Chapitre 19 : Tracas

PDV de Lydia

Je marchais dans ce couloir sombre aujourd'hui dans le seul but de voir Violetta au Loft. Depuis qu'elle est enfermer dans cette ville jusqu’à ce qu'elle trouve une idée pour en sortir. Elle ne m'avait pas demander de venir ni quoi que ce soit, d'ailleurs elle n'avait pas prit contacte avec nous depuis sa demande accompli. Derek par contre, m'avait envoyer un message pour venir voir et même venir lui parler. Je marchais donc seul dans ce couloir m'approchant de la porte d'entrée que j'ouvra d'un seul coup. Derek était assis sur le canapé habiller d'un de ses Marcel blanc. Un bruit métallique continu résonnait dans le loft. Derek me fit comprendre que je devais aller dans le boom coeur qui était ouvert. Je pris alors mon courage a deux mains et je me dirigea vers elle. En entrant, je fus surprise de découvrir Violetta dans un condition physique remarquable. Elle se balançait d'avant en arrière avant de faire un bond en l'air et de ce tenir sur la barre en fer qu'elle tenait.
C'était tout bonnement impressionnant. L'échelle a saumon était l'entrainement qu'elle faisait assez souvent se rappelant peut être que son meilleur ami lui avait appris a en faire. Elle savait que j'étais la parce qu'elle descendait de cet instrument de torture. Elle attrapa une serviette et s'approcha de moi.

- Il y a quelque chose qui te tracasse ? demandais-je
- J'ai entendu Derek t'appeler, je sais qu'il se pose des questions mais je vais bien. Je fais ça pour me défouler.
Elle attrapa une bouteille d'eau et en but une gorger.
- Sans vouloir te vexer, quelqu'un qui a besoin de se défouler a des tracas... Depuis que tu es enfermer ici, tu cherche qu'a sortir le plus vite possible. Qu'est ce qui ce passe ?
Violetta était toujours cette fille optimiste qui pourtant avait perdu tellement de monde sur son chemin. Tommy, un ami, Ian, quelqu'un avec qui elle n'était pas proche et d'autre personne qui a chaque pas qu'elle faisait tombait. Lorsque Allison est morte, je fus surprise d'apprendre qu'elle était si mal qu'elle avait un mal de chien a respirer, qu'elle se levait en tremblant et qu'elle fut si bouleverser qu'elle pleurait en faisant son sac pour partir. Ce soir la, Violetta Castillo, l'héroine qui nous avait tant aider et nous avait tant accorder de son temps, n'arrivait plus a tenir. Elle voulait partir en courant sans se retourner pour ne jamais voir aucun autre des notre tomber. Pourtant, au moment ou on avait le plus besoin d'elle, elle était revenu. Usant de ses balles dans notre lycée, le soir de notre conquête, Violetta avait graver a jamais dans sa peau, nos nom a chacun nous aidant dans notre périple de chaque instant. Violetta nous avait déjà, des le première instant, graver dans son coeur mais ce fut ce jour qu'elle revenait quand on avait besoin d'elle.

- Qu'est ce qui t'arrive ? Qui as tu laisser en plan pour nous ?
Elle ouvra un paquet de cigarette devant moi et en attrapa une. Lorsque le feu prit en otage le bout de cette cigarette, la fumer s'en évada. Elle tira sur cette cigarette et recracha la fumer sous mes yeux. Elle n'avait pas eu ce moment de parfaite lucidité qu'elle n'avait jamais d'ailleurs, de me demander si j'en voulais une. J'imagine qu'elle savait déjà ma réponse avant même de poser la question. 
Elle ne la décrocha pas de ses lèvres avant quelques secondes. Elle posa ses fesses sur l'un des tabourets roulant et m'invita a en faire de même. L'odeur de la cigarette plainait dans l'air.
- Que veux tu ? J'ai peut être juste besoin de me défouler pour réfléchir a comment on va faire pour sortir de cette putain de ville.
- Pourquoi veux tu sortir d'ici le plus vite possible... Ne me dis pas que c'est pour Elena parce que je sais que c'est faux. Il y a autre chose...
Elle souffla fortement me faisant comprendre que j'ai toucher bon. Je savais qu'il y avait quelque chose. Derek se pointa derrière moi et croisa ses bras attendant qu'elle daigne répondre.

- J'ai rencontrer une fille dans une ville, le genre de petite ville où tout ce qui ce passe dedans est hors de porter des adultes. La ville américaine comme les autres. Mais cette fille est différente... Elle s'appelle Hannah Baker. Elle a une façon de s'habiller comme les autres, elle a un train de vie comme les autres mais elle ne rit pas comme les autres. Elle ne rit pas des mêmes choses, elle n'aime pas les mêmes choses que les autres. Elle a ce truc fait sourire et je savais lorsque je l'ai rencontrer, qu'elle se faisait persécuter. Deux garçons la suivait dans les couloirs du lycée en faisant des gestes déplacer. Ces deux mecs, je les ai envoyer a l'infirmerie et bien sur, elle m'a reconnu comme tout le monde d'ailleurs. Une entrée remarquer comme j'adore les faire. Le jour d'après, je l'ai revu dans un petit café aussi pourri que tout ceux de cette ville. Elle était seule a une table avec un café...


"Flashback"

Hannah Baker était assise a sa table lisant surement l'un des livres qu'elle préférait. Elle ne captait plus personne, elle était totalement éprise par ce livre.

Sa boisson devant elle était vide alors Violetta lui en commanda un deuxième et un café avec quelques goutte de soja et du sucre roux. Elle demanda aussi deux parts d'un gâteau a la pistache. Elle posa ce qu'elle avait commander sur sa table ce qui, a ce moment précis, sella une amitié improbable. La jeune fille fut étonner de voir que sa chanteuse préférer, qui l'avait déjà aider hier, lui offrait maintenant un deuxième de sa boisson préférer et une part de gâteau.

- Continue a faire ce que tu faisais, je ne veux pas te déranger...
Violetta but dans son café alors qu'Hannah était époustoufler par son assurance.

Ce soir la, elles sont rester ici a parler et chaque jour, Violetta venait retrouver Hannah dans ce truc que tout le monde appelait "Chez Monet". Un Jour, elle fut plus que de venir la chercher et de venir dans ce café. Elles avaient passer trois semaines ensemble, chaque jour était différent du précédent et chaque jour Violetta voyait ce qu'elle aurait aimer ne jamais voir sur ce visage.

"Fin du Flashback"

- Je voyais bien, je ne suis ni un loup-garou ni un coyote garou ni une Banshee mais j'avais déjà eu cette penser et je sentais bien, je lisais bien dans ses yeux qu'elle souffrait. J'ai donc essayer de rendre ses jours meilleurs avec moi et notre amitié et j’espérais vraiment que j'allais tenir ma promesse. En partant, je lui ai promis de revenir dans un mois, j'allais y arriver mais dans trois jours ça fera un mois et je ne sais toujours pas comment faire pour leur dire sans éveiller les soupçons de la personne qui doit nous surveiller et rire derrière son écran ou sa boule de voyance ensorceler.

Elle se leva alors et s'en alla de la pièce en tirant fortement sur sa cigarette. Moi même je pouvais entendre ses lèvres et ses poumons forcer.

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