Sheperd Family : Chapitre 18
Elena
J'attrapa mon calot tout en sortant de la salle d’opération. Ma sœur et Damon m'attendaient au bout du couloir. Cristina sortit de la salle juste après moi et s'arrêta devant moi. Elle me regarde dans le fond des yeux et me sourit.
- Tu as bien gérer, c'est son cœur qui à lâcher...
J'acquiesce puis elle s'en va. Je m'approche de ma soeur qui me fixe tout en comprenant que la patiente était morte.
- Elle n'a pas supporter toutes ces opérations, elle a fait une crise cardiaque...
- De toute façon, on à la réponse, il est dans la ville et c'était bien lui...
Damon attrape mon épaule et m'attirait vers lui. Il me prit dans ses bras, ses bras forts qui avaient autant de douceur que de force.
- Je vais le retrouver et lui coller un pied dans le cul pour qu'il s'envole loin d'ici.
Je ris et il se décrocha pour s'en aller.
Ma sœur m'attrape par les épaules et m’entraîne avec elle dans une salle d'attente.
- J'ai une surprise pour toi...
Elle me montra alors une femme, une patiente blonde assise avec des lunettes de soleil sur le nez. Mme Reynolds se leva, s'approcha et me tomba dans les bras.
- Blake, que faites vous là ? lui demandais-je
- C'est Blake Lively, Gossip girl, Adaline, Green Lantern et All i see is you...
Ma soeur n'avait donc pas remarquer qui elle était.
- En fait, je viens déjà vous remercier et aussi vous aider dans votre dilemme, dit elle tout sourire.
- Je vous écoute...
- Je crois que maintenant on peut ce tutoyer, nous ne sommes plus, patient médecin, alors...
- On ce tutoie, d'accord...
- Alors, il faut que je sache si ça aurait changer depuis ?
- Non ! pas vraiment, enfin Damon veut vivre avec moi et ma soeur et j'ai dormi et j'ai bien dis dormi avec le Dr Sloan hier soir...
- Prend mon numéro, on en parlera pas message...
Elle me tendit un papier que je fourra dans la poche de mon pantalon de chirurgie. Elle se tourne et s'en va. Je regarde ma soeur qui me sourit et on se met a rire.
Hope me lâche et me laisse rejoindre ma patiente. Sur la route pour la chambre d'Ava Wright, j'entends la voix de mon père.
- Vous avez des enfants d'après ce que je sais Dr Sheperd... dit le psy que j'avais vue la veille au côté du DR Webber
- Oui, j'ai deux filles...
- Parlez moi d'Elena...
- Ma fille surdouée, elle avait 14 ans en quittant le lycée, elle avait 19 ans quand elle a quitter la facde médecine, elle avait 20 ans quand elle a terminer son internat et elle à 25 ans, elle peut déjà opérer des cas complexes, des cas que j'ai eu et d'autre que je n'ai pas encore eu. Elle a un doctorat en neurologie, elle fait du sport et à le temps d'être normal. Normal est le mot parfait parce que j'avais très peur qu'elle n'ait pas de vie amoureuse ni de vie sociale, j'avais peur qu'elle n'aille pas au cinéma, qu'elle ne goutte à aucune cuisine, qu'elle n'aime jamais ou qu'elle arrête de s'occuper de sa soeur mais c'était tout le contraire. Ma fille est magnifique et tout le monde prend le temps de me dire à quel point elle a un corps parfait. Un patient m'a même fait la remarque suivante : " dites donc votre collègue elle est super sexy, je serais vous je la laisserais me faire n'importe quoi..." Il avait l'air bête quand je lui ai avouer qu'elle était ma fille. Mais ma fille n'est pas qu'un beau corps, un beau visage et une belle personne, elle est un beau, très beau cerveau.
Alors que je m'éloignais de la porte entre ouverte, une larme de joie coule sur ma joue. Quoi de mieux que d'entendre son père dire des compliments sur sa personne.
- Ah non... pas de larme sur ce beau visage...
Je lève les yeux et fixe le visage de Mark. De son pouce, il retire la larme de mon visage. Il était à la porte d'une chambre d'une patiente qui d'ailleurs dit :
- Ah ! c'est donc elle qui vous fait autant sourire.
j'entre dans la chambre.
- Comment ça qui le fait sourire ?
- Depuis ce matin, il est dans ces pensés tout en souriant, je pense pas que ce soit mon cancer qui l'excite.
- Cancer de ? Si ce n'est pas trop curieux.
- Du sein.
Elle me fit le geste discret d'approcher alors je m’exécuta. Elle s'approche de mon oreille et murmura:
- Voyez comme il vous regarde, il y a une tension évidente, une tension sexuelle et puis vue comment vous l'avez regarder il y a quelques secondes, vous en avez aussi très envie. Je vous conseille de succomber, ça fait du bien de succomber.
Quelques heures plus tard, j'étais assise sur une chaise inconfortable tout en attendant que le psy se ramène. L'heure tournait et ça faisait déjà dix minutes que j'attendais. J'analysais les affiches accrocher aux murs. Une des deux affiches surplombait le porte. Il y avait le visage d'une femme heureuse qui avait un bistouris dans la main. Il y avait cette phrase écrit en gros sur le front de celle-ci. "Venez sourire et vous aurez le bistouris". Puis la deuxième affiche, c'était une bande de chirurgien qui souriaient tous et qui était tous les mains dans les mains.
là, il ouvra la porte avec deux cafés dans les mains. Il referma la porte et me tendit l'un des deux cafés.
- Il ne doit pas être a mon gout, je suis désoler...
- café, lait de soja et sucre roux... j'ai demander a votre père.
Je l'attrape et lui s'assit sur la chaise devant moi. Il me fixe et attend.
- Vous ne me posez pas de question ? On est chez le psy, je crois que les questions fusent habituellement.
- Pourquoi avoir tout dévoilé devant moi et le Dr Webber hier ?
- Il savait déjà tout ça et j'ai tout dit parce que je n'ai pas voulu qu'on me retire le droit d'opérer seule. Il sait, le Dr Webber, que je suis plus forte que j'en ai l'air.
- Vous avez révélé que vous aviez vue pire et en effet, vous avez l'air de souffrir.
- Souffrir ? Je ne souffre pas... Je m’inquiète.
- Vous avez perdu votre patiente aujourd'hui mais ce n'était pas neuronal alors ce n'était pas de votre faute et mieux vous avez super bien gérer. ça doit être si difficile de gérer comme ça, ce genre de chose, comment vous faites ? Qu'est ce que vous faites pour vous calmer ?
- Mon père vous a parler de moi mais il ne vous a pas dit que petite je faisais des crises d'angoisses et ça à durer jusqu'après le lycée. En fait, j'avais fait trois crise a la fac et mon père est venu me chercher une journée et il m'a emmener au bloc. Pour la première fois, j'ai sentir l'odeur des instruments de chirurgie très bien lavé, de la biseptine et une petite odeur de cuivre. Mon père m'a demander si je pouvais enclencher la musique. "Ain't no mountain high enought" de Marvin Gaye et Tammi Tarrell. Il avait tout écouter et m'a avouer qu'il adorait écouter cette chanson parce que c'était la chanson de mariage, ma mère et lui. Il se concentrait comme ça et lorsque sa chanson était terminer, il disait : "C'est un belle journée pour sauvé des vies". Il m'a dit de trouver quelque chose, une chanson, un objet, une personne. Bizarrement, je pensais que Stefan aurait pu m'aider mais c'était la chanson "La vie en rose" qui avait réussi. Je l'avais entendu quand Damon, le frère de Stefan, m'a pris pour la première fois dans ses bras, je l'avais écouter avec ma soeur et chaque bon moment de ma vie, j'avais eu cette chanson dans la tête.
- Qu'est ce qui fait que vous soyez aussi bien après tout ce que vous avez vécu ? Vous avez perdu votre mère, votre sœur s'est fait presque violé par votre ex petit ami et vous avez failli être tuer par votre ex.
- Quand deux des trois cas que vous venez d’énoncé, Damon s'est interposer...
- Vous êtes avec Damon ?
- Non !
- Pourquoi, dans vos yeux il y a de l'amour pour lui.
- J'ai peur qu'il devienne comme son frère...
- Alors essayez de voir quelqu'un d'autre pour l'oublier...
Quelques heures plus tard, alors qu'il faisait nuit et que chacun de mes amis s'en allaient pour rentrer chez eu, je me dirigea dans la chambre d'Ava Wright. Sa meilleure amie était assise à son chevet et moi, je ne dis rien tout en m'asseyant sur un fauteuil avec des livres et magasine sur les maladies neurologique peu connu et un ordi. J'attrapa la caméra et je pris la carte SD que je remplaça par une autre.
- Vous êtes très belle... marmonne Bailee
- Merci !
- C'est vrai je trouve que vous avez un truc qui donne confiance et puis vous avez l'air de vous intéresser a Ava, c'est génial...
Je souris puis m'adosse au fauteuil. J'ouvris le magasine sur la neurochirurgie et me plongea dans la lecture. Toute fois, j'entendis des pas approcher, il n'y en avait pas deux de pieds, il y en avait six.
J'en étais certaine et lorsque je leva les yeux, ma soeur, mon père et Meredith était de l'autre côté du rideau ne voyant donc pas qu'il y avait plus qu'une patiente ici.
- Tu rentre ? demande ma soeur
- Non ! Je reste pour surveiller ma patiente, je veux tout voir, je te dirais demain pour la location.
- Quel location ? demande Meredith, évitant a mon père de poser la question
- Damon veut vivre avec nous dans la chambre qui est a louer.
- Waw, ça fera de nombreuse nuit torride... ajoute Meredith a la réponse de ma soeur
Je regarde Bailee qui me fit le signe qu'elle se tairait et je revenu très vite a mon père qui me fixait énerver.
- J'aime pas beaucoup ça... mais bon qu'est ce que je peux faire de ça.
Je me leva et alla jusqu'au bras de mon père. Après quelques petites instructions de Meredith pour que je m'habille demain, je les foutu hors de cette chambre.
- Je suis désoler... ais-je dit en me tournant vers Bailee.
Ils étaient enfin totalement partie quand je retourna m’asseoir. Mais au moment où j'étais a deux doigts d'atteindre le fauteuil, je me fis retourner trop rapidement par Mark qui ne me laissa pas le temps de réfléchir et m'embrassa. Est ce que j'avais vraiment besoin de dire a quel point c'était bon. Ses lèvres s'avaient jouer avec les miennes et en dix secondes, il se décolla de moi.
- Rentre avec moi ! me dit il.
Je n'avais pas encore ouvert les yeux mais je savais qu'il était tout sourire et je savais aussi que Bailee était a côté, encore assise sur son fauteuil a se couvrir la bouche pour ne pas rire a gorge déployer.
J'ouvra les yeux et c'était bien ce que j'avais imaginer qui ce passait.
- J'adorerais mais il faut vraiment que je surveille ses constantes ce soir. Pourquoi tu m'as embrasser maintenant ?
- Quoi ce n'était pas bien ?
- Oh mon dieu si mais, pourquoi maintenant... pourquoi pas avant ?
- Ma patiente a raison, tu as tourner en rond dans mes pensés avec tes sous-vêtements de ce matin, toute la journée.
J'entoura sa nuque de mes bras et approcha ma bouche de son oreille.
- Alors viens une heure avant la visite et on verra en combien de temps tu peux retirer tout mes sous-vêtements.
Il sourit et m'embrasse chastement avant de partir.
Je retourna a mon fauteuil en demandant pardon une nouvelle fois a Bailee.
- Si vous avez besoin d'appeler votre meilleure amie pour lui raconter, je veille sur elle.
- Ne vous en faites pas, ma meilleure amie est dans un autre hopital a se reposer tranquillement, elle sort demain soir et j'irais la chercher pour tout lui raconter.
- Vous voulez en parler ? Je veux dire, je ne suis pas bête, j'ai bien vue que vous étiez mal a l'aise quand votre soeur a parler d'un certain Damon, ce qui veut dire que vous avez surement eu une relation avec lui et puis maintenant il y a ce médecin canon qui vous embrasse, je pense que vous êtes perdu.
- Je ne devrais pas mais bon, si je veux avoir la conscience tranquille... Damon est le frère de mon ex qui a fait des choses pas super alors je me suis tourner vers Damon parce que je me suis dit que ça pourrait m'aider mais peut être que j'attendais juste de ne plus être avec Stefan pour sauter sur lui. On a coucher ensemble deux fois puis il y a ce mec, ce médecin qui est le meilleur ami de mon père, qui m'a changer quand j'étais encore inconsciente et qui venait me chercher au lycée devant les yeux ébaillis de mes camarades. Je le connais par coeur et il m'a toujours attiré mais j'avais toujours cru que c'était le côté homme libre qui m'avait attiré chez lui. Maintenant, a cause de ma soeur, je pense que sa personnalité m'attire comme une folle. Je ne sais pas quoi choisir, quoi faire. Je ne sais plus rien du tout.
Je lève les yeux sur elle qui me regardait droit dans les yeux.
- J'ai entendu parler de la fusillade qu'il y a eut ici il y a deux jours, on est venu parce qu'il est tout a fait impossible que quoi que ce soit ce passe a nouveau mais je sais que c'est l'hopital avec le plus de vie. J'ai entendu des gens dire qu'ici, un groupe d'interne avait tout tenter pour sauver un homme parce que l'une des internes avait tuer son fiancer pour qu'il ait un coeur d'ailleurs le nom de votre dispensaire serait le nom de cet homme. Je sais que vous avez fait partie de ce groupe d'interne et je sais que ça fait de vous un medecin entourer avec des amis et de la famille. Vous prenez des décisions avec votre coeur. Vous êtes la fille du Dr Sheperd, celle qui est entrer sans protection dans une salle d'opération pour sauver votre père et le Dr que vous venez d'embrasser parce qu'un patient avait le sang qui contaminait je n'ai pas tout compris de cette partie. Vous êtes la fille qui a eu la chance de paraître dans un grand magasine de médecine et c'est la que je vous ai vue pour la première fois mais si je peux dire quelque chose. Je vous ai vue sauver cette petite fille a l'aéroport de Rio alors que j'était avec Ava et que vous étiez avec une certaine Bonnie.
- Ma meilleure amie...
- Elle était autant époustoufler que nous deux. Ava avait dit, si j'ai un problème je veux que ce soit elle qui s'occupe de moi. C'est chose faite. J'ai passer trois mois a vous chercher partout, je suis de la police alors j'ai chercher partout. D'ailleurs la petite fille, elle avait eu...
Elle séchait mais je m'en rappelais comme si c'était hier.
- Elle avait une hydrocéphalie...
J'attrapa mon calot tout en sortant de la salle d’opération. Ma sœur et Damon m'attendaient au bout du couloir. Cristina sortit de la salle juste après moi et s'arrêta devant moi. Elle me regarde dans le fond des yeux et me sourit.
- Tu as bien gérer, c'est son cœur qui à lâcher...
J'acquiesce puis elle s'en va. Je m'approche de ma soeur qui me fixe tout en comprenant que la patiente était morte.
- Elle n'a pas supporter toutes ces opérations, elle a fait une crise cardiaque...
- De toute façon, on à la réponse, il est dans la ville et c'était bien lui...
Damon attrape mon épaule et m'attirait vers lui. Il me prit dans ses bras, ses bras forts qui avaient autant de douceur que de force.
- Je vais le retrouver et lui coller un pied dans le cul pour qu'il s'envole loin d'ici.
Je ris et il se décrocha pour s'en aller.
Ma sœur m'attrape par les épaules et m’entraîne avec elle dans une salle d'attente.
- J'ai une surprise pour toi...
Elle me montra alors une femme, une patiente blonde assise avec des lunettes de soleil sur le nez. Mme Reynolds se leva, s'approcha et me tomba dans les bras.
- Blake, que faites vous là ? lui demandais-je
- C'est Blake Lively, Gossip girl, Adaline, Green Lantern et All i see is you...
Ma soeur n'avait donc pas remarquer qui elle était.
- En fait, je viens déjà vous remercier et aussi vous aider dans votre dilemme, dit elle tout sourire.
- Je vous écoute...
- Je crois que maintenant on peut ce tutoyer, nous ne sommes plus, patient médecin, alors...
- On ce tutoie, d'accord...
- Alors, il faut que je sache si ça aurait changer depuis ?
- Non ! pas vraiment, enfin Damon veut vivre avec moi et ma soeur et j'ai dormi et j'ai bien dis dormi avec le Dr Sloan hier soir...
- Prend mon numéro, on en parlera pas message...
Elle me tendit un papier que je fourra dans la poche de mon pantalon de chirurgie. Elle se tourne et s'en va. Je regarde ma soeur qui me sourit et on se met a rire.
- Vous avez des enfants d'après ce que je sais Dr Sheperd... dit le psy que j'avais vue la veille au côté du DR Webber
- Oui, j'ai deux filles...
- Parlez moi d'Elena...
- Ma fille surdouée, elle avait 14 ans en quittant le lycée, elle avait 19 ans quand elle a quitter la facde médecine, elle avait 20 ans quand elle a terminer son internat et elle à 25 ans, elle peut déjà opérer des cas complexes, des cas que j'ai eu et d'autre que je n'ai pas encore eu. Elle a un doctorat en neurologie, elle fait du sport et à le temps d'être normal. Normal est le mot parfait parce que j'avais très peur qu'elle n'ait pas de vie amoureuse ni de vie sociale, j'avais peur qu'elle n'aille pas au cinéma, qu'elle ne goutte à aucune cuisine, qu'elle n'aime jamais ou qu'elle arrête de s'occuper de sa soeur mais c'était tout le contraire. Ma fille est magnifique et tout le monde prend le temps de me dire à quel point elle a un corps parfait. Un patient m'a même fait la remarque suivante : " dites donc votre collègue elle est super sexy, je serais vous je la laisserais me faire n'importe quoi..." Il avait l'air bête quand je lui ai avouer qu'elle était ma fille. Mais ma fille n'est pas qu'un beau corps, un beau visage et une belle personne, elle est un beau, très beau cerveau.
Alors que je m'éloignais de la porte entre ouverte, une larme de joie coule sur ma joue. Quoi de mieux que d'entendre son père dire des compliments sur sa personne.
- Ah non... pas de larme sur ce beau visage...
Je lève les yeux et fixe le visage de Mark. De son pouce, il retire la larme de mon visage. Il était à la porte d'une chambre d'une patiente qui d'ailleurs dit :
- Ah ! c'est donc elle qui vous fait autant sourire.
j'entre dans la chambre.
- Comment ça qui le fait sourire ?
- Depuis ce matin, il est dans ces pensés tout en souriant, je pense pas que ce soit mon cancer qui l'excite.
- Cancer de ? Si ce n'est pas trop curieux.
- Du sein.
Elle me fit le geste discret d'approcher alors je m’exécuta. Elle s'approche de mon oreille et murmura:
- Voyez comme il vous regarde, il y a une tension évidente, une tension sexuelle et puis vue comment vous l'avez regarder il y a quelques secondes, vous en avez aussi très envie. Je vous conseille de succomber, ça fait du bien de succomber.
Quelques heures plus tard, j'étais assise sur une chaise inconfortable tout en attendant que le psy se ramène. L'heure tournait et ça faisait déjà dix minutes que j'attendais. J'analysais les affiches accrocher aux murs. Une des deux affiches surplombait le porte. Il y avait le visage d'une femme heureuse qui avait un bistouris dans la main. Il y avait cette phrase écrit en gros sur le front de celle-ci. "Venez sourire et vous aurez le bistouris". Puis la deuxième affiche, c'était une bande de chirurgien qui souriaient tous et qui était tous les mains dans les mains.
là, il ouvra la porte avec deux cafés dans les mains. Il referma la porte et me tendit l'un des deux cafés.
- Il ne doit pas être a mon gout, je suis désoler...
- café, lait de soja et sucre roux... j'ai demander a votre père.
Je l'attrape et lui s'assit sur la chaise devant moi. Il me fixe et attend.
- Vous ne me posez pas de question ? On est chez le psy, je crois que les questions fusent habituellement.
- Pourquoi avoir tout dévoilé devant moi et le Dr Webber hier ?
- Il savait déjà tout ça et j'ai tout dit parce que je n'ai pas voulu qu'on me retire le droit d'opérer seule. Il sait, le Dr Webber, que je suis plus forte que j'en ai l'air.
- Vous avez révélé que vous aviez vue pire et en effet, vous avez l'air de souffrir.
- Souffrir ? Je ne souffre pas... Je m’inquiète.
- Vous avez perdu votre patiente aujourd'hui mais ce n'était pas neuronal alors ce n'était pas de votre faute et mieux vous avez super bien gérer. ça doit être si difficile de gérer comme ça, ce genre de chose, comment vous faites ? Qu'est ce que vous faites pour vous calmer ?
- Mon père vous a parler de moi mais il ne vous a pas dit que petite je faisais des crises d'angoisses et ça à durer jusqu'après le lycée. En fait, j'avais fait trois crise a la fac et mon père est venu me chercher une journée et il m'a emmener au bloc. Pour la première fois, j'ai sentir l'odeur des instruments de chirurgie très bien lavé, de la biseptine et une petite odeur de cuivre. Mon père m'a demander si je pouvais enclencher la musique. "Ain't no mountain high enought" de Marvin Gaye et Tammi Tarrell. Il avait tout écouter et m'a avouer qu'il adorait écouter cette chanson parce que c'était la chanson de mariage, ma mère et lui. Il se concentrait comme ça et lorsque sa chanson était terminer, il disait : "C'est un belle journée pour sauvé des vies". Il m'a dit de trouver quelque chose, une chanson, un objet, une personne. Bizarrement, je pensais que Stefan aurait pu m'aider mais c'était la chanson "La vie en rose" qui avait réussi. Je l'avais entendu quand Damon, le frère de Stefan, m'a pris pour la première fois dans ses bras, je l'avais écouter avec ma soeur et chaque bon moment de ma vie, j'avais eu cette chanson dans la tête.
- Qu'est ce qui fait que vous soyez aussi bien après tout ce que vous avez vécu ? Vous avez perdu votre mère, votre sœur s'est fait presque violé par votre ex petit ami et vous avez failli être tuer par votre ex.
- Quand deux des trois cas que vous venez d’énoncé, Damon s'est interposer...
- Vous êtes avec Damon ?
- Non !
- Pourquoi, dans vos yeux il y a de l'amour pour lui.
- J'ai peur qu'il devienne comme son frère...
- Alors essayez de voir quelqu'un d'autre pour l'oublier...
Quelques heures plus tard, alors qu'il faisait nuit et que chacun de mes amis s'en allaient pour rentrer chez eu, je me dirigea dans la chambre d'Ava Wright. Sa meilleure amie était assise à son chevet et moi, je ne dis rien tout en m'asseyant sur un fauteuil avec des livres et magasine sur les maladies neurologique peu connu et un ordi. J'attrapa la caméra et je pris la carte SD que je remplaça par une autre.
- Vous êtes très belle... marmonne Bailee
- Merci !
- C'est vrai je trouve que vous avez un truc qui donne confiance et puis vous avez l'air de vous intéresser a Ava, c'est génial...
Je souris puis m'adosse au fauteuil. J'ouvris le magasine sur la neurochirurgie et me plongea dans la lecture. Toute fois, j'entendis des pas approcher, il n'y en avait pas deux de pieds, il y en avait six.
J'en étais certaine et lorsque je leva les yeux, ma soeur, mon père et Meredith était de l'autre côté du rideau ne voyant donc pas qu'il y avait plus qu'une patiente ici.
- Tu rentre ? demande ma soeur
- Non ! Je reste pour surveiller ma patiente, je veux tout voir, je te dirais demain pour la location.
- Quel location ? demande Meredith, évitant a mon père de poser la question
- Damon veut vivre avec nous dans la chambre qui est a louer.
- Waw, ça fera de nombreuse nuit torride... ajoute Meredith a la réponse de ma soeur
Je regarde Bailee qui me fit le signe qu'elle se tairait et je revenu très vite a mon père qui me fixait énerver.
- J'aime pas beaucoup ça... mais bon qu'est ce que je peux faire de ça.
Je me leva et alla jusqu'au bras de mon père. Après quelques petites instructions de Meredith pour que je m'habille demain, je les foutu hors de cette chambre.
- Je suis désoler... ais-je dit en me tournant vers Bailee.
Ils étaient enfin totalement partie quand je retourna m’asseoir. Mais au moment où j'étais a deux doigts d'atteindre le fauteuil, je me fis retourner trop rapidement par Mark qui ne me laissa pas le temps de réfléchir et m'embrassa. Est ce que j'avais vraiment besoin de dire a quel point c'était bon. Ses lèvres s'avaient jouer avec les miennes et en dix secondes, il se décolla de moi.
- Rentre avec moi ! me dit il.
Je n'avais pas encore ouvert les yeux mais je savais qu'il était tout sourire et je savais aussi que Bailee était a côté, encore assise sur son fauteuil a se couvrir la bouche pour ne pas rire a gorge déployer.
J'ouvra les yeux et c'était bien ce que j'avais imaginer qui ce passait.
- J'adorerais mais il faut vraiment que je surveille ses constantes ce soir. Pourquoi tu m'as embrasser maintenant ?
- Quoi ce n'était pas bien ?
- Oh mon dieu si mais, pourquoi maintenant... pourquoi pas avant ?
- Ma patiente a raison, tu as tourner en rond dans mes pensés avec tes sous-vêtements de ce matin, toute la journée.
J'entoura sa nuque de mes bras et approcha ma bouche de son oreille.
- Alors viens une heure avant la visite et on verra en combien de temps tu peux retirer tout mes sous-vêtements.
Il sourit et m'embrasse chastement avant de partir.
Je retourna a mon fauteuil en demandant pardon une nouvelle fois a Bailee.
- Si vous avez besoin d'appeler votre meilleure amie pour lui raconter, je veille sur elle.
- Ne vous en faites pas, ma meilleure amie est dans un autre hopital a se reposer tranquillement, elle sort demain soir et j'irais la chercher pour tout lui raconter.
- Vous voulez en parler ? Je veux dire, je ne suis pas bête, j'ai bien vue que vous étiez mal a l'aise quand votre soeur a parler d'un certain Damon, ce qui veut dire que vous avez surement eu une relation avec lui et puis maintenant il y a ce médecin canon qui vous embrasse, je pense que vous êtes perdu.
- Je ne devrais pas mais bon, si je veux avoir la conscience tranquille... Damon est le frère de mon ex qui a fait des choses pas super alors je me suis tourner vers Damon parce que je me suis dit que ça pourrait m'aider mais peut être que j'attendais juste de ne plus être avec Stefan pour sauter sur lui. On a coucher ensemble deux fois puis il y a ce mec, ce médecin qui est le meilleur ami de mon père, qui m'a changer quand j'étais encore inconsciente et qui venait me chercher au lycée devant les yeux ébaillis de mes camarades. Je le connais par coeur et il m'a toujours attiré mais j'avais toujours cru que c'était le côté homme libre qui m'avait attiré chez lui. Maintenant, a cause de ma soeur, je pense que sa personnalité m'attire comme une folle. Je ne sais pas quoi choisir, quoi faire. Je ne sais plus rien du tout.
Je lève les yeux sur elle qui me regardait droit dans les yeux.
- J'ai entendu parler de la fusillade qu'il y a eut ici il y a deux jours, on est venu parce qu'il est tout a fait impossible que quoi que ce soit ce passe a nouveau mais je sais que c'est l'hopital avec le plus de vie. J'ai entendu des gens dire qu'ici, un groupe d'interne avait tout tenter pour sauver un homme parce que l'une des internes avait tuer son fiancer pour qu'il ait un coeur d'ailleurs le nom de votre dispensaire serait le nom de cet homme. Je sais que vous avez fait partie de ce groupe d'interne et je sais que ça fait de vous un medecin entourer avec des amis et de la famille. Vous prenez des décisions avec votre coeur. Vous êtes la fille du Dr Sheperd, celle qui est entrer sans protection dans une salle d'opération pour sauver votre père et le Dr que vous venez d'embrasser parce qu'un patient avait le sang qui contaminait je n'ai pas tout compris de cette partie. Vous êtes la fille qui a eu la chance de paraître dans un grand magasine de médecine et c'est la que je vous ai vue pour la première fois mais si je peux dire quelque chose. Je vous ai vue sauver cette petite fille a l'aéroport de Rio alors que j'était avec Ava et que vous étiez avec une certaine Bonnie.
- Ma meilleure amie...
- Elle était autant époustoufler que nous deux. Ava avait dit, si j'ai un problème je veux que ce soit elle qui s'occupe de moi. C'est chose faite. J'ai passer trois mois a vous chercher partout, je suis de la police alors j'ai chercher partout. D'ailleurs la petite fille, elle avait eu...
Elle séchait mais je m'en rappelais comme si c'était hier.
- Elle avait une hydrocéphalie...
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