanner non plus et la spectroscopie que tu as demander n'a rien donner donc tu connais déjà la procédure. 
- Je sais, je dois la mettre en Psychiatrie mais je voudrais la garder encore une semaine pour m'assurer que ça n'a rien de réelle. Je veux m'assurer que nous ne laissons pas tomber une patiente. 
- D'accord, alors maintenant je veux m'assurer que tu te rend bien compte de qui est Mark Sloan. 
- Vous nous avez vue quitter l'hopital j'imagine... Je sais qui est Mark Sloan, je sais que cet homme c'est taper l'hopital entier mais je vous assure qu'il ne s'est rien passer avec lui et si il se passe quelque chose, je ne vous tiendrez pas au courant pour autant. 
- Je comprends, dernière chose, j'aimerais que tu consulte le psy. Tu auras quand même le droit d'opérer mais fait le une fois et si tu trouve que ça ne t'apporte rien alors tu pourras arrêter ça. 

J'acquiesce et sors du bureau. Je me précipite dans la chambre de ma patiente. Lexie était déjà en place avec deux cafés en main et les analyses que je n'avais pas encore observer. 
- Dr  Sheperd !
Je me retourne et tombe sur le petit interne avec qui j'avais parler hier. Il me sourit et me tend son dossier. Il recule d'un pas tout en se léchant les lèvres.
J'ouvre le dossier. 
- Je vais vous laisser y réfléchir, si vous avez besoin de moi, bipez-moi. 
- Non, c'est bon tu peux me suivre aujourd'hui...
Il avait de bonne note, une quinzaine de lettres de recommandation et il était dit de lui qu'il était drôle mais appliquer. 
- Tu sais déjà quel spécialité tu veux prendre ? 
- La neurochirurgie.
- Bon, suit moi alors.
Nous sommes entrés dans la chambre et Lexie me tend les analyses ainsi que le café. 
- Bonjour Dr Sheperd, j'ai passer la nuit avec elle et elle n'a pas fait de crise d’épilepsie mais elle a énormément dormi. Ses constantes sont stables, ses parents son descendu prendre leur petit déjeuner et ne vont pas tarder a monter mais ils m'ont informer que des proches arriveront dans la journée.
Je fis mes petits examens d'habitude et jusqu'a ce qu'elle lève la main et touche mon bras qui passait au dessus de sa tête.
- O'Riley, va t'occuper de Mr Lence qui se trouve a la 345. Il va être un peu méchant mais il faut que tu fasses ce qu'il te demande. Lexie toi, essaye de trouver ses parents et bipe moi quand tu les auras trouver.
Ils sortirent de la chambre et vaquèrent a leurs occupations. Je m’asseyais sur la chaise a côté du lit et fixa son visage. Ses beaux yeux marrons me fixaient sachant que j'étais la. Elle me suppliait même du regard de l'aider. J'attrapa sa main.
- Salut ma belle, c'est le médecin surdoué tu te rappelle ?
Elle acquiesce légèrement.
- Ne t'inquiète pas, je vais m'occuper de toi.
- Salut toi !
Une petite blonde aux yeux bleu entra dans la chambre. Elle était accoutrer d'un short et d'un top, un simple accoutrement de jeune citadine mais elle entra se présentant a moi.
- Je m'appelle Bailee Madisson, je suis sa meilleure amie. J'aimerais en savoir plus si possible.
- Oui, heu, pour l'instant j'attend que ses parents arrivent pour leur dire en même temps qu'a vous.
Quelques instant plus tard, ils étaient la et je suis sortis pour les informer de la situation.

- Votre fille n'a rien, IRM, Scanner et Spectrographie n'ont rien trouver. Je sais que je vais vous dire quelque chose que plein de médecin on dit, je l'ai lu sur votre dossier mais votre fille est peut être un cas de psychiatrie.
- Vous êtes en train de nous dire que vous allez l'envoyer dans un asile parce que vous pensez qu'elle est folle. 
- Elle n'a pas dit ca, dit une voix que je connais que trop bien.
Je me tourne et vois mon père, sourire aux lèvres. Il tend la main et prend celle du père puis de la mère et ce présente. 
- Je suis le Dr Derek Sheperd, ma fille ne voulait pas vous brusquer mais vous faire réagir pour connaître votre opinion. 
- Oui, comme je le disais, votre fille est PEUT-ETRE un cas de psychiatrie mais je ne compte pas l'envoyer où que ce soit sans en être certaine. Je vais faire des recherches approfondi mais en attendant j'aimerais la garder en observation. J'aimerais avoir votre consentement pour garder un oeil constant c'est a dire. 
- Tu veux la filmer... Marmonne mon père content de ma proposition. 
- Oui, j'aimerais filmer chacun de ses moindres faits et gestes. Peut être qu'il y'a quelque chose qu'on ne voit pas.
- D'accord, alors, on signe où ? le père demande
Je lui tend le formulaire tendit qu'il s'éloigne et alors que j'en allais faire de même, la mère attrape mes mains et me regarde dans les yeux. Elle avait les larmes aux yeux.
- Je savais que j'avais raison de venir vous voir, vous êtes la seule des nombreux médecins qui veut absolument prouver que ce n'est pas Psychiatrique. Je vous en remercie.
Mon père qui était juste derrière, je l'entendais sourire.
- Ne vous en faite pas, je ferais ce qu'il faut pour rétablir votre fille.
Elle me lâche les mains et me laisse m'en aller avec mon père a mes côtés. Elle retourne elle aussi près de son mari.

Alors qu'on est suffisamment éloigner, je me tourne vers mon père et le fixe comme il détestait que je le regarde.
- Qu'est ce que tu fais ici ? Tu dois te reposer papa...
Il me sourit.
- Hey, ne sourit pas, quand tu souris je souris...
Il me sourit encore plus fort et me dit :
- Tu es bien la fille de ton père ton père toi...
Je me suis mise a sourire.
- Pourquoi tu es la ?
- Le chef m'a appeler pour que je vienne pour une consultation psy. J'imagine que tu vas en avoir une toi aussi ?
- Ouais, mais on est des Sheperd, on ne va rien dire.
Mon bipeur sonne. Je regarde et voit écrit trauma.
- J'ai un trauma, lui dis-je
- D'accord, je t'aime ma puce...
Je souris lui rendant ses deux mots et je me mets a courir. J'arrive en salle de trauma et tombe sur une femme pleine de sang avec le docteur Callie Torres a ses jambes, Cristina Yang près de son coeur et des petits internes autour d'elles.
- Elena ! dit Cristina soulagé. On t'a biper parce que cette femme raconte des choses improbables, elle a surement une commotion cérébrale.
J'attrape ma petite lampe et regarde sa réaction a la lumière. Elle réagit, alors je lui pose des questions.
- Mme, comment vous appelez vous ?
- Bonnie Gleeck.
- Comment avez vous eu votre accident ?
- Un homme était au milieu de la route ce matin, je ne le voyais que très peu a cause de la buée. Est-ce qu'il va bien ?
- Vous l'avez percuté ?
- Je ne me rappelle pas l'avoir percuter et je crois même que cet homme m'a mordu, en faite, il m'a mordu.
- Comment ça il vous a mordu ?
- Il a sortit deux dents pointu et a croquer dans mon cou, c'était un vampire. Un vampire j'en suis sure.
J'ai regarder Cristina qui me fixait. J'ai tourner légèrement son cou pour m’apercevoir qu'elle avait effectivement deux trou dans le cou. Deux trous faisant bien penser a deux crocs de Vampire. 

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