Chapitre 17 : J'ai confiance en elle !
PDV d'Archie
Depuis que nous avions quitter le rendez-vous le plus bizarre que j'avais connu, Veronica nous avait pas adresser un mot. Elle réfléchissait, enfin c'est ce qu'on pensait. Avec Betty, nous nous regardions. Depuis que nous avions entendu notre monde devenir un film fantastique, nous, je voyais n'importe qui avec des dents pointu et des crocs acérer. Lorsque je jeta un coup d’œil a la façon dont nous étions assis dans cette limousine, je compris qu'il y avait deux camps. Veronica était seule assise d'un côté alors que Betty et moi étions de l'autre côté. Je ne savais pas quoi dire pour éviter que nos respirations et les roues frottant la route, soient le seul bruit comblant le silence frustrant qui tremblait dans cette aire de riche. Elle évitait de nous regarder, elle devait surement ce demander pourquoi elle nous avait encore rien dit de la vérité qui tournait autour de nos cranes.
- je ne sais vraiment pas quoi dire mais j'ai des centaines de question auxquels j'adorerais une réponse... lança Betty avant que je prenne l'initiative.
Veronica cessa de fixer le paysage extérieur et lança un regard que je n'avais jamais vue sur aucun visage. Celui qui nous disait déjà qu'on allait apprendre des choses qui allait pas nous plaire. Elle acquiesça sans rien dire attendant qu'on lui en pose.
- je ne vais pas te poser des questions sur le surnaturel, je vais poser ces questions a Violetta ou Elena, je veux juste savoir ce que tu compte faire maintenant ? Tu vas le dire a tes parents, pour la balles, pour ce que tu dois faire ?
Veronica se releva sur son siège et le bruit du cuir frottant sur son manteau fit frissonner toutes les parties de mon corps.
- je compte seulement faire ce qu'elle m'a demander, aucun de mes parents ne doivent être au courant pour la simple et bonne raison que mon père trouvera un moyen de m'écarter d'elle alors qu'elle m'a apprit des choses qui on fait de moi qui je suis. Oui, c'était elle qui était a New York avec moi, qui a vue, le plus sombre de moi et qui a changer cette partie en quelque chose de bien. C'est grâce a elle que tu m'aimes, c'est grâce a elle qu'on est amie et c'est grâce a moi qu'elle sortira de cette merde alors je lui dois bien ça.
PDV de Oliver
Hanna, Stefan, Serena, Felicity, Spencer, Damon et moi étions rentrer dans un immeuble particulièrement délabré aux allures de maison close. Lorsque nous sommes entrer, Hanna nous racontait ce qu'il fallait faire et pas faire.
- Ecoutez, j'ai demander a cette fille que j'ai rencontrer en colo pour grosse et avec qui je suis amie de bien vouloir l'héberger, vous connaissez Violetta, elle est du genre a s'intégrer assez vite alors peut être qu'elle peut en savoir suffisamment. Vous avez compris ?
- J'ai arrêter d'écouter dés que tu as parler de colo pour grosse, blondi est aller en colo pour grosse ?
Damon avait encore une fois fait une blague pourri, je crois que ça faisait bien la cinquième fois depuis qu'on avait quitter l'hotel. J'avais compter pendant que les filles parlaient de chose qui n'intéressait personne sauf elles.
Hanna pouffa.
Elle continua d'avancer et lorsque nous arrivons devant une porte d'entrée plutôt propre comparé au couloir qui avait des allures de couloir de la mort. Une femme ayant des habilles de femme des années quatre-vingt et poussant un landau rose avec des plumes et des paillettes passa a côté de nous.
- tu as vue Barbara, il y a enfin d'autre gens beau que nous dans cette immeuble.
Elle avait un accent que je connaissais que trop bien. Elle venait de Portugal. Elle s'arrêta ce qui nous fit en faire de même.
- ça m'étonnerait que vous soyez la pour habiter ici alors c'est pour qui ? Le droguer du deuxième ou non, la famille d’immigrer juif qui qui mange toujours des brocolis périmés, d'ailleurs vous avez le genre de sac que cette famille vous volerait dans la rue alors rangez ça si c'est pour le droguer. En Pologne, les juifs faisaient office d’offrande pour le mariage d'une vierge mais bon, pas grand monde n'est vierge en Pologne.
Elle en avait dit beaucoup trop, on savait déjà qu'elle était Polonaise et qu'elle était mariée. Cette femme aux allures extravagante était marrante et aussi très flippante, souriait très fortement avant de dire :
- Attendez une minutes, attendez une minutes... Toi, le beau brun au corps spectaculairement bien taillé, je te connais.
Chacun de nous, nous retournions vers Damon qui paraissait tout bonnement interloquer. Il n'avait jamais vu cette femme. Il souriait amuser par le regard interrogateur de son frère qui avait surement peur que cette femme soit l'une des poches de sang qu'il utilisait avant de rencontrer Violetta.
- Je n'ai jamais rencontrer une femme telle que vous et je suis sure que vous êtes bien difficile a oublier. Par contre, nous venons rencontrer... Hanna aide moi...
- Caroline Channing !
- Ah ! Je savais bien que ça arriverai un jour, vous allez enfin l'enfermer pour manque qu'action a l'entre jambe, je veux dire, manque d'action qui ne vient pas d'elle même.
Elle rit ce qui fit trembler les murs. Felicity se tourna vers moi subjuguer s'attendant que je le sois aussi, ce que j'étais.
- Mais elle n'est pas chez elle, j'allais aller au restaurant où elle travaille, venez...
Même si cette femme était bizarre, elle n'était pas dangereuse. Nous la suivions alors...
Depuis que nous avions quitter le rendez-vous le plus bizarre que j'avais connu, Veronica nous avait pas adresser un mot. Elle réfléchissait, enfin c'est ce qu'on pensait. Avec Betty, nous nous regardions. Depuis que nous avions entendu notre monde devenir un film fantastique, nous, je voyais n'importe qui avec des dents pointu et des crocs acérer. Lorsque je jeta un coup d’œil a la façon dont nous étions assis dans cette limousine, je compris qu'il y avait deux camps. Veronica était seule assise d'un côté alors que Betty et moi étions de l'autre côté. Je ne savais pas quoi dire pour éviter que nos respirations et les roues frottant la route, soient le seul bruit comblant le silence frustrant qui tremblait dans cette aire de riche. Elle évitait de nous regarder, elle devait surement ce demander pourquoi elle nous avait encore rien dit de la vérité qui tournait autour de nos cranes.
- je ne sais vraiment pas quoi dire mais j'ai des centaines de question auxquels j'adorerais une réponse... lança Betty avant que je prenne l'initiative.
Veronica cessa de fixer le paysage extérieur et lança un regard que je n'avais jamais vue sur aucun visage. Celui qui nous disait déjà qu'on allait apprendre des choses qui allait pas nous plaire. Elle acquiesça sans rien dire attendant qu'on lui en pose.
- je ne vais pas te poser des questions sur le surnaturel, je vais poser ces questions a Violetta ou Elena, je veux juste savoir ce que tu compte faire maintenant ? Tu vas le dire a tes parents, pour la balles, pour ce que tu dois faire ?
Veronica se releva sur son siège et le bruit du cuir frottant sur son manteau fit frissonner toutes les parties de mon corps.
- je compte seulement faire ce qu'elle m'a demander, aucun de mes parents ne doivent être au courant pour la simple et bonne raison que mon père trouvera un moyen de m'écarter d'elle alors qu'elle m'a apprit des choses qui on fait de moi qui je suis. Oui, c'était elle qui était a New York avec moi, qui a vue, le plus sombre de moi et qui a changer cette partie en quelque chose de bien. C'est grâce a elle que tu m'aimes, c'est grâce a elle qu'on est amie et c'est grâce a moi qu'elle sortira de cette merde alors je lui dois bien ça.
PDV de Oliver
Hanna, Stefan, Serena, Felicity, Spencer, Damon et moi étions rentrer dans un immeuble particulièrement délabré aux allures de maison close. Lorsque nous sommes entrer, Hanna nous racontait ce qu'il fallait faire et pas faire.
- Ecoutez, j'ai demander a cette fille que j'ai rencontrer en colo pour grosse et avec qui je suis amie de bien vouloir l'héberger, vous connaissez Violetta, elle est du genre a s'intégrer assez vite alors peut être qu'elle peut en savoir suffisamment. Vous avez compris ?
- J'ai arrêter d'écouter dés que tu as parler de colo pour grosse, blondi est aller en colo pour grosse ?
Damon avait encore une fois fait une blague pourri, je crois que ça faisait bien la cinquième fois depuis qu'on avait quitter l'hotel. J'avais compter pendant que les filles parlaient de chose qui n'intéressait personne sauf elles.
Hanna pouffa.
- tu as vue Barbara, il y a enfin d'autre gens beau que nous dans cette immeuble.
Elle avait un accent que je connaissais que trop bien. Elle venait de Portugal. Elle s'arrêta ce qui nous fit en faire de même.
- ça m'étonnerait que vous soyez la pour habiter ici alors c'est pour qui ? Le droguer du deuxième ou non, la famille d’immigrer juif qui qui mange toujours des brocolis périmés, d'ailleurs vous avez le genre de sac que cette famille vous volerait dans la rue alors rangez ça si c'est pour le droguer. En Pologne, les juifs faisaient office d’offrande pour le mariage d'une vierge mais bon, pas grand monde n'est vierge en Pologne.
Elle en avait dit beaucoup trop, on savait déjà qu'elle était Polonaise et qu'elle était mariée. Cette femme aux allures extravagante était marrante et aussi très flippante, souriait très fortement avant de dire :
- Attendez une minutes, attendez une minutes... Toi, le beau brun au corps spectaculairement bien taillé, je te connais.
Chacun de nous, nous retournions vers Damon qui paraissait tout bonnement interloquer. Il n'avait jamais vu cette femme. Il souriait amuser par le regard interrogateur de son frère qui avait surement peur que cette femme soit l'une des poches de sang qu'il utilisait avant de rencontrer Violetta.
- Je n'ai jamais rencontrer une femme telle que vous et je suis sure que vous êtes bien difficile a oublier. Par contre, nous venons rencontrer... Hanna aide moi...
- Caroline Channing !
- Ah ! Je savais bien que ça arriverai un jour, vous allez enfin l'enfermer pour manque qu'action a l'entre jambe, je veux dire, manque d'action qui ne vient pas d'elle même.
Elle rit ce qui fit trembler les murs. Felicity se tourna vers moi subjuguer s'attendant que je le sois aussi, ce que j'étais.
- Mais elle n'est pas chez elle, j'allais aller au restaurant où elle travaille, venez...
Même si cette femme était bizarre, elle n'était pas dangereuse. Nous la suivions alors...
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