Roman d'amour Chapitre 10
Chapitre 10
Arrivant devant
l’appartement de Charlie ce soir-là, il ne s’attendait pas du tout a avoir
encore plus envie d’elle. Toute la soirée, elle avait frôlé sa main sans faire
vraiment exprès, elle avait parlé de façon sensuelle et avait jeté des regards
intenses. Il avait eu envie d’elle toute la soirée. Quand elle lui avait
proposé de monter boire un dernier verre, il n’avait pas hésité une seconde, il
avait acquiescé et l’avait suivi malgré qu’il savait déjà ou elle habitait. Ils
s’étaient arrêter devant la porte et pendant un instant leur conversation sur
le film « Blair Witch 2 » qu’ils avaient détesté tous les deux, était
devenus intense. Il planta ses yeux dans ceux de Charlie et a cette instant, il
sentit son cœur battre la chamade.
L'air se chargea d'électricité lorsque
qu’ils se rapprochèrent un peu plus. Seul bruit alentours, leurs respirations. L'espace
entre leurs deux visages diminua de nouveau, jusqu'à ce que leurs fronts
puissent enfin reposer l'un contre l'autre. Paul entoura le corps de Charlie de
ses bras virils. La tension sexuelle pouvait se lire dans leurs regard brûlant
de désire. Il lâcha son emprise sur elle et en une seconde, elle ouvra la porte
de son appartement et le fit entrer. Elle colla le corps de son futur amant
contre le mur du couloir d’entrer et attrapa les lèvres de Paul avec les
siennes.
Enfin, elle sentait le gout de ses lèvres. Bourbon, menthe et vanille.
Un mélange qu’elle aurait détesté s’il n’avait pas été le sien. Il la sentit se
détendre contre lui tandis que le baiser gagnait en intensité. Elle enroula ses
bras autour de son cou, voulant réduire au maximum l'écart entre leurs corps.
Paul aussi ressentait se besoin urgent de proximité, de pouvoir la sentir, la
toucher, l'embrasser. Lui qui rêvait depuis assez longtemps de ce moment crut
mourir quand sentit ses doigts s'emmêler dans ses cheveux. La luxure et la
passion semblait avoir totalement prit possession d'eux.
Paul entreprit alors
de coller le corps parfait de Charlie a la place du sien et lorsqu’elle était
bien sous son emprise, il retira la veste blanche qu’elle portait. A contre
cœur, Charlie rompit le baiser et la satisfaction put se lire sur son visage
lorsque elle parvint à lui retirer sa veste a lui aussi. Bien que ce baiser des
plus fougueux voulait déjà dire beaucoup, Paul voulait plus mais il n’eut le
temps de réagir avant qu’elle les propulses contre le mur opposé. Les lèvres de
Charlie ne touche plus les lèvres du beau brun, elle les glisse dans son cou puis
remonte jusqu’à son oreille ou elle lui susurre :
- - Faisons l’amour !
Paul n’attendait pas autre chose et il les fit avancer dans
le couloir. Elle attrapa le bas du t-shirt bordeaux de son amant et fit
remonter celui-ci pour qu’il atteigne le sol en moins de deux. Il fit de même
avec son t-shirt a elle. Il avait envie d’elle plus que n’importe qui sur cette
terre. Sa respiration haletante ne disait pas le contraire et ses pupilles
dilatés encore moins. Elle était tellement plus désirable sans t-shirt mais il
ne rêvait que d’une chose, savoir ce qui se cachait sous. Avant même de prendre
l’initiative de détaché le soutien-gorge noir de la brune, il attrape son corps
pour qu’elle enroule ses deux jambes autour de ses hanches. Il se sentait
vivant mais pas autant qu’elle. Pourquoi avec lui c’était différent ?
Pourquoi tout ce qu’elle avait déjà vécu paraissait plus excitant quand c’est
lui qui le faisait ? Pourquoi lorsqu’il la posa bien trop loin du canapé,
elle eut envie de lui encore plus ? Pourquoi lorsqu’elle comprit qu’il
l’avait posé parce que quelqu’un était dans son appartement, elle eut envie de
l’embrasser encore plus intensément qu’auparavant ?
Lorsqu’elle se retourna, elle ne s’attendait pas a moins.
- - Salut maman !
Pendant que ça mère racontait le pourquoi du comment elle
était ici, Charlie ramassa son t-shirt et celui de Paul au passage.
- - Désolé, je ne savais pas que tu avais de la
visite mais j’étais ici pour te rendre les fringues que tu m’avais demandé de
laver parce que ta machine ne fonctionnait plus. Je me suis endormi sur ton
canapé et c’est que quand tu as frappé le dos de ce jeune homme que je me suis
réveiller.
- - En fait, je m’appelle Paul, dit il en remettant
son t-shirt. Ravi de vous revoir.
Alice sourit gêner et fixe sa fille qui atteint la cuisine.
- - Maman ?
- - Oui ! je vais y aller. En tout cas, vous
avez de la force Paul.
Paul rit lorsqu’elle attrape son manteau et qu’elle se
glisse en dehors de l’appartement. La découverte de la mère de Charlie dans
l’appartement les a quelque peu refroidit. Ils n’ont rien fait de toute la
soirée. Ils se sont seulement endormi sur le canapé l’un contre l’autre.
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