Sheperd Family : Chapitre 14

Elena



Je sortais d'opération, retirant mon bonnet. Au bout du couloir, je vois le visage pale de ma sœur me faisant un petit sourire en coin. Je reste debout, très loin d'elle et je la fixais sans savoir quoi faire. Je m'approche d'elle et elle m'attrape par le bras.

- Elle est vivante ?
J’acquiesce sans rien dire.
- Bon, je voulais te dire que je suis désoler et que je crois que je dois te faire confiance...
- Tu as raison en faite, peut être que je suis trop attacher a ce qu'ils ont dans la tête et qui ils sont mais je souffre. J'ai souffert et je souffre encore a cause de ce que Stefan m'a fait et t'a fait. J'étais tomber amoureuse du mauvais frère et peut être que je veux me venger inconsciemment sur Damon mais s'il te plait, laisse moi gérer tout ça, sauf si...
- Et puis ce n'est pas ma vie sexuelle alors je dois te laisser faire par contre, je ne veux pas que ca perturbe ma tranquillité...

Nous nous dirigeons vers la salle d'attente dans laquelle doit attendre Ryan Reynolds et des escaliers, je le voyais assit a coté de sa fille, celle dont j'avais entendu parler par Blake. Il l'a regardait droit dans les yeux et lui parlait alors il ne m'avait pas vu. Hope et moi, nous arrêtions au dessus des escaliers. Ma soeur avait surement remarquer que je ne riais pas alors elle a monopoliser mes yeux et m'a demander :
- Que c'est-il passer dans cette salle d'opération ? Des complications ?
- Rien qui ne soit en rapport avec l'opération. Tout c'est bien passer, pas de complication, pas de problème précis et j'ai tout retirer.
- Alors qu'est ce qu'il ne va pas ?
- J'ai une autre patiente qui présente tout les symptômes d'une tumeur mal placer ou de n'importe quel problème neuronale mais l'IRM et le Scanner prouve qu'il n'y a absolument rien, ce qui veut dire que je dois la prononcer comme patiente psychiatrique mais je suis certaine que c'est neurologique.
- Tu vas faire quoi ?
- D'abord, je vais parler avec la famille de Blake et la laisser retrouver sa vie, puis je vais parler avec la famille de mademoiselle Wright et voir ce qu'ils veulent.




Je prend mon café dans cette machine et ajoute du sucre. Cette machine existait depuis tellement longtemps qu'il était impossible de dire combien de fois elle était tomber en panne et combien de fois, elle avait été réparer. Quand je me suis retourner, je sursauta de voir Mark attendre, je ne savais pas ce qu'il attendait mais il était évident qu'il attendait quelque chose.
- Je fais si peur que ça ?
- ça dépend, si tu es ici pour un café non mais si tu es ici pour me parler, c'est flippant...

Il rit, m'assurant du regard qu'il était un peu fou mais jamais rien de si flippant. En fait, il avait cette habitude de rire, un rire qui déstabilise n'importe qu'elle femme.
- Cette machine est juste le temple de la caféine dans cet hopital... ajoute-t-il. Je voulais juste prendre un bon café sans faire peur a la plus belle fille de tout l'hopital...
Pendant un instant je réfléchi a sa phrase. Il m'avait déjà dit plus d'une fois que j'étais belle, c'était même des mots qui revenait si souvent de sa bouche que c'était son mot fétiche. Je pouvais dire que tout son être était d'une évidence folle pour moi et je ne serais pas en tort car il était comme un livre ouvert pour moi, il était si facile a lire.
- Merci... je rétorque avant de commencer a m'en aller. Mais tu ne m'as pas fait peur, j'ai été juste un peu surprise.
Je me tourne pour voir son sourire et il me fait un clin d'oeil.
Je me cogne contre quelqu'un lorsque je tourne a nouveau la tête.
- Vous êtes très proche de docteur glamour !
Ce jeune et bel interne pointa Mark du doigt qui ce prenait un café a la machine.
- Qui est ce que tu es au juste pour venir me parler comme si je n'étais pas influente pour ton futur ? et puis qu'est ce que ça peux te foutre ?
Je continue mon chemin mais je suis très vite suivit a nouveau de ce jeune interne.
- Je suis désoler, je ne voulais être indiscret, en fait si mais je ne voulais pas vous froisser. Je suis malheureusement comme ça, je m'amuse de tout.
- C'est bien pour toi mais j'en ai rien a faire... Si tu n'as rien d'important a me dire, alors fou moi la paix.
- En fait, j'ai quelque chose d'important a dire. J'aimerais faire partie de votre équipe, au moins découvrir ce qui me parait aussi incroyable d'avoir eu son internat complet avant tout le monde. Je veux travailler avec la meilleure.
- Le lèche cul n'apportera rien de plus, mais je veux bien jeter un oeil a ton dossier, moi aussi je veux travailler avec les meilleurs.
Je me tourne pour m'en aller et il me cri qu'il faudra ce qu'il faut.


Une heure plus tard, le chef remplaçant, le Dr Webber, m'appelle au bipeur. Je me précipite donc dans la salle de réunion et tombe sur le Dr Webber et un homme.
- Dr Sheperd, je voudrais vous présenter le Dr George Taylor, il est psychologue et est la pour parler avec vous de la fusillade et de vous aider a surmonter tout ce que vous avez vu.
- Non !

- Comment non ? demande-t-il
- J'ai autre chose de beaucoup plus important a faire, oui j'ai vue mon père ce faire tirer dessus et il s'est passer énormément de chose mais j'ai vue pire. Ma mère est morte, m'a soeur s'est fait presque violer par mon ex petit ami que j'aimais comme une folle et il avait failli me tuer un soir mais ce n'était pas de ça faute. J'ai beaucoup de chose dans la tête et pourtant, je continue a opérer et suffisamment bien pour que ma dernière patiente ne soit pas morte sur la table d'opération. Je suis désoler parce que je dois surement vous décevoir mais sauf votre respect, je ne m'abaisserais pas a suivre une thérapie de groupe ou en solo comme vous voudrez, je veux juste passer du temps avec mon père qui est vivant et qui sort ce soir. Donc si vous n'avez plus besoin de moi, je m'en vais révéler a une famille que leur fille est peut être tout simplement folle.
Je ferme la porte et reste pourtant derrière a écouter.

- Je vous l'avais dit, elle a un fort caractère comme son père.
Je m'en vais donc pour faire ce que j'avais bien décider, révéler a cette famille que leur fille est peut etre plus une patiente psy.

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