Partie 3 Phase 4 : Mes meilleures amies

Les mémoires de Violetta Castillo






Il est difficile de ne pas souffrir quand ta vie entière tombe a la renverse mais il suffisait de s'accrocher a quelque chose. En ces instants que je vais vous conter, vous allez apprendre des choses que très peu de personne savent. Il était vrai que j'avais vécu des trucs pas super, que j'avais été torturer moralement et physiquement par "A", que j'avais tant de blessure qui furent grave sur le corps, il est vrai que j'ai perdu tellement de personne, il est vrai que j'ai aimer et disjoncter un certain nombre de fois mais cet endroit, il m'avait littéralement tuer a l'intérieur. "L'espoir fait vivre", il est vrai que l'espoir fut mon compagnon premier dans ces instants horribles. La solitude, la douleur, la peur, la tristesse, la rancœur, la souffrance, la colère et tout les sentiments que vous pouvez ressentir les uns après les autres, je les ai ressenti en même temps, dans un flop d'émotion et de sensation. Et je ne suis pas la seul cinq autre personne l'on vécu. Je ne sais pas ce qu'elles ont vécu mais je sais ce que moi j'ai vécu et vu.


Le soir du 23 février 2011 à 20 h 06

Aria, Hanna, Spencer, Emily et moi roulions dans un fourgons en direction de la prison Iron Height. Alison avait été juger coupable du meurtre de Mona (longue, trop longue histoire) et nous nous étions ses complices. Nous étions donc dans ce fourgons en route pour l'endroit le plus fourbe de tout Rosewood après Radelet. Je dois dire que j'avais peur mais je devais garder le cape pour elles quatre qui étaient apeuré et en colère.
Il y avait un silence de mort dans ce fourgons, seulement les roues contre la routes. Et pendant ce silence, je me rappelais de la phrase qu'a murmurer Oliver a mon oreille lorsqu'ils m'ont passer les menottes, "On fera tout pour vous faire sortir de la le plus vite possible".
- Je croyais avoir toucher le fond lorsque Mona est morte mais quand on nous a arrêter toutes les cinq pour son meurtre, j'ai toucher le fond du fond.
- Techniquement, ais-je commencer, on est qualifier de complice pas de criminels.
- ça revient au même, regarde nous en combinaison orange avec une chêne de force.
- Appel ça comme tu veux, on va toute en prison, "A" a gagner. rajoute Hanna
- A votre avis pourquoi on nous sépare d'Alison ? demande Emily
- Y'a une femme a la laverie, si tu fais son travail elle te fil des infos, hier elle m'a dit que quelqu'un avait glisser de l'argent au garde. Ils croient qu'on est en train de monter un plan diabolique. répond Hanna
- Quoi, ils croient que Alison est la méchante sorcière ? demande Spencer
- Et nous le petit chaperon rouge ou les vilains petits canard ?demande Aria
- Ah bhin peu importe, les sorcières ont des pouvoirs magique, rajoute Spencer
- Je suis sure qu'ils vont nous séparer en arrivant a la prison
- C'est Iron Height, c'est évident qu'on va avoir des cellules éloigner, ais-je ajouter
Après un silence, Emily demande a Hanna a quoi ça ressemble.

- Tu veux la version édulcoré ou tu veux la vérité ?
- Bhin si je veux m'en sortir il faut que je sache la vérité...
- Dés que t'entend le verrou de ta cellule tu te sens coupable...
- C'est complètement fou, on a rien fait, s'énerve Aria
- C'est pas leur problème, ils nous traitent comme des criminels et on a parfois l'impression qu'ils ont raison. C'est la première nuit qui est la plus dure, on est enfermer loin de ceux qu'on aime et quand ils éteigne la lumière, on se sent plus seul que l'on aurait pu imaginer.
- Réflexion faite, je préfère la vérité édulcoré.
- On ne peut pas se préparer a ça Emily, explique Hanna. Et c'est très difficile de ne pas perdre espoir.

Emily respire et Spencer commence :
- Dites les filles, ils peuvent tout nous prendre mais hors de question qu'il nous sépare... peu importe la distance qu'ils vont mettre entre nous, moi je serais toujours avec vous.
On se prend dans les bras. Je pose ma tête sur l'épaule d'Aria. Le fourgons s'arrête violemment ce qui nous fait littéralement tomber au sol.
- Qu'est ce qui c'est passer ? demande Hanna apeuré
On avait deux agents avec nous, des sur entraînées mais pourtant, on entend deux coups de feu et moi je n'entends plus leur coeur, d'ailleurs merci a Matt Murdock de m'avoir appris a entendre de façon presque surnaturel.
- Violetta ?!
Je me lève et attrape mes chaines attacher au sol, je tire, je tire encore et encore, de plus en plus fort, parce que lorsque les chaines au sol se détacherons, je pourrais utiliser celle-ci pour me battre. Cette personne était seul alors je ne craignais rien.
- Mettez vous a l'arrière, derrière moi, ais-je dit.
Les portes s'ouvrèrent et la personne qui était accoutrer entièrement en noir, nous regardait.
- Alors, tu as vraiment envie de mourir ce soir c'est ça ?
Je prend mes chaines et les balances mais cette personne ou cette chose attrape les chaines et les tirs, alors je tombe au sol vue que j'étais encore attacher. De la, il charge un flingue et lance une bonbonne rempli de somnifère. Ce n'était pas la première fois que ça m'arrivait.






Avant même d'ouvrir les yeux, je savais que lorsque j'allais les ouvrir je serais littéralement plonger dans une torture quotidienne qui aurait  raison de moi. Mais j'ouvre les yeux. Je remarque que la porte de ma chambre est dans son état normal. Pendant quelques instants, je crois avoir fait un mauvais rêve mais lorsque je retire le drap qui me couvre totalement, je vois la tenu orange de la prison de Rosewood. Je m'assois et analyse le lieu. C'est ma chambre dans toute sa splendeur. Il y a mon affiche du film "Singing in the rain" sur mon mur tout près de ma fenêtre. Au dessus de mon lit,  la grande photo de mon anniversaire était accrocher. Dessus il y avait les filles, Oliver, Damon, Théa, Laurel, mes parents, mon frère et ma soeur et de chaque côté mes guitares. Ma Stratocaster et ma dreadnought rouge. Mes amours mais lorsque je passe la main dessus, je comprend que c'est faux. Je regarde mes cadres et rien, rien dedans juste les cadres placer aux endroits pile poil. Je me lève en sursaut et cours dans mon armoire.Il y avait quelques fringues. J'avais, avec l'aide de Damon, créer une sorte de porte dérobé. Un endroit pour cacher mon costume et mes armes si il y avait un problème dans la maison. Il y avait bien cette porte dérobé, dedans une réplique parfaite de mon costume avec des armes, factices. Je me tourne vers mes fenêtres et dans celle-ci je vois la caméras qui garde un œil sur moi. La colère me transforme. Je donne un énorme coup de coude dans la fenêtre. Je reçois un morceau de verre dans le coude. D'ailleurs, j'ai eu cinq point de suture fait par "A". J'attrape un t-shirt a manches longues et je déchire l'une d'elles. J'entoure ma blessure de la manche et fait un nœud pour que ça évite de couler.
D'un coup, la porte de ma chambre s'entre ouvre.

- Bienvenue... Willkommen... Bienvenido... Vous êtes prier de sortir de vos chambres et suivre le marquage lumineux.
Je réfléchi un moment mais il fallait bien que je comprenne où je suis et encore comment en sortir. J'ai atteint la porte. Le couloir était de ciment ou de pierre, j'avoue ne pas connaitre la matière, mais j'ai bien vu le marquage lumineux. Des lumières s'allumaient et s’éteignaient de façon a ce qu'on suive leur route. La porte du fond s'ouvre sur Spencer aussi ébahi que moi, puis Aria et les deux autres au même moment. On court pour se retrouver.
- Vous allez bien les filles ? demande Emily
- Violetta, qu'est ce que tu as au coude ? demande Spencer
- C'est ma faute, j'ai casser la fenêtre de ma chambre... Plus important, c'est quoi cet endroit...
- Je crois qu'on est chez "A"... répond Hanna
- Plutôt dans une maison de poupée et les poupées c'est nous.
La voix nous rappel de suivre le marquage lumineux alors c'est ce qu'on fait. Au loin, on entend un piano jouer. En ouvrant la porte qui était au bout du marquage lumineux, le piano s’amplifie. On entre dans la pièce qui ressemble comme deux gouttes d'eau au salon d'Alison. Une Alison avec la perruque blonde et un masque a l’effigie d'Alison.
- C'est toi Alison ? demande Emily
Cette personne arrête de jouer du piano et tourne lentement la tête vers nous. Elle retire doucement son masque et on découvre, rempli de stupeur, que Mona (qui est censé être morte je vous le rappelle) est dessous.

- Mona ? demande Hanna
- Mona ? On ne s'est pas vue depuis longtemps mais je suis sure que je n'ai pas changer a ce point.
Elle se lève et s'approche du miroir. Elle se fixe dans le miroir alors que nous on était stupéfaite. Elle n'était pas censé être vivante.
- Les filles c'est moi... Alison.


Quelques minutes après, alors que j'analysais chaque parcelle de cette pièce avec l'aide acharné d'Emily, je ne me concentrais sur rien d'autre que les parcelles que j'analysais. Si j'avais été en mission sur le terrain, ce qui ne m'était pas arriver depuis un mois parce que j'avais laisser mon costume au placard c'était le cas de le dire pour me concentrer sur ce qu'aujourd'hui je pouvais affirmer, j'avais une seule vie, une vie que j'adorais. Je me levais pour courir, je partais au lycée, je m'occupais du problème "A" ainsi que du problème "Alison", je m'occupais de Skye, de Léon avec qui j'étais a nouveau, ne me demandez pas pourquoi je ne savais pas ce que j'avais dans la tête a ce moment là. Je m'occupais de moi mais si vous saviez comme ça m'avait manquer tout ça. En tout cas, si j'avais été en mission avec Oliver, j'aurais surement pas dit RAS. Cet endroit était flippant et si bien structurer qu'il était presque impossible de ne pas comprendre qu'il était en sous sol.

- C'est quoi cette maison ? Tu sais où on se trouve ? demande Spencer
- On est dans mon salon voyons Spencer. C'est ma maison, pourquoi tu joue les imbéciles ? demande Mona.
Je n'écoutais plus jusqu'a ce que j'entende les quatre petites sonnerie. Mona s'est lever et s'est diriger vers la porte alors on l'a suivit. Nous sommes entré dans une autre pièce qu'on avait jamais vue cette fois ci. Il y avait des joués partout, des peluches, des livres et des lettres. Avec Spencer on s'est approcher des cubes sur lesquels étaient noté des lettres. Mona s'assoit a la table sur laquelle était poser un jeu de société.
- Il faut qu'on commence a jouer...
- Et si on ne veut pas jouer ? demande Spencer
- Il sonne quatre fois pour qu'on commence a jouer.
Alors on s'assoit et Mona nous explique le but du jeu. "Le but du jeu c'est de s'acheter une tenu pour un rencard il faudra ouvrir la porte et découvrir qui sera votre mystérieux rencard". C'est fou hein ? Attendez, ce n'est pas fini.
Mona ouvre la porte et on y découvre une photo de Mr Fitz.
- Cette photo a été prise au bal de noel... explique Aria. Non, je ne vais pas rester la a jouer a ce jeu débile.
Hanna ouvre une autre porte et découvre Caleb.
Deux coup sonne et Mona se lève. Elle ouvre la boite au lettre et s'assoit a nouveau. Il y avait des lettres pour chacune de nous. Dedans, des invitations au bal de fin d'année et j'ouvre la dernière porte. Une photo de Damon.
- On joue a ce jeu pour savoir qui nous accompagnera au bal de fin d'année, ajoutais-je
- Non surement pas !
Hanna se lève et regarde les yeux dans la caméra.
- T'a gagner, tu as le droit de faire de nous tes poupées mais si Caleb se retrouve ici, si tu le touche, si tu lui fais du mal, je te jure que je te tue.
- Hanna ! hurle Mona
- Et toi tu n'es pas Alison, tu es Mona et ce n'est pas t'a maison. C'est fini tu n'es plus seul a présent, on est toute les six contre ce malade mental ou cette espèce de pétasse.
- Hanna a raison, il faut qu'on trouve un moyen de sortir d'ici, ajoute Emily
On se lève.
- Mona suit nous ! lui ordonnais-je
- Je m'appelle Alison, Alison Dilaurentis...
- Mona vient avec nous ! ordonne Hanna
Et d'un seul coup, un bruit monstrueux, une alarme horrible. Imaginez une alarme pour se réveiller, mais en mille fois trop fort. Alors on se cache les oreilles et Mona nous explique qu'il fallait retourner dans nos chambres si on voulait que ça s'arrête, ce qu'on fit.






J'étais assise a mon bureau même si les lumières étaient toute éteinte pour nous faire dormir et j'entendis un bruit de mécanisme comme quand le climatiseur s'éteint ou comme quand la voiture s'éteint et je vis la porte de ma chambre s'ouvrir.
-Viens ! On a trois minutes...
Mona avait ouvert la porte et je la suivis. Je savais qu'elle n'avait pas perdu la tête, elle était bien trop intelligente pour ça. On était toute dans le couloir a suivre Mona qui disait :
- Le générateur principale s'éteint toutes les nuits exactement trois minutes pour ce recharger. J'ai déjà couru pendant 90 secondes dans chaque direction. Là c'est la sortit mais il y a un vieux silo au bout et il faut l'escalader, il y a une échelle mais le silo fait quinze mètres de haut et impossible de l'atteindre avant que le générateur se remette en route. Par ici, c'est une pièce vide, c'est pas une issue mais si vous y allez vous verrez une porte en asier, elle est seller comme un coffre fort...
- Comme dans une banque qu'est ce qu'il y a dedans ?
- Je meurs d'envie de le savoir Violetta mais je n'ai jamais réussi, c'est trop long pour revenir a temps jusqu'a nos chambre.
- Qu'est ce qui ce passe si on n'arrive pas a temps jusqu'a nos chambre ? demande Emily
- Il te laisse des jours sans rien boire ni manger, il fait hurler les sirènes jusqu'a ce que tu lui supplice de te tuer plutôt que continuer a les entendre. Il te passe en boucle les enregistrements des gens qui te croient mort et qui pleure a ton enterrement... Comment va m'a maman ? demande-t-elle a Hanna
- Alors tu sais que tu es Mona ? lui demande Hanna
- Il voulait seulement que je sois Alison alors je joue la comédie quand il regarde, il croit avoir le dessus sur moi mais je suis toujours la, c'est moi qui vais remporter la partie.

Quelques secondes plus tard, on était de retour dans nos chambre.
Là, je vais raccourcir mon histoire, je vais couper les morceaux car oui j'ai vécu pas mal de chose mais je ne vous dirais pas tout. Les jours qui suivaient, "A" nous avait obliger a préparer notre propre bal. Alors nous avions décider de faire le plan le plus détaillé de notre vie. Il avait fonctionner, "A" avait été la devant nous. Bien sur les choses ne sont jamais si simple. On avait court-circuité l'endroit nous laissant le temps de trouver une issue. On avait réussi a sortir, enfin sortir, c'est un bien grand mot. On était dans une foret et on avait autour de nous, un grillage. Si on avait pas couru avec une grande robe de soirée, je pense bien que nous serions arriver quelques minutes avant que le courant se rétablisse se qui a malheureusement donner un grillage électrifier.

 La porte s'est fermer et aucune de nous avait réussi a l'ouvrir. Les filles s'étaient assise au bout d'un moment énerver qu'elles soient a nouveau prise au piège. Je faisais le tour et je voyais cette branche d'arbre qui passais a au moins deux mètres au dessus du cube qui contenait juste la porte. J'ai réfléchi quelques heures a chaque possibilités et même si j'avais 69% de me raté, j'avais quand même 31% de réussir et c'était toujours les plans les plus foireux qui étaient les meilleurs. Mais bon, comme disait un ami "Faites le plan, Exécutez le plan, rappelez vous qu'il foire trois fois sur quatre et allez-y au talent..."

Je leva.
- Aria, je peux te piquer ton foulard ? lui demandais-je
- Euh...ouais.
J'ai attacher son écharpe a la mienne et j'ai fait des nœuds a mes poignets. Je ne sais pas si vous connaissez Mulan mais dans ce film, Mulan utilise la force de ses bras ainsi que celle de ses jambes pour monter sur le poteau, imaginez que je fais la même chose sur le lampadaire pour monté sur le toit du cube fermer.
- Violetta, tu fous quoi ? Demande Spencer
- Tu as un plan au moins ? demande Mona
- Grace aux foulards je vais faire comme l'échelle a saumon, vous connaissez ?
Elles me regardaient toute, je voyais leur regard vide de toute compréhension.
- C'est un instrument de musculation, le processus c'est de se balancer d'avant en arrière pour se donner de l'élan et lorsqu'on se sens près on saute pour atteindre la marche au dessus mais la je vais juste avancer.
- Ah oui c'est bien ça mais et nous.
- Si j'atteins l'autre côté je vous lancerais ce que j'ai et vous allez essayer, si vous n'y arriverez pas je ferais ce qu'il faut pour prévenir les autres.
Elles acquiesce et s'approche pour regarder. Je prend de l'élan et saute. J'avais la chance de bien me débrouiller dans le truc de l'échelle a saumon alors je me tiens sur la branche, je suis encore loin d'atteindre l'autre côté. Le truc c'est que la difficulté était de bien proportionner le poids de mon corps tout en évitant a ma robe de se prendre dans la clôture. Je sauta une autre fois, ce qui me fit avancer considérablement et une autre fois, mais la branche se cassa. En tombant, je sentis et entendis ma cheville craquer. Je me leva avec l'aide des filles et j'avais découvert avec stupeur que la branche était déjà prés scier.
"A" devait ce douter que j'aurai une telle idée, ou alors par précaution a commencer a découper mais elle il n'a pas dut s'en inquieter plus que ca. 
Nous sommes donc rester vingt quatre heures a attendre et pour vous avouer quelque chose, j'ai remercie le ciel pour ca et uniquement pour ca. "A" a réouvert les portes et nos sommes rentré a nouveau. En nous réveillant, "A" avait arranger ma cheville comme si il n'y avait rien eu mais elle n'avait pas vraiment craquer, on va dire que c'était plus une foulure. 


Nous avons passer trois mois dans cette enfer. Chaque soir au moment où le courant s'arrêtait je courais, courais pour trouver une sortie. Chaque soir j'étais seule. Malgré la porte qui s'ouvrait de leur chambre les filles ne sortaient pas, elles ne sortaient plus. Elles devaient se sentir si mal et je les entendais, je les entendais hurler, j'entendais leurs battements de cœur affolé. Comme supplice "A" m'avait obligé à regarder en boucle de quelle façon Oliver et sa bande tentait de me sauver, je regardais en boucle Damon se torturer, je regardais en boucle ma sœur pleurer et j'entendais en boucle et en boucle les cris des filles. Imaginez un peu, une solitude complète et comme supplice vous entendez ceux que vous aimeriez prendre dans vos bras supplié tous les dieux qu'un jour vous reveniez. Vous imaginez pas ? Et bien moi si et j'espère que plus jamais je ne revivrai une telle chose. J'espère aussi que jamais personne n'aura à vivre une telle chose. 


J'arrête cette phase sur ceci, sur une phrase sur la torture :
"Attendre, espérer... le silence... si dure torture, si grande blessure."
- Sophie Prad

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